Chapitre

 1     I|       façade principale regarde la France. Comme elle est bâtie sur
 2     I|          dans le ciel au-dessus de France, de grands nuages ronds,
 3     I|           reviendra. S'il était en France, nous l'aurions déjà, dans
 4     I|           de la chanson d'ancienne France, la chanson qu'elle lui
 5    II|          ducs de Lorraine, ceux de France, ceux de Suède même et d'
 6    II|     préférences, son amour pour la France, qu'il connaissait uniquement
 7    II|    catholique est porté à aimer la France, un peu, beaucoup, passionnément,
 8    II|           1870 avait arrachée à la France. Dès la déclaration de guerre,
 9    II|        annexe, c'est le diocèse de France. » Souvent le prisonnier
10    II|          avait fait partir pour la France quelques heures avant que
11    II|       preuve immédiate, lorsque la France rentra dans ses provinces
12    II|         école restent fidèles à la France, mais ils sont de plus en
13    II|         leur amour pour le pays de France, habiles pourtant et résolus
14    II|          ne point servir contre la France, du moins avec un grade
15    II|           Il aurait voulu vivre en France, celui-là ; il avait déclaré
16    II|          en qui souffrait aussi la France. On savait que M. Charlot
17    II|         disons jamais de mal de la France, et que nous disons toujours
18    II|        travaillent en paix pour la France, tant que nous sommes ici,
19    II|             pâles, qui venaient de France. Au dixième coup de dix
20    II|          turent. Le vent venait de France, et, cependant, du côté
21    II|          Comment ces vieux mots de France, peu usités en Lorraine,
22    II|           apportent le drapeau. La France vient : faut-il pas la recevoir ?~ ~ ~ ~
23    II|         que j'habite à la porte de France. S'ils viennent, je les
24    II|         Nous avons la parole de la France. » L'autre consentit d'un
25    IV|             Mais non : une rose de France !~ ~ ~— Une gloire de Dijon !~ ~ ~—
26    IV|       française, quand elle est en France ! » Car ils ne s'étaient
27    IV|           Ce n'est pas au front de France qu'ils l'ont d'abord envoyé !
28    IV|        mort par nous.~ ~ ~— Par la France ! Il a été celui qui reçoit
29    IV|      prière tous les jours pour la France !~ ~ ~— Tous les soirs,
30    IV|            disputes, à cause de la France, avec tous les Allemands
31     V|     Uberherrn, qui ne sont plus de France, mais qui regardent chez
32   VII|        vous gagnez à tant aimer la France ! » Les déclarations du
33   VII|        nouvellement rattachée à la France, quelle opinion pouvaient-ils
34   VII|       contre vous.~ ~ ~— Contre la France alors, dites-le donc !~ ~ ~—
35   VII|      maîtres du moment, et pour la France qui dure.~ ~ ~ ~Nouveaux
36   VII|       désordonné ! Est-ce là cette France qui a battu l'Allemagne ?~ ~ ~—
37  VIII|            y a, mes frères, que la France manque à l'honneur.~ ~ ~—
38  VIII|                    Ce n'est pas la France qui agit : ce sont les hommes
39  VIII|        pouvait ne pas confondre la France avec ceux qui font les lois,
40  VIII|           je me sens désemparé. La France, pour moi, ce n'était pas
41  VIII|          étages des frondaisons de France, caressa le visage des deux
42  VIII|        fait-il que nous aimions la France d'un amour qui résiste au
43  VIII|            nous sommes, n'est à la France que depuis Louis XV. Ah !
44  VIII|         avons été gouvernés par la France, nous autres, que pendant
45  VIII|    derniers venus de la famille de France ont été tout de suite de
46  VIII|     plaisir, des pèlerins. Ceux de France devaient dire du bien du
47  VIII|       Guise, prince des marches de France, et ses enfants nous conquéraient
48  VIII|           nous faire la guerre. La France idolâtrait les Guises, mais
49  VIII|           confirmé, nous étions de France, plus volontiers que personne,
50  VIII|         réduit, un jour, un roi de France, et Reims que les Saxons
51  VIII|          le manque de parole de la France m'indignait, que j'étais
52  VIII|           lui dis pas de mal de la France ; n'en dis à personne :
53  VIII|       interdit de laisser périr la France, puisqu'il n'a préparé aucune
54  VIII|      personne n'a dit du mal de la France !~ ~ ~ ~Elle rougit, se
55  VIII|           en dire la moitié sur la France !~ ~ ~ ~Mécontent, Léo fit
56  VIII|            question. Tu défends la France et tu ne la connais pas !~ ~ ~—
57  VIII|         connue par vos parents, la France, et par les miens, et je
58  VIII|   Creutzwald.~ ~ ~— Allohé pour la France aimée ! Allohé ! Allohé !~ ~ ~ ~
59    IX|           elle répondit :~ ~ ~— En France.~ ~ ~ ~L'homme la trouva
60    IX|           cet homme. Les saints de France s'y reconnurent.~ ~ ~ ~Longue,
61    XI|          ont une modeste figure de France ; quelques-unes, les aïeules,
62    XI|        Tout cela, Mansuy, fut à la France avant 1815. Le savais-tu ?~ ~ ~—
63    XI|        villes d'ici, un goût de la France. La Horgne, vois-tu, c'est
64    XI|         filleuls dans la Sarre, la France d'autrefois ! Regarde encore
65    XI|         Attends : Ney, maréchal de France, douze généraux, neuf colonels,
66    XI|            dans ces temps-là, à la France, sept officiers de cuirassiers,
67   XII|          Un manque de parole de la France…~ ~ ~— Monsieur l'instituteur,
68   XII| précisément : des yeux bénis de la France, qui ne voient pas assez
69   XII|            bien ! à notre avis, la France officielle se conduit, vis-à-vis
70   XII|          succédé : l'Allemagne, la France. La jeune fille comprenait
71   XII|      au-dessus d'eux, il voyait la France, qui n'a pas fait seulement
72   XII|            avez dit aussi, pour la France, Dieu n'en est pas à son
73   XII|        peut grandir, et nuire à la France… Un discours ? non, je manquerais
74  XIII|          en étudiant l'histoire de France, notre patrie retrouvée.
75  XIII|          moins souvent retombé. La France a besoin de sa Lorraine,
76  XIII|            nous avons besoin de la France. Vous l'aimerez mieux si