Chapitre

 1     I|             lumière, la fille et la mère, se donnant la main. Elles
 2     I|         disait cela pour excuser la mère, qui inclina la tête, en
 3     I|            avait fermé la porte. La mère était seule, debout près
 4     I|          essaya de tirer du rêve la mère hallucinée. Il la connaissait
 5     I|             amour est entre eux. La mère, épuisée, possédée d'autres
 6     I|        école. Orane, son père et sa mère, arrivés devant le perron,
 7    II|           qui était pur. Lorsque sa mère, première avertie, avait
 8    II|             de ce que le père et la mère avaient enseigné, par l'
 9    II|           tenait de son père, de sa mère, de ses aïeux, de l’air
10    II|           qui défiaient le père, la mère, l'oncle, le curé même de
11    II|             et on eût dit que cette mère inquiète l'apprenait par
12    II|       tendresse pour la famille. La mère disait : « Lui qui est si
13    II|         longue déjà pour vous. » La mère répondait : « Il devinera
14    II|             avait dit le père ou la mère, devant eux : « La victoire
15    II|       ouvrait-elle brusquement ? la mère regardait, avec une flamme
16    II|         éveillât toute seule. Et la mère, quand elle s'éveillait,
17    II|             C'était alors, entre la mère et la fille, penchées sur
18    II|          travail de couture, que la mère n'aurait pu baiser que le
19    II|          tombées sur ses mains : la mère ne sut jamais pour qui elles
20   III|         plus engoncée encore que la mère dans les étoffes chaudes,
21   III|             main sur l'épaule de la mère.~ ~ ~— Peut-être pourrez-vous
22   III| mademoiselle.~ ~ ~— Il n'y a que la mère, chez nous, qui croit qu'
23   III|           levant la main, devant ta mère et devant moi : « Je jure
24   III|           la nuit venant :~ ~ ~— Ta mère n'aurait pu voir cela !…
25     V| traversaient les Hauts de Meuse, la mère, à Condé, entrait, vers
26     V|         trois fois par semaine : la mère porteuse de pain.~ ~ ~—
27     V|          est moi qui suis venue, ta mère, Marie. » Puis, ayant regardé
28     V|            hameaux, que c'était une mère malade de son amour. Elle
29     V|     regardant.~ ~ ~— Eh ! la petite mère, le somme a été bon ?… La
30     V|         enfants ! Voyons, la petite mère, c'est pas la peine de pleurer
31     V|     Laissez-la raconter ! C'est une mère, vous voyez bien !~ ~ ~ ~
32     V|             soir que son père et sa mère dînaient, il a ouvert la
33     V|           seront-ils de retour ? La mère s'est mise à veiller. L'
34    VI|            l'âme à la maison : « La mère, pendant ces jours passés,
35    VI|            poursuite de l'ombre. La mère est-elle rentrée ? A-t-elle
36    VI|            la porte s'ouvrit, et la mère, avec sa lampe à bout de
37    VI|            se demandait pourquoi sa mère était, ce soir, plus pareille
38    VI|            soir, plus pareille à la mère d'autrefois.~ ~ ~ ~Ayant
39    VI|        Verdun ?~ ~ ~— Non.~ ~ ~ ~La mère leva les mains, pour signifier :~ ~ ~«
40    VI|         croûte soit dorée.~ ~ ~ ~La mère disparut dans le corridor,
41   VII|           a-t-on assuré ?~ ~ ~— Une mère qui ne peut se consoler.~ ~ ~—
42  VIII|          entendu. Votre père, votre mère à tous trois, il n'aurait
43  VIII|             de goûter au pain de la mère. Avec la pointe de son couteau,
44  VIII|            t'attends, et je suis ta mère Marie ! » Dans la poche
45    IX|            y a pas de nouvelle loi, mère Laître.~ ~ ~ ~Elle parut
46    IX|             les âmes !~ ~ ~— Allez, mère Laître ; ne vous alarmez
47    IX|          ayant vu converser avec la mère Laître, — et elles devinaient
48    IX|        apprêtaient à faire comme la mère Laître. Il était guetté.
49    IX|                 Jacques embrassa la mère lasse et souriant à un songe,
50    IX|             sais mon catéchisme. Ma mère le savait. C'était une femme
51    IX|           le cœur comme celui de sa mère !… » ~ ~L'homme caressa
52    IX|          tout allongées, c'était la mère, la jeune mère qui souriait.~ ~ ~—
53    IX|             était la mère, la jeune mère qui souriait.~ ~ ~— Tu vois
54    IX|        peine la voix rajeunie de la mère avait sonné dans la maison,
55    IX|          elle avait entendu rire la mère en deuil. Elle entrait,
56    IX|      apercevait le père, debout, la mère, blanche dans le lit, grave
57    IX|              immobile, parce que sa mère la regardait, non plus comme
58    IX|           bonnet : « Bonjour, grand'mère ! »~ ~ ~Marie dit :~ ~ ~—
59     X|    Condé-la-Croix, où le père et la mère devaient s'approcher des
60    XI|          proposa de téléphoner à sa mère.~ ~ ~— Si elle répond, je
61   XII|        nouvelle de la mort de cette mère, et du deuil de Jacques
62   XII|               Hélas ! oui.~ ~ ~— Ta mère a perdu la moitié de la
63   XII|             enfant, sœur, épouse ou mère, qui devient, aux heures
64   XII|             dis. Tu parles comme ta mère, comme mon frère Gérard :
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