Chapitre

 1     I|    cette féconde Lorraine, lui, fils aîné de ceux qui lui transmirent
 2     I|     dans la ferme comme un vrai fils, leva un peu la lanterne,
 3    II|         années 1690, et dont le fils publia le Journal de ce
 4    II|      communié de la main de son fils, puis, comme si sa raison
 5    II|       Étienne, aux yeux clairs, fils d'instituteur, oncle de
 6    II|   prison avait été dure pour ce fils de laboureur, habitué à
 7    II|       petit ! Je n'ai que trois fils : l'aîné est déjà, comme
 8    II|         se fait curé, mes trois fils auront bien servi Dieu et
 9    II|        Baltus, de provoquer les fils des immigrés allemands qui
10    II|      Sur ses économies de jeune fils de ferme, — elles n'étaient
11    II|      êtes la Puissance, Dieu le Fils qui êtes la Parole, Dieu
12    II|       les deux puissances, — le fils, le père, — s'affrontaient
13    II| toujours détourné.~ ~ ~— Et ton fils ?~ ~ ~— Mon fils, pauvre
14    II|         Et ton fils ?~ ~ ~— Mon fils, pauvre petit ! Français
15    II|  occupées par la nuit.~ ~ ~ ~Le fils très cher, le mince, le
16    II|    iront pas courir après notre fils, un petit jeune, dont ils
17    II|         du cœur, de l'âme de ce fils tant aimé. Elle était datée
18    II|   infanterie, où se trouvait le fils du maître d'école de Condé.
19    II|      dieu du Rhin reprenait ses fils, un à un.~ ~ ~— Ce sont
20    II|      Jacques, as-tu pensé à ton fils ?~ ~ ~— Non. Pourquoi ?~ ~ ~—
21    II|     entendait même pas les deux fils du facteur Renguillon qui
22    II|         pas encore retrouvé ton fils !~ ~ ~— Marie, nous le retrouverons
23    II|          Alors, je t'envoie mon fils, l'aîné, qui n'a pas peur :
24    II|        irai parlementer, et ton fils te préviendra que je suis
25    II|   prononçait plus le nom de son fils, mais elle se tenait obstinément
26   III|        des débris de roues, des fils de fer barbelés, des planches,
27   III|         Tous ces lointains, son fils les avait considérés pendant
28   III|              J'en ai aussi : un fils, presque deux fils, car
29   III|           un fils, presque deux fils, car l'autre ne peut plus
30   III|  rentrer, avec la petite, et le fils. Quand même on n'aurait
31   III|        comme nous, mais dont le fils, pourtant, avait servi parmi
32   III|      leur ai pourtant donné mon fils ! Une cible : pas autre
33   III|         voir la blessure de son fils…~ ~ ~ ~
34    IV|       en 1916, ils ont pris mon fils, un petit de dix-huit ans.
35    IV|        camarades qui ont tué le fils de Baltus le Lorrain : il
36     V|    uniquement occupées du jeune fils tombé à Béthincourt, il
37     V|       du pain, du pain pour mon fils.~ ~ ~ ~Ils s'approchèrent
38     V|      mangera pas tout ça, votre fils ! On va vous en acheter !…~ ~ ~
39     V|     disparu dans la guerre, mon fils… Mais il n'est pas mort,
40    VI|   imagination et tendresse. Mon fils Nicolas, je ne le verrai
41    VI|         venait de parler de son fils, la libérait de l'obsession,
42   VII|  Grandes, en effet.~ ~ ~— Votre fils a été tué dans l'armée allemande…~ ~ ~ ~
43   VII|        jour, elle attendait son fils ?~ ~ ~— La seule chance
44  VIII|         une semaine parfois, un fils, un frère, un oncle, un
45  VIII|      douleurs dans ma vie : mon fils mort, ma femme…~ ~ ~— Oui,
46    XI|   genêts secs, étendues sur des fils de fer, à trois mètres au-dessus
47    XI|          Je savais bien que mon fils reviendrait, et il est revenu !
48   XII|         loin ! Je ne suis qu'un fils de paysans, monsieur, qu'
49   XII|       coups que j'ai reçus… Mon fils a été tué par les balles
50  XIII|    moins gai que de coutume, ce fils de la Barisey, ce petit
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