Chapitre

 1     I|        même celles d'après. La rue était déserte. Elle débouchait
 2    II|        la porte du logis de la rue du Haut-Poirier ; l'abbé
 3    II|       haute ville, logis de la rue des Murs, tout moussu, ayant
 4    II|        Au milieu de la seconde rue de Condé, à l'entrée d'un
 5    II|      où la troupe sortit de la rue de gauche, et déboucha au
 6    IV|      où commence la principale rue de Verdun. De vieux grands
 7    IV|        la porte Saint-Paul, la rue animée, éclairée, puis tournèrent
 8    IV| commencèrent l'ascension de la rue Châtel, vrai lacet de montagne,
 9    IV|     étoiles. Tout en haut, une rue coupait, à angle droit,
10    IV|   ruelle du Châtel. C'était la rue de la Belle Vierge.~ ~ ~—
11    IV|   Quand il se retrouva dans la rue de la Belle Vierge, il était
12    IV|       la fille descendaient la rue Châtel, toutes les fenêtres
13    IV|      endroit, justement, où la rue, à mi-côte, était ouverte,
14    IV|              En bas, la grande rue qui part de la porte Saint-Paul
15     V|      de la place, elle prit la rue qui s'en va vers le chemin
16     V|      bas. Aux deux tiers de la rue, entre deux maisons, il
17    IX|       tennis, au travers de la rue :~ ~ ~— Nous ne voulons
18    IX|  aujourd'hui, c'était toute la rue qui le saluait. Les mineurs
19    XI|   commencement de cette longue rue, tige unique, au bout de
20    XI|        restes des remparts, la rue des Arquebusiers, la rue
21    XI|       rue des Arquebusiers, la rue du Pressoir, celle du Four
22    XI|      en longue file. Une seule rue. Jacques Baltus eut vite