Chapitre

 1     I|    allongea encore :~ ~ ~ ~Vous êtes sûre de vous-même,~ ~Votre
 2    II|   composée : « Dieu le Père qui êtes la Puissance, Dieu le Fils
 3    II|     Puissance, Dieu le Fils qui êtes la Parole, Dieu le Saint-Esprit
 4    II|        Dieu le Saint-Esprit qui êtes l'Amour, faites avec moi
 5    II|     service de l'enfant. — Vous êtes pâle, à présent. — D'autres
 6    II|  avaient dit, un matin : « Vous êtes libre. » Les Lorrains, empressés
 7    II|    hommes, dit-elle, comme vous êtes !~ ~ ~ ~Il n'entendit pas.
 8    II|   Allons, bouquet fleuri ! Vous êtes du cortège ! Descendez !~ ~ ~ ~
 9   III|     prendrez du mal ; déjà vous êtes tout pâle !~ ~ ~— Cette
10    IV| excusez-moi : mais puisque vous êtes de la partie allemande…~ ~ ~—
11    IV|       fin, monsieur, quand vous êtes rentrés chez nous. C'était
12     V|       Je vous en prie, vous qui êtes soldats, comme il était,
13    VI|        Tous les Baltus que vous êtes, vous ne valez pas une femme,
14   VII|         voulu ou non, vous vous êtes conduit, tout à l'heure,
15    IX|                Je vois que vous êtes de leur bord. Cela ne m'
16    IX|         plus le mal…~ ~ ~— Vous êtes resté Prussien, monsieur
17    IX|    empêcherons ! Bonjour ! Vous êtes l'homme de Condé ! »~ ~ ~
18    IX| déranger. Je lui dirai que vous êtes venu. » Le pauvre maître,
19    IX|         longtemps que vous vous êtes accordés ?~ ~ ~— Trois mois,
20   XII|   monsieur Baltus, puisque vous êtes si bien informé de la pensée
21   XII|        que vous le pouvez, vous êtes les ennemis de chacun d'
22   XII|     cette large campagne ! Vous êtes privilégiés, vous autres !~ ~ ~—