Chapitre

 1     I|       constante, ça été Glossinde, une vieille fille silencieuse et dévouée,
 2     I|               avec elle, Léo.~ ~ ~ ~La vieille Glossinde, à ce mot-là,
 3     I|          retournait, qu'il enlevait sa vieille toque de fourrure : « Bonsoir,
 4    II| Horgne-aux-moutons, celle d'à présent, vieille de deux siècles, ou l'une
 5    II|           opposition flagrante avec la vieille Allemagne, ou bien ne parle
 6    II|               fut Baltus qui ouvrit la vieille barrière peinte en noir
 7    IV|              porte fut ouverte par une vieille cuisinière vêtue de noir,
 8    IV|               on but à sa santé, et la vieille fille, habituée à ces sortes
 9    VI|                 pour s'éclairer, d'une vieille lampe en cuivre qui avait
10  VIII|            fermée, pleine de livres de vieille date et de peu de prix.
11  VIII|              abbé érudit les aimait de vieille passion. Il se mit à rire,
12  VIII|              libérer son âme de pauvre vieille Française.~ ~ ~— Venez donc.
13  VIII|          javelle.~ ~ ~— Arrête ici, ma vieille ! Tu ne sais pas ce dont
14    IX|             Devant lui, il y avait une vieille femme, vêtue d'une mauvaise
15    IX|              la mairie ! C'est la plus vieille, la « supérieure », dans
16     X|           travail à faire excitait. La vieille Glossinde avait seule le
17     X|                      Qu'as-tu donc, ma vieille Glossinde, à guigner, comme
18     X|              on ne pouvait savoir ; la vieille servante, toute seule, admirait
19    XI|           Mansuy de « faire un tour de vieille ville », de voir la mairie,
20   XII|              Condé, la nouvelle que la vieille patrie était enfin retrouvée :
21   XII|          quitté l'école, de prendre sa vieille veste de travail, usée aux
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