Chapitre

 1    II|                    Tous se turent. Le vent venait de France, et, cependant,
 2   III|          dépasser le feuillage que le vent poussait vers elle. Le vent
 3   III|           vent poussait vers elle. Le vent ne faisait pas de bruit ;
 4   III|           tête, levée pour aspirer le vent, rejetait en arrière, au-dessus
 5   III| recommençaient, au loin ; sûrement le vent d'ouest le lui disait ;
 6   III|            pas plus de bruit, dans le vent qui les courbe, que les
 7   III|             et enfin s'arrêtèrent. Le vent venait à eux. Le sol était
 8   III|         mitrailleuse des Français. Le vent, qui fraîchit vite en la
 9   III|     automobile descendit la pente. Le vent soufflait en tempête ; les
10    IV|          béante sur le ciel, le grand vent des plateaux de Meuse leur
11     V|         songeant à l'unique objet. Le vent, sur ses cheveux gris, remuait
12     V|             Le printemps vient ! » Le vent soufflait d'Allemagne. De
13     V|              cœur de Marie Baltus. Le vent froid de la matinée ne souffle
14  VIII|             le seuil de la maison. Le vent d'ouest, un reste de jour,
15  VIII|           argentée, qui frémissait au vent.~ ~ ~— Que c'est beau !
16  VIII|            forêts dormaient aussi. Le vent ne remuait plus que la pointe
17     X|              l'autre, ou versé par le vent ! Léo prit un des épis,
18    XI|           frondaisons ; ni lui, ni le vent léger, n'avaient chassé
19    XI|              jeunesse emportés par le vent.~ ~ ~ ~On fut bientôt rendu
20    XI|               dix lieues de Metz : le vent portait.~ ~ ~— Dis encore
21   XII|           pluie, usé aux bords par le vent, il flottait quand même.
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