Chapitre

 1     1|             sortes de questions, la mère me paraissait tout aussi
 2     1|             au lieu d’être entre sa mère et son père, quand, au moment
 3     1|             devant ce père et cette mère, dont la fille, sous leurs
 4     1|          moralité et la piété de la mère qui l’avait choisie pour
 5     1|          elle ne quittait jamais sa mère ; – qu’elle travaillait
 6     1|             telle prestesse, que sa mère qui, les yeux baissés sur
 7     1|          pendue à la ceinture de sa mère, elle trouverait bien le
 8     1|          être, entre son père et sa mère… Et pourquoi ce changement ?…
 9     1|         savais pas ?… Le père ou la mère s’étaient-ils doutés de
10     1|        quand elle sortirait avec sa mère, pour glisser un billet
11     1|          elle devait sortir avec sa mère, et d’où je ne bougeais
12     1|            toujours aux côtés de sa mère, elle ne levait ni la tête
13     1|           chambre où son père et sa mère dormaient ! Elle l’avait
14     1|        chose horrible : c’est si sa mère ne s’éveillait pas, si son
15     1|          nuit, et c’est qu’alors sa mère l’avait entendue et s’était
16     1|      regagner sa chambre, et que sa mère devait retrouver le lendemain
17     1|        déshonorée ! L’idée de cette mère, à laquelle j’avais peut-être
18     1|            vieillards le père et la mère de la malheureuse ?… Et
19     1|          reproches du père et de la mère, de me tirer enfin de cette
20     1|     révélerait tout, et l’œil d’une mère, si cruellement avertie,
21     2|            trop du sentiment que sa mère avait pour moi. Je ne sais
22     2|          mon jeu… Mais le jeu de sa mère était transparent. Tout
23     2|             surpris le secret de sa mère à quelque émotion exprimée,
24     2|         laide, même de l’aveu de sa mère, qui ne l’en aimait que
25     2| commencements de ma liaison avec sa mère, – reprit le comte de Ravila, –
26     2|         souvent, en causant avec sa mère, je m’amusais à lui lisser
27     2|            portion de l’amour de sa mère. » Et quelquefois, elle
28     2|       dehors d’elle-même… Jamais sa mère ne put la décider à me montrer
29     2|          plus…~ ~Une seule fois, sa mère l’exigeant (il y avait du
30     2|           habituellement mal, et sa mère lui disait souvent : « Si
31     2|             elle avait pour moi. Sa mère, non plus. Sa mère, qui
32     2|          moi. Sa mère, non plus. Sa mère, qui était jalouse de toutes
33     2|      peut-être deviné l’amour de sa mère.~ ~– M. de Ravila ! – fis-je,
34     2|            disant naïvement :~ ~« – Mère, c’était un soir. Il était
35     2|        mariée en province, quand sa mère me raconta cette histoire,
36     4|           de repos où s’étendait sa mère, se rapprocha d’elle avec
37     4|            l’histoire que madame sa mère, ne fuit pas, mais redressa
38     4|            de la table où jouait sa mère.~ ~– Regardez, Ernestine,
39     4|         brodait une collerette à sa mère.~ ~– C’est mon diamant et
40     4|            mieux sur la bague de sa mère et qu’on en pût mieux apprécier
41     4|        était pâle, plus pâle que sa mère. La pourpre du jour mourant,
42     4|            plus sur le canapé de sa mère. Inquiète de ce qui allait
43     4|         enlevée à l’affection de sa mère et aux plus belles espérances
44     4|            aimait-il ? Aimait-il la mère ? Les aimait-il toutes les
45     4|            Trouvait-il seulement la mère bonne pour entretenir sa
46     4|           on certifie, c’est que la mère, dont l’âme était aussi
47     4|            la voix, depuis quand sa mère était herbivore ?…~ ~– Oui,
48     5|             si j’avais vu violer ma mère. Je me suis dit : Qu’est-ce
49     5|       plaignit beaucoup plus que la mère qui, si elle pleura sa géniture,
50     5|           soit vue ! un père et une mère se souffletant tour à tour
51     6|         Saint-Germain, prendre à sa mère son amant, et, furieuse
52     6|            cet amant retourner à sa mère qui, vieille, savait mieux