Chapitre

 1  Pre2|        Jules BARBEY D’AUREVILLY.~ ~Paris, 1er mai 1874.~ ~
 2     1|          qui se nomment le monde à Paris sont bien capables de mettre
 3     1|          sa longueur le boulevard. Paris, où les barricades n’étaient
 4     1|           en calèche, qui fuyaient Paris insurgé, voyant un officier
 5     2|         dans cette vie nocturne de Paris dont elle vivait depuis
 6     2|          de province qu’on appelle Paris, un mystère pour personne…
 7     3|        était venu s’engloutir dans Paris, – là même, dans le voisinage
 8     3|          messieurs les médecins de Paris, corrects, cravatés de blanc,
 9     3|         telles choses sont rares à Paris, et, pour cette raison,
10     3|          un mois ou deux d’hiver à Paris, et deux ou trois d’entre
11     3|         ils viennent quelquefois à Paris, mais ils n’y restent que
12     4|       Mascranny, une des femmes de Paris qui aiment le plus l’esprit
13     4|          dans les rares maisons de Paris où l’on a conservé les grandes
14     4|            et les plus artistes de Paris. Quant à sa fille, elle
15     4|       marché. Qui ne connaît pas à Paris le vicomte de Rassy, ce
16     4|            histoire. Elle venait à Paris tous les hivers pour quelques
17     4|           jours passés par hiver à Paris, – reprit l’audacieux conteur,
18     4|        deux ans, elle conduisait à Paris sa fille, – qu’elle laissait
19     4|    quelques détails dépareillés. À Paris, où l’esprit jette si vite
20     5|         que son fils, qui habitait Paris, venait passer dans la ville
21     5|            qu’aucun jeune homme de Paris ou de Londres ne l’eût emporté
22     5|               Il y vivait, comme à Paris, livré à sa peinture jusqu’
23     6|  entrevoyait… Je connais – et tout Paris connaît – une Mme Henri
24     6|         pas tant d’années que tout Paris a vu une femme, du faubourg
25     6|         dîné longuement au Café de Paris, et il était venu, tout
26     6|        abjection de la rue, car, à Paris, lorsque Dieu y plante une
27     6|        chez la fille – la fille de Paris, malgré la sublimité d’une
28     6|         les marchands de bronze du Paris d’alors, et sur le socle
29     6|          temps-là, ses pareilles à Paris, qui ne trouvaient pas assez
30     6|            qu’une fille du pavé de Paris ! ! ! C’était elle qui venait
31     6|           besoin pour me venger !… Paris était plus sûr. Je préférai
32     6|        était plus sûr. Je préférai Paris. C’était une meilleure scène
33     6|            la frontière. Je vins à Paris. Je m’y attelai, sans peur,
34     6|          fit oublier les salons de Paris, – sa patrie. Il lui fallut
35     6|          comme lui ! ni au Café de Paris, ni au cercle, ni à l’orchestre
36     6|            parti, puis il revint à Paris, reprendre le brancard de
37     6|        monde le plus étincelant de Paris fourmillait… Il était tard.
38     6|         sur lequel il écrivait les paris qu’on faisait à chaque rob,
39     6| Sierra-Leone qui vient de mourir à Paris, et qu’est-elle au duc ? –
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