Chapitre

 1     1|           du destin. Alberte était morte. De quoi ?… Je ne savais.
 2     1|           médecin. Mais elle était morte ; et quoique je visse avec
 3     1|            immense ! Alberte était morte chez moi, et sa mort disait
 4     1|          la chambre de l’officier, morte et déshonorée ! L’idée de
 5     1|          où j’avais laissé Alberte morte, et qui était éclairée comme
 6     2|         prosternée, pâle comme une morte, les yeux secs, mais très
 7     2| demanda-t-elle.~ ~– Oh, elle était morte, bien jeune et mariée en
 8     3|            panthère noire, qui est morte, l’hiver d’après, comme
 9     3|        lune, était comme une chose morte… Partout ailleurs que dans
10     3|      terreur que la comtesse était morte empoisonnée… »~ ~– Empoisonnée !
11     3|           venez trop tard. Je suis morte. Ce n’est pas le médecin
12     3|          que même je ne serais pas morte, que j’aurais pu être sauvée,
13     3|           veux pas, quand je serai morte, que le comte de Savigny
14     3|        avait voulu, quand elle fut morte, et je persuadai… Il y a
15     4|            sais rien.~ ~– Elle est morte, – reprit-il, – de la poitrine,
16     4|   survivante ne parle-t-elle de la morte qu’avec des yeux imprécatoires
17     4|            par les nerfs. Une fois morte, et quand il a fallu fermer
18     4|        Tremblay de Stasseville est morte… comme elle a vécu. La voix
19     5|        devenue. Elle est peut-être morte ; peut-être vit-elle, misérable,
20     5|       femme vaincue, pâmée, à demi morte, on retrouvait la vierge
21     5|        savez tous de quoi elle est morte… Mais, Pauline n’avait pas
22     5|            Mesnilgrand. – Est-elle morte ? A-t-elle pu vivre encore ?
23     6|           cœur déchaîné, je serais morte de ne plus le voir, et je
24     6|            est comme si elle était morte. Elle a disparu, sans qu’
25     6|   SIERRA-LEONE~ ~FILLE REPENTIE,~ ~MORTE À LA SALPETRIERE, LE…~ ~
26     6|      liquéfié et fondu… Elle était morte – mais stoïquement – dans