Chapitre

 1  Pre1|    viendraient les CÉLESTES.~ ~Fin de 1870. Décembre.~ ~J.
 2     1|      brillants officiers de la fin du premier Empire. J’ai
 3     1|          il y eut pourtant une fin à tout cela ? Vous êtes
 4     1|     cette commère-là !~ ~– Une fin ! Oui, il y eut une fin, –
 5     1|        fin ! Oui, il y eut une fin, – fit le vicomte de Brassard
 6     2|   prochaine des Barbares et la fin de l’Empire… Il les portait,
 7     3|      des articulations d’acier fin, il la développa d’une si
 8     3|     nacre bleuâtre, un poignet fin et de race, où le pouls
 9     3|       dans le silence et l’air fin des nuits, comme les moindres
10     3|       ce renversement, à cette fin du monde ? Oh ! pardieu,
11     3|        fut, quand on en vit la fin, si furieusement taxé d’
12     4|   pressentis par personne à la fin de l’année 182… Et cependant,
13     4|   arrivé, en disant cela, à la fin de la partie, et le chevalier
14     4|     elle avait disparu.~ ~« En fin de compte, – reprit le narrateur, –
15     4|       portait toujours vers la fin de sa vie un bouquet de
16     4|       d’œil qu’il croyait bien fin, – il y a encore moins de
17     5|       mort, – qui n’est pas la fin de la vie et qui souvent
18     5|        bien longtemps avant sa fin. C’étaient des désarmés
19     5|     botté. Son pied nerveux et fin, qui faisait dire : « Mon
20     5|     tout il faut considérer la fin.~ ~Il y eut comme un temps
21     5|     plafond.~ ~– C’est donc la fin du monde ! – dit Mautravers,
22     6|      pensée ; et la pensée, en fin de compte, est ce qu’il
23     6|      de le raconter.~ ~Vers la fin du règne de Louis-Philippe,
24     6|        très résolu à pousser à fin la très vulgaire aventure
25     6| observateur, pour savoir qu’en fin de compte il y a beaucoup