Chapitre

 1     1|         l’obscurité.~ ~Il était pâle, non pas comme un mort…
 2     1|         Elle était horriblement pâle, et comme je ne l’avais
 3     1|        je ne l’avais jamais vue pâle ; mais ses traits de Princesse
 4     1|       doit rendre le cœur aussi pâle que la face ; ce fut cette
 5     2|         c’est la blonde la plus pâle de teint et de cheveux,
 6     2| expansion même dans l’intimité, pâle encore de la terreur qu’
 7     2|   agenouillée, mais prosternée, pâle comme une morte, les yeux
 8     3|         elle me tendit son bras pâle, veiné comme une nacre bleuâtre,
 9     3|        comte, qui devenait tout pâle… et qui regardait si sa
10     3|        pendaient sur leur ovale pâle, n’offrant à ma vue que
11     4|        d’une très faible santé, pâle et mince, mais d’un mince
12     4|         mais d’un mince et d’un pâle que je n’ai vus qu’à elle.
13     4|     être anglaise, la débile et pâle moqueuse qu’on appelait
14     4|       Rose de Stasseville était pâle, plus pâle que sa mère.
15     4|    Stasseville était pâle, plus pâle que sa mère. La pourpre
16     4|         et l’autre, cette femme pâle, était claire et inscrutable
17     5|     volcan soulevée, passant du pâle à un pâle plus profond,
18     5|  soulevée, passant du pâle à un pâle plus profond, le front labouré
19     5| rudement laid ; mais son visage pâle et ravagé, sous ses cheveux
20     5|    était une grande jeune fille pâle, mais qui ne restait pas
21     5|        ne restait pas longtemps pâle, comme vous allez voir, –
22     5|         et mutilé, immobilement pâle pour la première fois sous