Chapitre

 1     1|          vie s’il fût allé au feu, lorsque la révolution de 1830 leur
 2     1|        tard, au boulevard de Gand, lorsque j’entendais dire derrière
 3     1|          nous venions d’inaugurer, lorsque le lendemain, quand j’entrai
 4     1|          elle était éloquente ; et lorsque plus tard le calme me prit,
 5     2|         messe, la messe consacrée… Lorsque j’arrivai dans sa vie, elle
 6     2|          avaient-elles compris ?~ ~Lorsque joseph était esclave chez
 7     3|            vieilles connaissances. Lorsque je n’étais qu’un enfant,
 8     3|           croient à la poésie, que lorsque l’enfant n’y est plus. »~ ~
 9     3| irréprochable pour sa femme ; mais lorsque Hauteclaire-Eulalie était
10     3|              Je la jetais partout. Lorsque, dans mes visites au château,
11     3|            craignais… D’ordinaire, lorsque je passais le long de ce
12     3|           moins long ? Et, depuis, lorsque j’y ai songé, si l’idée
13     3|           de ceux qui les fuirent. Lorsque je vis la fausse Eulalie
14     4|           où l’avait-il laissée ?… Lorsque les jeunes gens de ce temps
15     4|            froid que j’avais senti lorsque, dans le salon de mon oncle,
16     5|        rien distinguer devant soi, lorsque à force de tâtonner pourtant
17     5|           impossibles ! Seulement, lorsque je retrouvais inépuisable
18     5|            le plaisir, en silence. Lorsque j’entrai, sa lettre était
19     5|           lui répondre ? pensé-je, lorsque j’entendis le bruit d’un
20     6|           de la rue, car, à Paris, lorsque Dieu y plante une jolie
21     6|        pour écouter des histoires. Lorsque je la leur commençais, ils