Chapitre

 1     1|           qu’il avait devant lui… Était-ce pour mieux voir cette fenêtre
 2     1|          et enflammée des miens ! Était-ce un manège que sa conduite ?
 3     1|          manège que sa conduite ? Était-ce coquetterie ? N’était-ce
 4     1|          Était-ce coquetterie ? N’était-ce qu’un caprice après un autre
 5     3|    silencieux et discret théâtre… Était-ce, de sa part, défaut de sagacité ?
 6     3|         de sentiments jaloux ? Qu’était-ce ?… Elle avait une réserve
 7     3|     concubinage honteux et caché. Était-ce donc lui qui aimait le moins ?…
 8     3|         elle qu’il ne l’aimait ?… Était-ce elle qui, d’elle-même, était
 9     4|         la voyait point aux eaux. Était-ce de peur des médisants ?
10     4|         dépaysé niait la maladie. Était-ce haute discrétion ? ou bien
11     4|         poésie la mort qui passe. Était-ce alors la vérité qui passait ?…~ ~“
12     4|        yeux rouverts sur Karkoël. Était-ce un signe, une entente quelconque,
13     5|         féconde le recueillement. Était-ce ce motif, était-ce hasard,
14     5| recueillement. Était-ce ce motif, était-ce hasard, caprice, économie
15     5|          toujours divinement mis. Était-ce là une dernière coquetterie
16     5|           lesquels il a sombré ?… Était-ce un reste du luxe satrapesque,
17     6|        profonds que dans l’amour. Était-ce dans ces abîmes qu’elle
18     6|        nos âmes ! – n’était plus… était-ce bien possible ? qu’une fille
19     6|           elle avait dans la rue… Était-ce une illusion produite par
20     6|           d’âmes aurait-il duré ? Était-ce bien possible qu’il durât ?
21     6|          tempes. Elle s’enrouait. Était-ce le croup de la honte ?…