Chapitre

 1     1| régiment fussent jalouses de la sienne. On se serait battu pour
 2     1|       peut-être ma terreur à la sienne : elle réprima, par un geste
 3     1|      plus en sortir. Ah ! si la sienne n’avait pas été placée derrière
 4     2|        raconter pouvait être la sienne… Elles le savaient trop
 5     3|         atteignait presque à la sienne. Et, comme elle était aussi
 6     3|      façon que la Noblesse à la sienne, se promettait de leur donner.
 7     4|          et l’enleva jusqu’à la sienne. Toute supériorité quelconque
 8     4|        Et, en effet, c’était la sienne ! Comme Mlle de Retz, dont
 9     4|        du Tremblay l’était à la sienne. C’était un Cleveland silencieux.
10     4|        pour une nature comme la sienne, sentir fortement, c’est
11     4|    aquarelle appellent terre de Sienne ; à ces yeux sinistres,
12     5|       Fontenelle économisait la sienne, quand il interrompait sa
13     5| anecdotes, et chacun raconta la sienne… Ce fut comme une confession
14     5|       son Dieu qu’elle a sur la sienne ; c’en est, pour elle, la
15     5|         voulut pas regretter la sienne. Elle n’en sortit pas, et
16     5|        voix plus précise que la sienne, me répéta la même question.
17     6| pleurait en cette femme ; et la sienne exprimait bien autre chose
18     6|        une imagination comme la sienne, tout à la fois violente
19     6|         l’aventure qui était la sienne ; et, cette chose qui pouvait