gras = Texte principal
    Chapitre                                                             gris = Texte de commentaire

  1     1    |              de mes parents. – Quand j’étais petit. – Entre les écoliers
  2     1    |              garçons et deux filles, j’étais le dernier.~ ~ ~ ~Par sa
  3     1    |               mort de mon père, mais j’étais déjà en âge de le connaître
  4     1    |            aimait beaucoup parce que j’étais de mes frères le plus espiègle.~ ~ ~ ~
  5     1    |             dégoûtait pas. Sitôt que j’étais à même de reprendre ma revanche,
  6     1    |              été battu : c’était que j’étais tombé ou que l’on m’avait
  7     1    |                passe ma colère, puis j’étais satisfait. Un jour, je me
  8     1    |               cents francs d’argent. J’étais content d’avoir quitté la
  9     1    |                Le bourgeois chez qui j’étais était un brave homme, mais
 10     1    |               le diable à la maison. J’étais forcé les dimanches et fêtes
 11     1    |              avais que quatorze ans. J’étais assez fort pour mon âge,
 12     1    |               point de vue.~ ~ ~ ~Je n’étais pas encore bien fort dans
 13     1    |                trouvai de l’ouvrage. J’étais tombé chez un brave homme,
 14     1    |            dix-huit livres par mois. J’étais selon la circonstance et
 15     1    |             avec l’officier à qui je m’étais engagé. L’officier avait
 16     1    |           amiable.~ ~ ~ ~Un soir que j’étais à fendre du bois entre quatre
 17     1    |                pas venir, disant que j’étais trop jeune et que cela le
 18     1    |              camarade avec lequel je m’étais engagé : celui-là ne me
 19     1    |                exceptant le temps où j’étais écolier. Après plusieurs
 20     1    |              sut que c’était moi qui m’étais battu. Un caporal envoyé
 21     1    |             nom de celui avec qui je m’étais battu et par conséquent
 22     1    |                mieux, tout jeune que j’étais dans le service, être tué
 23     1    |      commencèrent à frayer avec moi. J’étais content de voir qu’on ne
 24     1    |              et sans prison, mais je n’étais pas dans les amitiés du
 25     1    |                       Je pensais que j’étais criminel, mais non pas de
 26     1    |           réclamais. À la vérité, je m’étais emporté.~ ~ ~ ~Enfin, le
 27     1    |            crosse du fusil en l’air. J’étais fort content de cette punition.~ ~ ~ ~
 28     1    |               vint dans le cachot où j’étais. Il me vit étendu sur la
 29     1    |               Je lui répondis que je n’étais pas sorti et que je m’étais
 30     1    |            étais pas sorti et que je m’étais couché après la retraite
 31     1    |           averti que c’était moi qui m’étais battu. Il fit son rapport,
 32     1    |              de la partie militaire. J’étais en bourgeois, mais j’avais
 33     1    |           allais leur faire voir qui j’étais. Ils me répondirent à cela
 34     1    |           habillements, de sorte que j’étais resté en bras de chemise
 35     1    |                militaire alors, mais j’étais appuyé par le marquis de
 36     1    |           corps à Saint-Servan, d’où j’étais parti.~ ~ ~ ~
 37     1    |                fréquenté l’Académie, j’étais devenu fort sur les armes,
 38     1    |             Langeron qui commandait. J’étais malade et je restais à Brest,
 39     1    |              un second embarquement. J’étais rétabli de ma maladie et
 40     1    |              la maison, et même je n’y étais jamais entré ; à coup sûr,
 41     1    |         provoqué sur tous points. Je m’étais déjà battu avec lui au fleuret
 42     1    |                au bout de huit jours j’étais censé guéri, mais toutes
 43     1    |         perdais la respiration quand j’étais couché, et à force de me
 44     1    |             six mois à guérir.~ ~ ~ ~J’étais convalescent lorsqu’on fit
 45     1    |                étant blessé comme je l’étais je ne pourrais pas supporter
 46     1    |            commandant et lui dit que j’étais hors d’état de pouvoir supporter
 47     1    |              convoi fût parti.~ ~ ~ ~J’étais attaqué d’une hernie d’estomac :
 48     1    |            certificat constatant que j’étais hors d’état de supporter
 49     1    |               me rappelle qu’un jour j’étais le plus ancien de chambrée,
 50     2    |              au faubourg Antoine, je m’étais aperçu que, sur les cinq
 51     2    |               C’était un dimanche et j’étais allé, avec quatre de mes
 52     2    |              faire amende honorable. J’étais resté désespéré de ne pouvoir
 53     2    |                eux me demandèrent si j’étais du Tiers-État, je leur répondis
 54     2    |             qui étaient armés. Comme j’étais à écouter un orateur, on
 55     2    |              part de la demande dont j’étais chargé par le peuple. Ils
 56     2    |            même quartier et desquels j’étais bien connu. Nous nous rassemblâmes,
 57     2    |                quoi je répliquai que j’étais soutenu de tout mon quartier
 58     2    |                regardant, il vit que j’étais entouré de plus de trente
 59     2    |               Invalides et, comme je n’étais point armé, je partis avec
 60     2    |              agitation à ce propos ; j’étais un de ceux qui ne voulaient
 61     2    |             mais le lendemain – je n’y étais pas – il fut reçu à la grande
 62     2    |              précédemment, et duquel j’étais connu pour avoir été à la
 63     2    |          compte ; on lui demanda qui j’étais et quelle était ma science.
 64     2    |                 Tournay leur dit que j’étais brave et que je savais très
 65     2    | gardes-françaises qu’il nous envoya. J’étais loin d’être content de tout
 66     2    |             Militaire. Un jour que j’y étais, les officiers me tombèrent
 67     2    |              il fut convaincu que je n’étais pas l’auteur du papier.~ ~ ~ ~
 68     2    |                réclamer, mais, comme j’étais présent à l’interrogatoire,
 69     2    |          aristocrate prononcé.~ ~ ~ ~J’étais si aigri contre ces sortes
 70     2    |                les sept. Un jour que j’étais avec plusieurs de mes amis
 71     2    |          Quatre ou cinq jours après, j’étais chez un de mes amis ; le
 72     3    |                était pour rien quand j’étais à leur tête ; je ne leur
 73     3    |            marcha sur la Jumelière : j’étais de sa colonne et je marchais
 74     3    |               du côté des Brigands : j’étais logé chez lui et je puis
 75     3    |       camarades en détresse. – Quand j’étais à Montreuil. – Pour être
 76     3    |               seule me commandait. – J’étais content du général Salomon. –
 77     3    |      Ponts-de-Cé.~ ~ ~ ~Du temps que j’étais à Montreuil, j’allais tous
 78     3    |             les craignais pas.~ ~ ~ ~J’étais donc parti le matin avec
 79     3    |        avantageuses à la République. J’étais très content de lui : outre
 80     3    |               les jours de Vrine, où j’étais cantonné, à Thouars. Je
 81     3    |                lecture d’une lettre. J’étais au milieu des pièces.~ ~ ~ ~
 82     3(20)|            seule doit prouver que je n’étais pas leur ennemi et que j’
 83     3(20)|               pas leur ennemi et que j’étais loin de désirer leur mort.~ ~«
 84     3    |             pères courait après lui. J’étais bien embarrassé. Je fis
 85     3    |             dis au commandant que je n’étais pas venu chez lui pour être
 86     3    |               maître de la maison où j’étais logé me dit qu’il allait
 87     3    |               maison. Je lui dis que j’étais un honnête homme et qu’il
 88     3    |            voulus pas de sa lumière. J’étais logé sur les derrières de
 89     3    |              fut remis au lendemain. J’étais porteur de toutes les lettres
 90     3    |              le voir : il me dit que j’étais nommé général de brigade
 91     3    |          Fontenay-le-Peuple, etc.32. J’étais accompagné du représentant
 92     3(35)|         soutenir affirmativement que j’étais un étranger. Pour pulvériser
 93     3    |               toute contestation, je m’étais résolu à abandonner mon
 94     3    |               pleuré de colère, mais j’étais au lit, extrêmement malade.~ ~ ~ ~
 95     3    |         répondait que par la poste ; j’étais trois ou quatre jours sans
 96     3    |                 Depuis quatre jours, j’étais sans nouvelles de l’armée
 97     3    |         défense de la ville, puisque j’étais en arrestation et que la
 98     3    |              un zèle extraordinaire. J’étais si bien servi par ces braves
 99     3    |              colonne de même force ; j’étais à Antrain avec dix mille
100     3    |              présence de témoins que j’étais le seul avec lequel il n’
101     3(58)|           faveur. L’opinion… ah ! si j’étais seul avec chacun de vous,
102     3(58)|              ai déjà répondu combien j’étais éloigné de trahir ma cause.
103     3    |            provisoire à Paris.~ ~ ~ ~J’étais à Lorient, lorsqu’un courrier
104     3    |         mission secrète à Port–Malo. J’étais instruit par le Comité de
105     3    |       politesse, il me demanda si je n’étais pas chargé d’une expédition
106     3    |          permis quelque autre crime, j’étais le premier à demander son
107     3    |             cela pour moi, parce que j’étais sûr de ne pas avoir trahi
108     3    |                la voix. À la vérité, j’étais en colère et je lui dis
109     3    |              Rennes. Pour moi, comme j’étais libre de me retirer où il
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