gras = Texte principal
   Chapitre                                                             gris = Texte de commentaire

 1     1    | apprentissage. – Pour être mon maître.~ ~ ~ ~Je suis né d’une
 2     1    |        chez un nommé Gourmera, maître d’écriture. Ce fut là le
 3     1    |        que nous étions chez un maître d’école pour l’écriture
 4     1    |    aujourd’hui t’as trouvé ton maître. » Cela m’outrait à un tel
 5     1    |       et le tout pour être mon maître.~ ~ ~ ~Alors je n’avais
 6     1    |       pas le moyen de payer un maître, je priai mon ami de m’enseigner
 7     1    |      un blanc-bec. Mon premier maître, qui m’avait donné des leçons
 8     1    |       de la salle. Mon premier maître avait obtenu la permission
 9     1    |       trois coups au bras d’un maître des grenadiers. Je ne voulais
10     1    | malheureuse scène, mon premier maître d’armes vint m’apporter
11     1    |        J’embrassai de joie mon maître d’armes, car ce fut lui
12     1    |     répondis qu’il en était le maître, mais que je ne voulais
13     1    | tromper. Il me dit qu’il était maître d’armes. Je lui fis cette
14     1    |              CHAPITRE VI~ ~ ~ ~Maître d’armes. – On embarquait
15     1    |  Champagne. Comme il avait été maître d’armes, il fallut lui faire
16     1    |      avaient écrite au premier maître des grenadiers de Royal-Roussillon.
17     1    |        de Royal-Roussillon. Ce maître d’armes, après en avoir
18     1    |     paye et malchance. – Entre maître et compagnon. – Je me moquais
19     1    |   survint une dispute entre le maître et le compagnon qui fut
20     2    |        celle du nommé Henriot, maître salpêtrier.~ ~ ~ ~D’abord
21     2    |  dehors que le peuple était le maître. Une fumée épaisse, occasionnée
22     3(20)|  portes de la capitale et déjà maître de plusieurs districts du
23     3    |       avait sept, tous lits de maître. Trois femmes étaient levées
24     3    |    lumière pour me coucher. Le maître de la maison où j’étais
25     3(58)|         c’était pour servir un maître que vous répandiez tant