Partie

 1     1|  Tristan à un sage maître, le bon écuyer Gorvenal. Gorvenal
 2     2|     chercher la mort ? À quoi bon tenter Dieu ? » Cet autre
 3     2| amarre ?~ ~ ~– Vassal, à quoi bon ? répondit Tristan. L'un
 4     2|     et votre veneur, et votre bon vassal. »~ ~ ~Il supplia
 5     2|     harpe près de lui. À quoi bon les voiles que ses bras
 6     2|  auraient pu dresser ? À quoi bon les rames ? À quoi bon l'
 7     2|   quoi bon les rames ? À quoi bon l'épée ? Comme un marinier,
 8     3|   soupçon d'aimer son oncle à bon profit, le menaça : que
 9     3|  déposée : « Ce heaume est de bon acier, pensa-t-elle, et
10     8|     courant : c'est Dinas, le bon sénéchal. Au bruit de l'
11     8|    merci. Ah ! chétif, à quoi bon ? Si je n'ai Iseut, rien
12     8|       les donna à Tristan, le bon archer, qui surprit un chevreuil
13    10|      pouvait frapper ; à quoi bon du renfort ? Et s'il voulait
14    15|     du duc Hoël, Kaherdin, le bon chevalier. Mais l'ennemi
15    16|     mains sont belles, le lai bon, le ton bas et douce la
16    16|     Le vent leur fut léger et bon, tant qu'ils atterrirent
17    16|     doute, Dinas de Lidan, le bon sénéchal, les hébergerait
18    18|     contrefaite :~ ~ ~« Sire, bon et noble entre tous les
19    18|    entre eux :~ ~ ~« Voilà un bon fou, habile en paroles ! »~ ~ ~
20    18|     En vérité, ne suis-je pas bon ménestrel ? Aujourd'hui,
21    18|    jour où je vous donnai mon bon chien Husdent ? Ah ! celui-là
22    18|      beaux seigneurs ; à quoi bon ? Je n'ai plus que faire
23    19|   tendrement. Ils pleurent le bon compagnonnage d'armes, si
24    19|    Reine, dit-il, l'or en est bon » ; et, retirant de son