Chapitre

  1     1|       conquis la terre hautaine. Plus un château qui devant lui
  2     1|          qui devant lui résiste, plus une muraille à forcer, plus
  3     1|      plus une muraille à forcer, plus une cité, hormis Saragosse,
  4     2|          autour de lui, ils sont plus de vingt mille. Il appelle
  5     4|          rentrés chacun dans son plus cher domaine, et Charles
  6     5|      pour parler en son nom. Des plus félons, il en a pris dix
  7     8| précieuses armures. Dans la cité plus un païen n'est resté : tous
  8     8|            pour se divertir, les plus sages et les vieux jouent
  9    12|        Francs de France ils sont plus d'un millier ; Ganelon y
 10    13|         or d'Arabie, et en outre plus de cinquante chars. Mais
 11    13|        notre loi, qu'il avoue la plus sainte ; il sera chrétien,
 12    16|         guerre ne doit pas aller plus avant. » Les Français disent : «
 13    19|        tapis blanc ! N'en parlez plus, si je ne vous l'ordonne ! »~ ~ ~
 14    20|          vous n'en verrez pas un plus sage. » Et le comte Ganelon
 15    23|          J'ai d'elle un fils, le plus beau qui soit. C'est Baudoin »,
 16    26|      aller, je n'ai que faire de plus m'attarder. » Et le roi
 17    34|          étrangère, sans que les plus vaillants vous aient achetée
 18    37|          en a trop fait : il n'a plus droit à vivre. Livrez-le
 19    39|         zibeline, dont l'or vaut plus de cinq cents livres : avant
 20    40|         le vanter assez : il y a plus d'honneur de noblesse !
 21    42|   escient il a deux cents ans et plus ; par tant de terres il
 22    43|     armée, jamais vous ne verrez plus belle ; j'y puis avoir quatre
 23    44|     toute votre vie vous n'aurez plus la guerre. ~ ~ ~ ~
 24    45|           Charles n'assemblerait plus de si grandes levées : la
 25    48|        garde, à elle seule, vaut plus de mille mangons. Par amitié,
 26    50|          hyacinthes ; ils valent plus que toutes les richesses
 27    51|    chargés, et vingt otages, des plus nobles qui soient sous le
 28    52|       loi que vous tenez pour la plus sainte, ne retirez plus
 29    52|          plus sainte, ne retirez plus de nous votre cœur ! Je
 30    52|        mulets chargés de l'or le plus fin d'Arabie ; il ne passera
 31    56|          un songe : il était aux plus grands ports de Cize ; entre
 32    68|       tambours. On dresse sur la plus haute tour Mahomet, et chaque
 33    69|          rendront ; vous n'aurez plus de guerre de toute votre
 34    71|    Brigant : à la course, il est plus vite qu'un cheval. Devant
 35    73|        de Moriane : il n'y a pas plus félon sur la terre d'Espagne.
 36    74|       roi : « Ne craignez rien ! Plus vaut Mahomet que saint Pierre
 37    74|         douleur et honte. Jamais plus sur terre il ne portera
 38    77|         j'irai tuer Roland ; non plus que lui Olivier ne sauvera
 39    78|    assaille, jamais ne me croyez plus. Et de mon épée je conquerrai
 40    79|        sonnent, pour que ce soit plus beau. Le bruit est grand :
 41    81|       est grandement troublé. Le plus vite qu'il peut, il dévale
 42    82|         homme sur terre n'en vit plus. Devant nous ils sont bien
 43    87|         arrière-garde ne la fera plus jamais. » Roland répond : «
 44    88|        aura bataille, il se fait plus fier que lion ou léopard.
 45    88|        compagnon, ami, ne parlez plus ainsi ! L'empereur, qui
 46    89|         vous aurez des sièges au plus haut paradis. » Les Français
 47    92|       voici ne méritent, eux non plus, aucun blâme. Or donc, chevauchez
 48    92|     fièrement, et, pour aller au plus vite, enfoncent les éperons,
 49    93|      élan, va frapper Aelroth le plus fort qu'il peut. Il lui
 50    95|         n'est homme qu'il haïsse plus. Il pique de ses éperons
 51   106|          s'est brisée, il n'en a plus qu'un tronçon. Il va frapper
 52   108|           Lequel des deux fut le plus vite ? Je ne l'ai pas ouï
 53   109|          LA bataille s'est faite plus acharnée. Francs et païens
 54   109|       jeune vie ! Ils ne verront plus leurs mères ni leurs femmes,
 55   110|           et l'archevêque y rend plus de mille coups et les douze
 56   110|       soutiens. Ils ne reverront plus leurs pères ni leurs parents,
 57   113|      Sarrasin, Abisme : il n'y a plus félon dans sa troupe. Il
 58   114|         l'écu, je crois, ne vaut plus un denier. Il transperce
 59   116|         Barbamousche, lequel est plus rapide qu'épervier ou hirondelle.
 60   117|          avions pas un chevalier plus vaillant. » Le comte répond : «
 61   117|    ceux-là désormais ne vaudront plus guère en bataille. Roland
 62   122|     appelle Marmoire, lequel est plus rapide que nul oiseau qui
 63   125|      merveilleuse ; elle se fait plus précipitée. Les Français
 64   127|       les brefs : ils en tuèrent plus de quatre milliers. Aux
 65   129|          maintenant : ce ne sera plus par mon conseil. Sonner
 66   131|       par votre légèreté. Jamais plus nous ne ferons le service
 67   131|          jugement ! – ne recevra plus notre aide. Vous allez mourir
 68   132|         du cor ne nous sauverait plus. Et pourtant, sonnez, ce
 69   143|    oreilles larges ; ils sont là plus de cinquante mille ensemble.
 70   143|      maintenant que nous n'avons plus guère à vivre. Mais honte
 71   144|         la gent maudite, qui est plus noire que l'encre et qui
 72   144|    Olivier dit : « Honni soit le plus lent ! » A ces mots les
 73   147|       vengera tout son saoul. Au plus épais de la masse, il frappe
 74   148|         dit le comte, je ne sais plus quoi faire. Sire compagnon,
 75   149|      sont troublés : il n'y voit plus assez clair pour reconnaître,
 76   150|        est mort, il n'a pas fait plus longue demeure ; le preux
 77   150|     entendrez sur terre un homme plus douloureux.~ ~ ~ ~
 78   153|         douleur et de colère. Au plus épais de la presse il se
 79   154|      veut faillir aux autres. Au plus fort de la presse ils frappent
 80   155|       son épée d'acier brun ; au plus fort de la presse, il frappe
 81   155|         il frappe mille coups et plus. Bientôt, Charles dira qu'
 82   156|         j'entends qu'il ne vivra plus guère. Qui veut le joindre,
 83   158|          les voit venir, se fait plus fort, plus fier, plus ardent.
 84   158|        venir, se fait plus fort, plus fier, plus ardent. Il ne
 85   158|       fait plus fort, plus fier, plus ardent. Il ne leur cédera
 86   158|        ses éperons d'or fin ; au plus fort de la presse, il va
 87   162|        angoisse ! Je ne reverrai plus l'empereur puissant. »~ ~ ~
 88   164|        est son deuil, il ne peut plus rester debout ; qu'il le
 89   165|        ressentit une douleur, la plus grande douleur qu'il eût
 90   167|         ciel. Jamais nul ne fera plus volontiers son service.
 91   168|          en l'autre main. Un peu plus loin qu'une portée d'arbalète,
 92   171|        Puisque je meurs, je n'ai plus charge de vous. Par vous
 93   173|          pierre bise. Il en abat plus que je ne sais vous dire.
 94   180|        routes et des chemins les plus larges. L’Èbre est devant
 95   180|    heaume et le haubert sont les plus pesants : ils coulent à
 96   180|       flottant à la dérive ; les plus heureux boivent à foison,
 97   184|        Il s'endort, il n'en peut plus. Par tous les prés, les
 98   185|        dragons et des démons. Et plus de trente milliers de griffons
 99   186|       juste que vous le reteniez plus longtemps. Il est notre
100   186|     autres, il attaque l'ours le plus grand. Là le roi regarde
101   187|  hautement se lamente. Avec elle plus de vingt mille hommes, qui
102   189|       chargé de jours, qui vécut plus que Virgile et Homère. Qu'
103   190|        par la nuit la mer en est plus belle. Et, comme ils approchent
104   194|         et Apollin, qu'ils n'ont plus. Ils disent l'un à l'autre : «
105   194|        le blond, nous ne l'avons plus. Toute l'Espagne sera désormais
106   195|        manteaux, puis montent au plus haut du palais. Quand ils
107   196|      Pourquoi irait-il si loin ? Plus près d'ici vous pourrez
108   196|          n'y a roi qu'il craigne plus qu'on craindrait un enfant.
109   204|    étranger, il y aurait pénétré plus avant que ses hommes et
110   204|  finirait en vainqueur. » Un peu plus loin qu'on peut lancer un
111   207|         suivis en Espagne ! ( ?) Plus un jour ne se lèvera que
112   207|          mon ardeur ! Je n'aurai plus personne qui soutienne mon
113   207|   honneur : il me semble n'avoir plus un seul ami sous le ciel ;
114   208|       Espagne, et je ne régnerai plus que dans la douleur et je
115   208|          douleur et je ne vivrai plus un jour sans pleurer et
116   209|         si grand, je voudrais ne plus être ! » Il tire sa barbe
117   210|      grand deuil, je voudrais ne plus vivre ! O mes chevaliers,
118   214|        païens. De leur troupe la plus proche viennent deux messagers.
119   216|    France mettent pied à terre : plus de cent mille s'adoubent
120   220|         pas de peuple qui puisse plus faire au combat. Richard
121   223|        barons de Frise ; ils ont plus de quarante mille chevaliers.
122   226|           les clairons sonnent ; plus haut que tous les autres,
123   228|         entend pas se montrer le plus lent. Il endosse une brogne
124   229|    grandes louanges. Mais il n'a plus son neveu, Roland : il ne
125   232|         ne se dérobe pas. Jamais plus il ne portera la couronne
126   238|      Loin en avant de sa troupe, plus loin qu'on lancerait une
127   243|       requiert de ses armes ! Un plus vaillant que lui, je ne
128   245|    brisent ; alors ils dégainent plus de cent mille épées. Voici
129   255|         témérité ! se jettent au plus épais, les rompent et les
130   262|          de l'ange, il ne craint plus, il sait qu'il ne mourra
131   266|         ou tuer par le fer. Bien plus de cent mille sont baptisés
132   272|      neveu, que vous ne reverrez plus, et Olivier, le preux et
133   275|       ceux d'Auvergne y sont les plus courtois. Ils baissent le
134   275|        mort, vous ne le reverrez plus ; ni or ni argent ne le
135   277|         pas très grand, mais non plus trop petit. Il dit à l'empereur,
136   282|         l'un l'autre ; ils n'ont plus leurs destriers. De leurs
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