Chapitre

 1     2|          ils sont plus de vingt mille. Il appelle et ses ducs
 2     3|          sept cents chameaux et mille autours sortis de mue, quatre
 3     6|        je ne l'aie rejoint avec mille de mes fidèles ; que je
 4     9|          sept cents chameaux et mille autours sortis de mue, quatre
 5    13|          sept cents chameaux et mille autours bons à mettre en
 6    31|    Espagne. Autour de lui vingt mille Sarrasins. Pas un qui sonne
 7    41|      son avant-garde avec vingt mille chevaliers. Charles est
 8    42|      son avant-garde avec vingt mille Français. Charles est en
 9    43|        y puis avoir quatre cent mille chevaliers : puis-je combattre
10    44|         en leur compagnie vingt mille Français. De vos païens
11    44|        païens envoyez-leur cent mille, et qu'ils leur livrent
12    48|        elle seule, vaut plus de mille mangons. Par amitié, beau
13    54|        yeux j'ai vu quatre cent mille hommes en armes, revêtus
14    54|         l'armée, on fait sonner mille clairons. Les Francs lèvent
15    55|     halte. Ils sont quatre cent mille, qui attendent l'aube. Dieu !
16    63|         garderai avec moi vingt mille Français bien vaillants.
17    64|     choisissent entre eux vingt mille chevaliers.~ ~ ~ ~
18    65|     Gautier de l'Hum : « Prenez mille Français de France, notre
19    65|         dois bien faire. » Avec mille Français de France, qui
20    67|        en leur compagnie, vingt mille Français, tous sans peur
21    68|        peut s'en défendre. Cent mille Français s'attendrissent
22    68|         trois jours quatre cent mille, et par Saragosse fait retentir
23    73|        conduirai ma gent, vingt mille hommes, portant écus et
24    78|      Avec eux ils emmènent cent mille Sarrasins, qui brûlent de
25    79|   armure qui toute ne flamboie. Mille clairons sonnent, pour que
26    82|         nous ils sont bien cent mille, l'écu au bras, le heaume
27    85|   grande bataille, je frapperai mille coups et sept cents, et
28    88|      Français, a trié ces vingt mille : il savait que pas un n'
29   102|   plonge son fort épieu ; entre mille Sarrasins il l'abat mort.
30   110|       archevêque y rend plus de mille coups et les douze pairs
31   111|      par milliers. Sur les cent mille, il ne s'en est pas sauvé
32   112|       les brognes safrées. Sept mille clairons sonnent la charge,
33   118|         avait donné son épée et mille mangons. Il monte le cheval
34   142|         donc fuyons ! » Et cent mille s'en vont : les rappelle
35   143|       sont là plus de cinquante mille ensemble. Ils lancent leurs
36   154|        frappent sur les païens. Mille Sarrasins mettent pied à
37   155|         de la presse, il frappe mille coups et plus. Bientôt,
38   156|        cette armée ! » Soixante mille clairons sonnent, et si
39   177|  pleurent ; contre terre, vingt mille se pâment. Le duc Naimes
40   178|         retiennent auprès d'eux mille de leurs chevaliers.~ ~ ~ ~
41   187|         Avec elle plus de vingt mille hommes, qui maudissent Charles
42   196|        l'Èbre nous avons quatre mille chalands, des vaisseaux,
43   200|         de leurs Français vingt mille sont tués. Le roi Marsile
44   207|       arrache ses cheveux. Cent mille Français en ont une douleur
45   209|        cheveux de sa tête. Cent mille Français se pâment contre
46   215|    galop sous le regard de cent mille hommes. Il invoque Dieu
47   216|     pied à terre : plus de cent mille s'adoubent à la fois. Ils
48   218|      estime leur nombre à vingt mille chevaliers. Jamais de leur
49   220|      estiment qu'ils sont vingt mille. Ils ont de belles armes
50   221|      Bretons. Ils ont là trente mille chevaliers. Ceux-là chevauchent
51   222|       Ils peuvent être quarante mille chevaliers. Ils ont de bons
52   223|        ils ont plus de quarante mille chevaliers. Là où ils seront,
53   224|   Bourgogne : ils ont cinquante mille chevaliers bien comptés,
54   225|        de France. Ils sont cent mille, de nos meilleurs capitaines.
55   227|       se reconnaîtront les cent mille Français de son corps de
56   230|     Charles aimait tant ; vingt mille combattants furent tués,
57   230|        avant : avec eux, quinze mille Français, de ces bacheliers
58   232|       corps en compte cinquante mille. Le premier est formé de
59   245|      ils dégainent plus de cent mille épées. Voici la mêlée douloureuse
60   246|     vous dites vrai. » Et vingt mille sont autour de lui, qui
61   250|        à côte ; avec eux, vingt mille Français : il n'en est pas
62   266| empereur a pris Saragosse : par mille Français on fait fouiller
63   266|       le fer. Bien plus de cent mille sont baptisés vrais chrétiens,
64   267|       une garnison. Il y laissa mille chevaliers bien éprouvés :
65   272|         moi : il m'a ravi vingt mille de mes Français, et mon
66   280|  rapides. Alors pleurèrent cent mille chevaliers, qui, pour l'
67   281|    selles tombent à terre. Cent mille hommes pleurent, qui les
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