Chapitre

 1    20|           Charles, « élisez-moi un baron de ma terre, qui puisse
 2    32|            le voici, un sien noble baron, qui est de France et très
 3    35|          disent : « C'est un noble baron ! »~ ~ ~
 4    58|         mon fillâtre : vous n'avez baron d'aussi grande vaillance. »
 5    58|          de Danemark ; vous n'avez baron qui mieux que lui la fasse. »~ ~ ~
 6    61|          empereur », dit Roland le baron, « donnez-moi l'arc que
 7    62| arrière-garde : vous n'avez pas un baron qui puisse rien y changer.
 8    71|       maléfiques. Il parle en vrai baron : pour tout l'or de Dieu
 9    72|            a bonne renommée : vrai baron, s'il était chrétien. Devant
10    94|         ses éperons dorés, en vrai baron va le frapper. Il lui brise
11   118|         Dieu ! quel deuil d'un tel baron ! »~ ~ ~
12   120|            Les Français disent : « Baron, c'est grand'pitié de toi ! »~ ~ ~
13   142|          vient contre eux, en vrai baron, Marsile. Il monte le cheval
14   142|         nom de mon épée. » En vrai baron, il va le frapper ; il lui
15   147|           masse, il frappe en vrai baron. Il taille en pièces épieux
16   155|         présent à la bataille : le baron Gilles, pour qui Dieu fait
17   164|         pâmé. L'archevêque dit : « Baron, c'est pitié de vous ! »~ ~ ~
18   166|            il voit gisant le noble baron, l'archevêque, que Dieu
19   178|              IL n'y a chevalier ni baron qui de pitié ne pleure,
20   186|           ange de Dieu a montré au baron. Charles dort jusqu'au lendemain,
21   228|       souvent prouvée. Dieu ! quel baron, s'il était chrétien ! Il
22   229|            est semblable à un vrai baron. Sa barbe est blanche comme
23   253|          deux, je crois : c'est un baron de haute taille, dont l'
24   256|        couardise ; jamais meilleur baron ne vêtit la brogne. Quand
25   267|        cité [...] : sur l'autel du baron saint Seurin, il dépose
26   271|        celle, disent plusieurs, du baron saint Sylvestre. Alors commence