Chapitre

 1     4|       Il est orgueilleux et son cœur est cruel : il fera trancher
 2    13|         quel est le fond de son cœur. » Les Français disent : «
 3    18|       le comte Olivier. « Votre cœur est âpre et orgueilleux,
 4    23|         répond : « Vous avez le cœur trop tendre. Puisque je
 5    40|    sachez-le, en vérité, j'ai à cœur de beaucoup vous aimer.
 6    52|      retirez plus de nous votre cœur ! Je veux vous donner de
 7    87|         si follement ! Honni le cœur qui dans la poitrine s'accouardit !
 8    92|  OLIVIER dit : « Je n'ai pas le cœur aux paroles. Votre olifant,
 9    95|       nos Français n'ont pas le cœur à fuir ; vos compagnons,
10    98| garantit guère. Il lui perce le cœur, le foie et le poumon, et,
11   111|    Français ont frappé de plein cœur, fortement. Les païens sont
12   111|       leurs parents, du fond du cœur, en leur amour. Vient contre
13   121|         Tu en as tué un que mon cœur regrette. » Il lance en
14   123|       deuil qu'il croit que son cœur va se fendre. Il dit au
15   150|       Roland, son compagnon. Le cœur lui manque, son heaume retombe,
16   165|    traverser un seul arpent, le cœur lui manque, il tombe, la
17   174|      tête elle descend vers son cœur. Jusque sous un pin il va
18   179| tiennent la poursuite d'un même cœur, tous ensemble. Quand l'
19   180|        à coups frappés de plein cœur. Ils les ont coupés des
20   184|       deuil pour Roland, et son cœur est lourd à cause d'Olivier,
21   200|   Baligant redevient fier ; son cœur s'emplit de joie et d'ardeur.
22   226|   soleil levant, et de tout son cœur invoque Dieu : « Vrai Père,
23   237|        qui à tous leur donne du cœur. Les païens disent : « La
24   249|         le lui écrase contre le cœur. Il rompt la ventaille de
25   251|         son écu blanc contre le cœur, déchire les pans de son