Chapitre

 1    74|            bonne et longue. Contre Durendal je veux l'essayer. Laquelle
 2    78|          de mon épée je conquerrai Durendal. Les Français mourront,
 3    83|            l'heure je frapperai de Durendal, de grands coups. Sa lame
 4    84|      mépris ! Mais je frapperai de Durendal à force, ma bonne épée que
 5    85|          et vous verrez l'acier de Durendal sanglant. Les Français sont
 6    88|      Frappe de ta lance, et moi de Durendal, ma bonne épée, que me donna
 7   104|        brisée et détruite. Il tire Durendal, sa bonne épée, toute nue.
 8   105|   chevauche par le champ. Il tient Durendal, qui bien tranche et bien
 9   112|        rencontre. J'y frapperai de Durendal, mon épée, et vous, compagnon,
10   119|            à toute force. Il tient Durendal, qui vaut mieux que l'or
11   141|            â la bataille. Il tient Durendal : il frappe en vaillant.
12   159|       meilleurs coups sont ceux de Durendal. » L'archevêque dit – Honni
13   168|          ne lui fasse reproche, et Durendal, son épée, en l'autre main.
14   171|           Marie, à mon aide ! Ah ! Durendal, bonne Durendal, c'est pitié
15   171|        aide ! Ah ! Durendal, bonne Durendal, c'est pitié de vous ! Puisque
16   172|    lui-même à la plaindre : « Ah ! Durendal, comme tu es belle, et claire,
17   173|            très doucement : « Ah ! Durendal, que tu es belle et sainte !
18   199| rencontrèrent. Roland lui donna de Durendal un tel coup qu'il lui a
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