Joseph Bédier
La chanson de Roland
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XLVIII

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XLVIII

 

ALORS vint un païen, Valdabron. Il s'approche du roi Marsile. En riant clair il dit à Ganelon : « Prenez mon épée, nul n'en a de meilleure ; la garde, à elle seule, vaut plus de mille mangons. Par amitié, beau sire, je vous la donne, et vous nous aiderez en sorte que nous puissions trouver à l'arrière-garde le preux Roland. – Ce sera fait », répond le comte Ganelon. Puis ils se baisèrent au visage et au menton.

 


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