Journée,  Nouv.

 1     9,      8|          la même ville, un nommé Blondel, d’une taille très-petite,
 2     9,      8|      même métier que Chiaque. Ce Blondel, un matin de carême, venait
 3     9,      8|             Hier au soir, répond Blondel, on en envoya trois beaucoup
 4     9,      8|          s’aperçut fort bien que Blondel avait voulu le jouer. La
 5     9,      8|    occasion de le remplir.~ ~ ~ ~Blondel, qui s’était beaucoup amusé
 6     9,      8|   trouver, et lui dis : Monsieur Blondel m’envoie vers vous, et vous
 7     9,      8|         s’enflammer, croyant que Blondel, qu’il connaissait fort
 8     9,      8|         repos qu’il n’eût trouvé Blondel. Dès qu’il le rencontra : «
 9     9,      8|         je lui parlerai. » Quand Blondel fut parti, Chiaque le suivit
10     9,      8|   comprendre dans le message que Blondel lui avait adressé, sinon
11     9,      8|  agitaient sur ce sujet, lorsque Blondel entra. Dès que Philippe
12     9,      8|         le nez. « Dieu ! s’écrie Blondel, étourdi de cette réception
13     9,      8|          sur le visage du pauvre Blondel une grêle de coups ; il
14     9,      8|        cette besogne, que jamais Blondel ne put lui faire entendre
15     9,      8|          des mains le malheureux Blondel. Ce fut alors qu’on l’instruisit
16     9,      8| recommanda de n’y plus revenir ; Blondel, tout en larmes, jurait
17     9,      8|    rencontra Chiaque. « Eh bien, Blondel ! lui dit celui-ci, en riant,
18     9,      8|          messire Philippe. »~ ~ ~Blondel, qui vit bien qu’il n’y
Best viewed with any browser at 800x600 or 768x1024 on touch / multitouch device
IntraText® (VA2) - Some rights reserved by EuloTech SRL - 1996-2011. Content in this page is licensed under a Creative Commons License