Journée,  Nouv.

 1   Vie        |   indulgence pour les défauts d’autrui sans laquelle il n’est point
 2     1,      1|         père, j’ai dit du mal d’autrui. J’avais jadis un voisin,
 3     1,      2|    lui-même et par le secours d’autrui, que, du plus grand jusqu’
 4     1,      9|        insultes qu’on faisait à autrui, mais qu’il souffrait encore
 5     2,      4|         ou de se dédommager sur autrui de ce qu’il avait perdu,
 6     2,      4|      argent et avides du bien d’autrui, conçurent le dessein de
 7     2,      5|       troubler ainsi le repos d’autrui ; » et, après ces mots,
 8     2,      6|         et mesurer les fautes d’autrui sur les leurs, et les leurs
 9     2,      6|      les leurs sur les fautes d’autrui, la mienne certainement
10     2,      8| subsistant que par le secours d’autrui, de songer à l’amour. «
11     3,      4|        pas toucher à la femme d’autrui, mais à la sienne propre.
12     3,      6|         labourer et non celui d’autrui. Je ne m’étonne plus si
13     4,     10|         se régaler aux dépens d’autrui, puisque son mari était
14     5,     10|         en blâmant les fautes d’autrui elle se procurait plus de
15     8,      7|      servir ni pour moi ni pour autrui ; mais l’amour que vous
16     9,      9|        m’importent les ordres d’autrui ? j’ai suivi ma fantaisie.
17    10,      3|       ne veux point dégrader en autrui ce que je ne puis illustrer
18    10,      8|       peu, l’autre, de censurer autrui ; mais, comme dans l’un
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