Journée,  Nouv.

 1     1,      1|        plus d’un an. – C’est une misère, mon cher enfant, et vous
 2     2,      1|       Allemand nommé Arrigne. La misère l’avait réduit à l’état
 3     2,      3|        leur avait laissée, et la misère où ils allaient se trouver
 4     2,      5|        ou de périr de faim et de misère dans ce tombeau, ou d’être
 5     2,      7|          a longtemps souffert la misère, et se trouve encore aujourd’
 6     3,      7|       trouver un asile contre la misère et les peines de la vie,
 7     4,      2|         se mettre à l’abri de la misère et se procurer les moyens
 8     4,      3|        toutes les horreurs de la misère qui les accompagna jusqu’
 9     5,      2|     prisonnier, dans une extrême misère. La plupart de ses compagnons
10     5,      9|      tâcher de s’étourdir sur la misère qu’il n’imputait qu’à lui-même,
11     5,      9| générosité, que le malheur et la misère n’avaient pu lui faire perdre. «
12     5,      9|        hui dans la plus affreuse misère ? – Je le sais, répliqua-t-elle ;
13     7,      9|          trouver ensuite dans la misère, sans pouvoir vous plaindre
14     7,     10|      trouvai force compagnons de misère. Étant ainsi mêlé parmi
15    10,      3|       qui lui ressemblassent, la misère disparaîtrait de la terre,
16    10,      8|        mort pour se sauver de la misère. Renvoyez-le, et donnez-moi
17    10,      8|       avait réduit à une extrême misère ? Quelle autre affection