Journée,  Nouv.

 1   Vie        |                deux la même carrière, on n’aperçoit pas que la plus légère aigreur
 2     2,      2|                 regarde par la fenêtre, et aperçoit, à la faveur d’une faible
 3     2,      4|                 approchant davantage, elle aperçoit des bras étendus sur la
 4     2,      5|                   trouver une issue ; il s’aperçoit que les latrines ne sont
 5     3,      7|                  doucement de la porte, et aperçoit de la lumière à travers
 6     3,      7|                  œil de cette fente, et il aperçoit très-distinctement une femme
 7     3,      8|                 voir la lumière. Dès qu’il aperçoit l’abbé, il se jette à ses
 8     4,    Cen|                  sur tous les objets qu’il aperçoit ; et ravi en admiration
 9     4,      1|                    que de l’examiner. Il s’aperçoit qu’elle est fendue, l’ouvre
10     4,      5|              creuse dans l’endroit où elle aperçoit une petite éminence. Elle
11     4,      7|               mouvement. Le Strambe, qui s’aperçoit que le corps de son ami
12     4,      9|                  de rien. Aussitôt qu’il l’aperçoit, il court à lui comme un
13     5,      8|                  tous côtés, et bientôt on aperçoit la jeune fille poursuivie
14     5,      9| très-respectueusement du plus loin qu’il l’aperçoit. Madame Jeanne, de son côté,
15     5,     10|                    dans cette cachette, et aperçoit celui qui avait éternué,
16     9,      8|                  entra. Dès que Philippe l’aperçoit, il s’élance vers lui, et
17    10,      3|                   se rend au même lieu. Il aperçoit Nathan qui se promène seul.