Journée,  Nouv.

 1     3,      1|   cette vue, la mère abbesse sent l’aiguillon de la chair
 2     3,      5|   que personne au monde n’en sent le prix autant que moi.
 3     3,      6|     que je vous aime : il ne sent pas autant que moi le prix
 4     3,      8|    il faisait profession. On sent bien que le drôle ne s’en
 5     4,      6|     couvre son visage, il se sent suffoquer : un moment après
 6     4,     10|  plus qu’il ne soit mort. On sent quelle dut être son affliction.
 7     5,     10|   servante, qui, comme on le sent très-bien, était dans sa
 8     7,      5|     surprendre le prêtre. On sent bien que la femme ne manqua
 9     7,      7|     avec elle aux échecs. On sent avec quel plaisir il accepta
10     7,      9| saurez donc que votre bouche sent extrêmement mauvais : je
11     8,      4|     je dois fuir tout ce qui sent la galanterie. Ainsi, trouvez
12     8,      6|       Si donc celui qui s’en sent coupable ne veut s’exposer
13     8,      7|    avec de l’eau de rose qui sent bon. Je faillis à perdre
14     8,      9|   peureux qu’une femmelette, sent ses cheveux se dresser,
15    10,      6|  leur touchant embarras ; il sent que l’amour se glisse insensiblement
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