Journée,  Nouv.

  1     1,    Int|         plaira davantage. Si vous êtes à cet égard d’un sentiment
  2     1,      1|         imagine que, si vous vous êtes confessé si fréquemment,
  3     1,      1|        toute la ferveur dont vous êtes capable. »~ ~ ~Le confesseur,
  4     1,     10|          de la raillerie. Si vous êtes sages, mes chères amies,
  5     2,      1|           que j’ai dit vrai, vous êtes trop équitable pour me faire
  6     2,      2|         usage de faire quand vous êtes en voyage ? – À vous dire
  7     2,      2|          D’où vient donc que vous êtes si pensif ? Est-ce que la
  8     2,      2|     afflige ? Consolez-vous, vous êtes en bonne maison, et regardez-moi
  9     2,      3|          celle de Dieu, dont vous êtes le digne vicaire. »~ ~ ~
 10     2,      5|         Il faut convenir que vous êtes bien poltrons ! Pour moi,
 11     2,      7|         de vous demander qui vous êtes ? » Se jeter à son cou et
 12     2,      8|         choix que j’ai fait. Vous êtes, aux yeux de tous ceux qui
 13     2,      9|           fini. Mais puisque vous êtes si prévenu contre la vertu
 14     2,      9|           a été grand ! Mais vous êtes équitable, seigneur, et
 15     2,     10|       vous la faire voir. Si vous êtes son mari ; elle vous reconnaîtra
 16     2,     10|       premier coup d’œil que vous êtes Richard de Quinzica, mon
 17     3,      2|        sortez d’ici. Vous vous en êtes donné même plus que de coutume,
 18     3,      3|          vous, que parce que vous êtes en droit, par votre caractère,
 19     3,      3| uniquement par rapport à vous qui êtes son ami, je n’ai pas même
 20     3,      3|          rendre, monstre que vous êtes. Tenez, les voilà ; les
 21     3,      3|     condescendance pour vous, qui êtes son ami, et c’est sans doute
 22     3,      3|    importunités ? Sachez que vous êtes pour elle un objet d’aversion
 23     3,      3|           et de mépris. Oui, vous êtes, j’en suis sûr, ce qu’elle
 24     3,      3|        vous à ses frères, si vous êtes assez aveugle pour faire
 25     3,      4|            lui dit-il, que vous n’êtes occupé que de votre salut ;
 26     3,      4|          de faim. Mais comme vous êtes mon ami, et que je voudrais
 27     3,      5|         autres qualités dont vous êtes ornée et qui vous soumettent
 28     3,      5|          est par amour. Oui, vous êtes trop humaine pour vouloir
 29     3,      6|        remédierait à rien. Vous n’êtes pas la seule femme qu’on
 30     3,      7|         le menace. – Mais si vous êtes de Constantinople, et que
 31     3,      7|           trois péchés, vous vous êtes rendue plus criminelle et
 32     3,      7|    manière ? Non, certes, vous en êtes vous-même convenue, et je
 33     3,      7|       jamais impuni, et vous vous êtes rendue coupable de ce crime
 34     3,      7|          de vie et de santé. Vous êtes à temps de réparer les tourments
 35     3,      7|         crois sans peine que vous êtes de mes amis, puisque vous
 36     3,      7|       faux indices. Voyez si vous êtes dans l’intention de leur
 37     3,      8|         pareille fortune. Si vous êtes sage, vous ne la laisserez
 38     3,      8|         sais lequel des deux vous êtes. » Après avoir parlé ainsi,
 39     3,      8|        apprenez-moi donc qui vous êtes ! – Je suis un mort comme
 40     3,      9|         comme je le présume, vous êtes dans l’intention de vous
 41     3,      9|         et lui dit : « Comme vous êtes à présent d’un âge à vous
 42     3,      9|         donner des preuves ; vous êtes maître de mes biens et de
 43     3,     10|         ainsi, mon bon père, vous êtes le maître de faire tout
 44     4,    Cen|         nous assistent ; car vous êtes déjà vieux, et bientôt hors
 45     4,    Cen|          rares qualités dont vous êtes pourvues. Si, dès le premier
 46     4,      1|   faiblesse du sexe. Comme vous n’êtes ni de fer ni de marbre,
 47     4,      1|           à l’incertitude où vous êtes sur ce que vous devez faire
 48     4,      2|         sur ma discrétion. – Vous êtes la plus heureuse de toutes
 49     4,      2|         des femmes, comme vous en êtes la plus belle. » La bonne
 50     4,      2|          moine, comment vous vous êtes trouvée de sa visite ; mais
 51     4,      2|       ayant eu avis que vous vous êtes réfugié dans une des maisons
 52     4,      3|          vais vous proposer. Vous êtes riches, et moi je ne le
 53     4,      4|        été amoureux, ou si vous l’êtes encore, il ne vous sera
 54     4,      6|          de mon malheur ; vous en êtes suffisamment informé : je
 55     4,      8|        mon mari se réveille, vous êtes perdu, et vous serez cause
 56     4,      8|           me rend heureuse : vous êtes trop honnête pour vouloir
 57     5,      2|    vieille où elle était : « Vous êtes près de Souse, en Barbarie. »
 58     5,      2|      pourvoir ; par ce moyen vous êtes sûr de le vaincre ; car
 59     5,      3|       route d’Alaigne, et vous en êtes à plus de six lieues. –
 60     5,      3|   venaient cette nuit, comme vous êtes jeune et jolie, ils ne manqueraient
 61     5,      3|           amants : « Puisque vous êtes résolus, leur dit-elle,
 62     5,      5|          d’autant moins, que vous êtes vous-mêmes intéressés dans
 63     5,      6|           vous-même que vous vous êtes laissé emporter trop loin
 64     5,      8|   infortunée. « J’ignore qui vous êtes, lui dit Anastase, et d’
 65     5,      9|           considère que vous vous êtes donné la peine de vous rendre
 66     5,     10|       votre jeu. Voilà comme vous êtes faites, vous autres femmes ;
 67     5,     10|     emportât toutes tant que vous êtes. »~ ~ ~La belle, voyant
 68     6,      6|        divers sentiments : « Vous êtes tous dans l’erreur, leur
 69     6,      6|     répliqua-t-il, puisque vous n’êtes point de mon avis. Au reste,
 70     6,      7|        fait. Mais, monsieur, vous êtes trop éclairé pour ne pas
 71     6,      7|         votre conscience, vous en êtes le maître ; mais avant de
 72     6,     10|      messieurs et dames, que vous êtes dans l’usage de donner tous
 73     6,     10|        par la grâce de Dieu, vous êtes avertis de vous rendre ici
 74     7,      2|      alors Perronnelle ; vous qui êtes un homme, vous qui allez
 75     7,      5|          les dire, puisque vous n’êtes pas prêtre, et que vous
 76     7,      5|          homme avisé comme vous l’êtes se laisse mener par une
 77     7,      5|         pourquoi. Aussi plus vous êtes devenu sot et stupide, moins
 78     7,      5|         yeux du corps, que vous l’êtes depuis quelque temps des
 79     7,      5|        ai-je fermée, lorsque vous êtes venu me trouver ? Je vous
 80     7,      7|             que de fois vous vous êtes montrées dignes d’éloges
 81     7,      8|       cruel, tandis que vous ne l’êtes pas ? À quelle heure, je
 82     7,      8|          ce n’est pas ce que vous êtes venu nous conter. Vous voilà
 83     7,      8|           crier à minuit que vous êtes une femme de mauvaise vie,
 84     7,      9|         Dieu ! monsieur, que vous êtes désagréable, quand vous
 85     7,      9|        mettre à l’endroit ou vous êtes maintenant assis. – Mais
 86     7,      9|           un enchantement. – Vous êtes, en vérité, aussi fou que
 87     8,      2|          en doute fort ; car vous êtes tous avares comme des diables. –
 88     8,      2|          mes noces. Voyez si vous êtes dans l’intention de me donner
 89     8,      2|   contenter. Nous verrons si vous êtes homme de parole. » Le curé,
 90     8,      3|           lamentait : « Vous vous êtes donc vengé sur votre femme,
 91     8,      7|         point couchée et que vous êtes gelé ; vous ne sauriez croire,
 92     8,      7|           ai maltraité, vous vous êtes vengé ; car quoique nous
 93     8,      7|            si vous l’exigez. Vous êtes un homme et je ne suis qu’
 94     8,      7|       défait la colombe ; et vous êtes trop galant homme pour employer
 95     8,      7|         la vérité, mais dont vous êtes déjà vengé. Ayez donc compassion
 96     8,      7|          votre honneur, dont vous êtes si fort en peine, et que
 97     8,      7|         vous secourir ? vous vous êtes donnée à lui et lui à vous :
 98     8,      7|       plaisanteries que vous vous êtes permises avec lui à mon
 99     8,      7|          motif d’indulgence. Vous êtes encore dans l’erreur, de
100     8,      7|      heureusement pour vous, vous êtes tombée dans le plus supportable
101     8,      9|        faisons ; mais, comme vous êtes de mes amis, je ne ferai
102     8,      9|        violons de Saggenali. Vous êtes un vrai prodige. – Vous
103     8,      9|          empêcher d’admirer. Vous êtes sensible à la beauté, c’
104     8,      9|  connaissance de Bulfamaque. Vous êtes si poli, si aimable, que
105     8,      9|         vois encore que vous n’en êtes pas resté à l’A, b, c, comme
106     8,      9|          Si je ne me trompe, vous êtes  un jour de dimanche.
107     8,      9|           facile de voir que vous êtes leur maître à tous. Je suis
108     8,      9|          que j’en voudrais ! Vous êtes un beau médecin de merde !
109     8,      9|         vous rendre service. Vous êtes cause que cette nuit nous
110     8,      9|           le peintre. Vous vous y êtes si bien recommandé, que
111     8,     10|           de m’apprendre que vous êtes dans l’intention de vous
112     9,      8|           votre compagnie. – Vous êtes un galant homme, et vous
113    10,      2|       Guinot, monsieur, dont vous êtes l’hôte, m’envoie vous prier
114    10,      3|         jusques aujourdhui. Vous êtes venu chez moi avec le désir
115    10,      4|      répondit la bonne dame, vous êtes en un lieu sûr. » Ayant
116    10,      7|       jeté les yeux sur vous, qui êtes plus à portée que personne
117    10,      7|           belle enfant ? vous qui êtes faite pour inspirer le plaisir,
118    10,      7|         vous en récompenser. Vous êtes en âge d’être mariée ; c’
119    10,      7|          mon chevalier, vous, qui êtes mon roi, vous sentez que
120    10,      8|         longtemps encore. Si vous êtes sages, ma confidence ne
121    10,      9|            mais, sachant que vous êtes loin de vos femmes, que
122    10,      9|     ordonnez. Je ne sais qui vous êtes, ni ne me soucie de le savoir
123    10,      9|           pas accroire que vous n’êtes que des marchands. Adieu. »
124    10,      9|            en lui disant : « Vous êtes messire Thorel d’Istrie,
125    10,      9|           moi, que c’est vous qui êtes le maître. » Après l’avoir
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