Journée,  Nouv.

 1     1,     10|         à Bologne un très-habile médecin, nommé maître Albert. À
 2     1,     10|         de gentillesse.~ ~ ~ ~Le médecin, qui vit bien qu’on le badinait,
 3     1,     10|        Chisolieri s’adressant au médecin, a reçu le juste châtiment
 4     2,      8|        un jeune mais très-habile médecin lui tâtait le pouls. Le
 5     2,      8|       émotion sur son visage, le médecin, sentant aussitôt son pouls
 6     2,      8|   Jeannette fut sortie. L’habile médecin crut alors avoir découvert
 7     2,      8|     lorsqu’elle fut éloignée. Le médecin, ne doutant plus qu’il n’
 8     2,      8|      allèrent le voir dès que le médecin fut sorti, « Mon fils, lui
 9     3,      9|        toujours auprès de lui un médecin, connu sous le nom de Gérard,
10     3,      9|         trouvait la fille de son médecin, nommée Gillette. Cette
11     3,      9|         pour femme la fille d’un médecin ! Je vous prie de me dispenser
12     8,      9|                NOUVELLE IX~ ~ LE MÉDECIN JOUÉ~ ~Un médecin,  à
13     8,      9|             LE MÉDECIN JOUÉ~ ~Un médecin,  à Florence, avait été
14     8,      9|          d’avocat, soit celui de médecin, soit celui de notaire,
15     8,      9|         que celui-ci eut avec le médecin, il fut aisé de s’apercevoir
16     8,      9|         de ses platitudes, et le médecin goûta les gentillesses du
17     8,      9|         plein d’esprit.~ ~ ~ ~Le médecin, voulant découvrir les ressources
18     8,      9|          notre bonheur. »~ ~ ~Le médecin, qui ne comprenait pas ce
19     8,      9|    davantage la curiosité du sot médecin : « Mon cher ami, lui dit
20     8,      9|          qu’il eut fait jurer le médecin : « Vous pouvez avoir ouï
21     8,      9|    violer vos serments. »~ ~ ~Le médecin, dont tout le savoir ne
22     8,      9|          ne soupât point chez le médecin, ce qui était rare, il s’
23     8,      9|        dire Gumèdre ? demanda le médecin ; je n’entends pas ce mot-là. –
24     8,      9|         et Avicenne, repartit le médecin. – Vous avez raison, continua
25     8,      9|        en dites-vous ? reprit le médecin. En vérité, répond le peintre,
26     8,      9|      famille de Vallechio. Aucun médecin de Florence n’a d’aussi
27     8,      9|         Parlez, ordonnez, dit le médecin transporté de joie, vous
28     8,      9|           Lebrun ayant quitté le médecin, dont il commençait à s’
29     8,      9|       pour rire à ses dépens. Le médecin, qui de son côté grillait
30     8,      9|    secrets à M. le docteur. » Le médecin lui protesta qu’il l’avait
31     8,      9|         paraît bien, monsieur le médecin, dit alors Bulfamaque, que
32     8,      9|         que vous étiez un savant médecin ; mais il n’avait pas ajouté
33     8,      9|        assuré qu’il n’y a pas de médecin à Florence qui se connaisse
34     8,      9|      cette comtesse ? demanda le médecin. – C’est, répondit Bulfamaque,
35     8,      9|        de Cacavincigli. »~ ~ ~Le médecin qui, dès sa plus tendre
36     8,      9|         n’a pas plutôt aperçu le médecin qu’il se met à sauter, à
37     8,      9|         affreux. À cette vue, le médecin, plus peureux qu’une femmelette,
38     8,      9|   ensuite du tombeau où était le médecin et s’y arrêta. Le docteur
39     8,      9|         main sur un des pieds du médecin, le pousse avec autant de
40     8,      9|     voudrais ! Vous êtes un beau médecin de merde ! Je voudrais que
41     8,      9|         pas se brouiller avec le médecin, se peignirent le corps
42     8,      9|         les mauvaises odeurs. Le médecin, les voyant paraître, alla
43     8,      9|      point de la supercherie. Le médecin cherche à se justifier,
44     8,      9|          dupera encore. »~ ~ ~Le médecin leur demanda pardon, fit
45     9,      3|          urine à maître Simon le médecin, qui, comme tu sais, est
46     9,      3|        vais savoir la réponse du médecin, et je l’amènerai, si cela
47     9,      3|        la bouteille d’urine ; le médecin l’examine avec attention. «
48     9,      3|       entre Lebrun accompagné du médecin. Il tâte le pouls du malade,
49     9,      3|        empêcher de rire. Pour le médecin, il se donnait libre carrière,
50     9,      3|        conseils et ses soins. Le médecin lui dit obligeamment : «
51     9,      3|           De retour chez lui, le médecin fit faire un bouillon qu’
52     9,      3|         amis vinrent le voir. Le médecin lui ayant tâté le pouls,
53    10,      2|        aux bains, un très-habile médecin, qui m’a parfaitement guéri. »
54    10,      2| pardonner à Guinot de Tacco, mon médecin, et de lui rendre vos bontés,
55    10,      9|       ses ordres pour opérer, un médecin apporta un breuvage. Il
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