Journée,  Nouv.

 1     1,      5|        dit-il avec un air riant, est-ce que dans ce pays seulement
 2     1,      6|        lui repartit aussitôt : « Est-ce que tu t’imagines que Dieu
 3     1,      8|         quelquefois de crimes. N’est-ce pas là une preuve évidente
 4     2,      2|        que vous êtes si pensif ? Est-ce que la perte de votre cheval
 5     2,      8|         Ingrat ! lui dit-elle, n’est-ce pas assez d’avoir le chagrin
 6     2,     10|       lui en souriant un peu : « Est-ce bien à moi, monsieur, lui
 7     2,     10| pouvez-vous vous en plaindre ? N’est-ce pas vous qui, pendant tout
 8     3,      2|         demander adroitement : « Est-ce que vous me jugez incapable,
 9     3,      6|       qui brûle pour une autre ! Est-ce là le prix de huit ans de
10     3,      7|         favoriser un amant, n’en est-ce pas un plus grand de le
11     3,      8|         donc là, mon cher père ? Est-ce qu’on peut aller en purgatoire
12     3,      8|           Eh quoi ! dit Féronde, est-ce que les morts mangent ? –
13     3,      8|     retournes jamais au monde. – Est-ce que les morts peuvent retourner
14     3,     10|         chose qui remuait : « Qu’est-ce que je vois là, lui dit-elle,
15     3,     10|        en faisait ressouvenir. « Est-ce que votre zèle se ralentit ?
16     4,      5|      demander à ses frères quand est-ce qu’il serait de retour.
17     4,     10|             Où suis-je donc ? Qu’est-ce que ceci ? disait-il en
18     4,     10|           si je ne me trompe. Qu’est-ce que cela signifie ? serait-il
19     4,     10|      vous en demande pardon. Qui est-ce qui n’en commet pas quelquefois ?
20     5,      2|     jetant un profond soupir : « Est-ce bien vous, ma chère amie ?
21     5,      4|         chanter le rossignol ? n’est-ce pas l’ordinaire des enfants ? –
22     5,     10|          opprobre de notre sexe. Est-ce donc là la récompense qu’
23     6,      2|          réponse, demande-lui où est-ce qu’il pense que je t’envoie. »
24     6,      9|        vu faire, s’écrièrent : « Est-ce donc là l’homme dont on
25     7,      3|      frère Renaut, lui dit-elle, est-ce que les religieux font ces
26     7,      3|      tout haut : « Ma commère, n’est-ce pas le compère que j’entends ? –
27     7,      5|       les nuits avec moi : quand est-ce que vous avez manqué d’y
28     7,      5|          ait pu s’y méprendre. N’est-ce pas en effet être imbécile,
29     7,      8|      elle se mit à crier : « Qui est-ce ? – Tu le sauras bientôt,
30     7,      8|      mais dans la maison ? quand est-ce que vous m’avez battue ?
31     7,      9|    Quelle gloire, quel honneur n’est-ce point pour vous d’être aimé
32     7,      9|        je songe à vos scrupules. Est-ce nous autres domestiques
33     7,      9|         madame ! et toi, Pirrus, est-ce ainsi que tu respectes ton
34     8,      2|          souffrir ? – Moi, et qu’est-ce que je vous fais ? – Tu
35     8,      2|         rien à la vérité, mais n’est-ce pas assez de m’empêcher
36     8,      2|       toi ce que je voudrais ? – Est-ce que les prêtres font cela ? –
37     8,      3|            plus de mille fois. – Est-ce bien loin d’ici ? – Il y
38     8,      6|      fille dans ce voisinage : n’est-ce point à cette maîtresse
39     8,      7|       soit si sensible au froid. Est-ce qu’un peu de neige est capable
40     8,      7|     moment vous brûliez d’amour. Est-ce que vos feux seraient déjà
41     8,      7|        mal qu’on en a reçu. Mais est-ce se venger que de te faire
42     8,      7|         de te faire souffrir ? n’est-ce pas plutôt te châtier d’
43     8,      7|          tristes plaintes. « Qui est-ce qui gémit là-haut ? » cria-t-il.
44     8,      8|          ceci ? dit la voisine ; est-ce pour cela que vous m’avez
45     9,      4|         à monter à cheval : « Qu’est-ce que ceci ? lui dit-il ;
46     9,      5|     amour que j’ai eu pour toi ! Est-ce que tu n’as pas assez d’
47     9,      5|    ailles en chercher ailleurs ? est-ce que tu ne te connais pas,
48     9,      6|      éveille : « Adrian, dit-il, est-ce qu’il est déjà jour ? –
49     9,      8|          gâterais les miennes. – Est-ce là tout ? dit le gagne-denier. –
50    10,      3|          de donner cent ans ; qu’est-ce donc que d’en sacrifier
51    10,      8|         sans conseil de parents. Est-ce donc une chose si rare et
52    10,      8|        qu’elle est pitoyable ! N’est-ce donc que d’aujourd’hui que
53    10,      8|           Si elle a été trompée, est-ce ma faute ? Pourquoi ne s’