Journée,  Nouv.

 1     2,      2|      presque tout nu, exposé au froid et à la neige qui tombait
 2     2,      2|        parti prendre. Transi de froid et claquant des dents, il
 3     2,      2|         de se laisser mourir de froid, de gagner le chemin de
 4     2,      2|         mains engourdies par le froid, il gémit sur son état et
 5     2,      2|       le voyant presque mort de froid, elle le fait entrer dans
 6     4,    Cen|        point. S’ils ont le cœur froid et glacé, peu fait pour
 7     4,      6|      trouvant sans mouvement et froid comme glace, elle gémit,
 8     4,      8|         avoir son corps gelé de froid. On était dans l’hiver ;
 9     4,      8| éveiller. Étonnée de le trouver froid comme glace, elle le touche,
10     5,      3|        jour, lorsque, transi de froid et de peur, il regarda de
11     7,      3|      destinés à les défendre du froid, et non pour les faire paraître
12     7,      5|       cap, mourant de dépit, de froid et de faim, car il n’avait
13     8,      7|         morfondre d’amour et de froid. Il était tombé le jour
14     8,      7|         pouvait presque plus de froid au bout d’une demi-heure ;
15     8,      7|       dans un lieu si exposé au froid ; mais un de ses frères,
16     8,      7|   possible. Je souffre moins du froid que de l’impatience de ne
17     8,      7|       sagesse ? crois-tu que le froid que je lui fais endurer
18     8,      7|         vous prie ; je meurs de froid et d’amour. – Je ne saurais
19     8,      7|    billets, soit si sensible au froid. Est-ce qu’un peu de neige
20     8,      7|        car je n’en puis plus de froid. – Comment cela se peut-il ?
21     8,      7|        Accablé de fatigue et de froid, Régnier fut à peine de
22     8,      7|         pouvoir le rétablir. Le froid l’avait tellement saisi,
23     8,      7|         lui faisait éprouver un froid qui lui donnait des craintes
24     8,      7|      souffert beaucoup moins de froid et moins longtemps que lui.
25     8,      7|   juillet, j’ai pensé mourir de froid cette nuit, parce que je
26     8,      7|     pensâtes me faire mourir de froid, mes prières qui, à la vérité,
27     8,      7|        m’avoir fait souffrir le froid de la nuit, ne me laissez
28     8,      7|         et si tu la compares au froid que tu m’as fait endurer,
29     8,      7|        est que, pour guérir mon froid, il ait fallu me mettre
30     8,      9|       dis ceci parce qu’il fait froid, et que messieurs les médecins
31     8,      9|        la bête, malgré le grand froid qu’il faisait. Bulfamaque,
32    10,      5|  Quoique le Frioul soit un pays froid, il ne laisse pas d’être