Journée,  Nouv.

 1     2,      9|         à profit. Un seul, nommé Bernard Lomelin, de Gênes, fut d’
 2     2,      9|     Plaisance. Pour se moquer de Bernard, il lui demanda si l’Empereur
 3     2,      9|         non philosophe, répondit Bernard ; comme négociant, je réponds
 4     2,      9|     Cette contestation, répliqua Bernard tout en colère, nous mènerait
 5     2,      9|       pour l’informer du pari. » Bernard répondit qu’il ne demandait
 6     2,      9|     voyage, prierait la femme de Bernard de le lui garder pour quelques
 7     2,      9|     avait dérobées à la femme de Bernard, connue sous le nom de madame
 8     2,      9|          leur dit en présence de Bernard qu’il avait gagné le pari,
 9     2,      9|        avait fait présent.~ ~ ~ ~Bernard, un peu décontenancé, avoua
10     2,      9|        mots percèrent le cœur de Bernard. Il partit aussitôt de France
11     2,      9|            Quelques jours après, Bernard se rendit à Gênes. La disparition
12     2,      9|        établis dans cette ville. Bernard, qui ne se doutait pas du
13     2,      9|      seconde fois en présence de Bernard, qui était en ville, et
14     2,      9|        vérité. »~ ~ ~Ambroise et Bernard ayant paru devant le soudan,
15     2,      9| détermina, malgré la présence de Bernard et de toute la cour, à raconter
16     2,      9|         parole, et s’adressant à Bernard : « Et toi, dit-il, que
17     2,      9|         dut être l’étonnement de Bernard, qui croyait que sa femme
18     2,      9|    moi-même qui suis la femme de Bernard, la malheureuse Genèvre,
19     2,      9|       avait faite, il pardonna à Bernard l’excès de sa barbarie,
20     2,      9|        beau festin, où il invita Bernard comme mari de madame Genèvre,
21     7,      1|       fois les discours de saint Bernard, l’hymne de sainte Mathilde,
22    10,      7|     apothicaire florentin, nommé Bernard Puccini, père d’une fille
23    10,      7|          un tournoi, la fille de Bernard, la belle Lise, c’était
24    10,      7|       étiez roi, et moi fille de Bernard l’apothicaire, et qu’il