Journée,  Nouv.

 1     2,      2|     vivait, un marchand nommé Renaud d’Ast, venant de Bologne,
 2     2,      2|    lui faire politesse.~ ~ ~ ~Renaud, charmé de leurs bons procédés,
 3     2,      2|     au nombre de trois, dit à Renaud : « Et vous, mon gentilhomme,
 4     2,      2|          Sans doute, répondit Renaud. – Tant mieux pour toi,
 5     2,      2|        et puis se jettent sur Renaud, lui enlèvent son cheval
 6     2,      2|              Le domestique de Renaud, qui était resté derrière,
 7     2,      2|       maître.~ ~ ~ ~Cependant Renaud, presque tout nu, exposé
 8     2,      2|     des flammes ; si bien que Renaud, n’apercevant ni maison
 9     2,      2|      au bas un petit couvert. Renaud s’y arrêta sans balancer,
10     2,      2|  servait de couvert au pauvre Renaud, logeait une jeune veuve,
11     2,      2|    sortait dans le moment que Renaud s’était placé dans cet endroit ;
12     2,      2|     demande ce qu’il fait là. Renaud veut lui répondre ; mais
13     2,      2|      il a besoin de manger. » Renaud paraît, et fait son compliment
14     2,      2| malheur qui lui était arrivé. Renaud lui en fit le récit dans
15     2,      2|   fille avait sera le souper. Renaud eut ordre de se mettre à
16     2,      2|     des manières agréables de Renaud, elle conçut de la passion
17     2,      2|      feu où elle avait laissé Renaud, qui, comprenant très-bien
18     2,      2|      la passion la plus vive, Renaud, qui n’était rien moins
19     2,      2|     mille tendres baisers que Renaud lui rend avec usure. Après
20     2,      2|       portes furent ouvertes, Renaud, feignant de venir de plus
21     2,      2|   avaient égarée. Après cela, Renaud, rendant grâces à Dieu et