Journée,  Nouv.

 1     1,      6|        qu’oui, sans hésiter. « N’as-tu rien entendu, reprit le
 2     1,      7|    triste et un air rêveur. « Qu’as-tu, Bergamin ? lui dit ce seigneur,
 3     1,      7|        pouvait lui répondre ; qu’as-tu donc ? tu parais avoir du
 4     2,      8|         un mal d’amour. Pourquoi as-tu craint de m’en faire l’aveu ?
 5     3,      6|     moudre à mon moulin… Mais, n’as-tu rien à dire, misérable ?
 6     3,      6|       mal ferais-je en effet ? N’as-tu pas voulu et cru jouir de
 7     4,      5|         dit un de ses frères. Qu’as-tu affaire de Laurent, pour
 8     7,      5|         Comment ! malheureuse, n’as-tu pas dit à celui qui te confessa,
 9     7,     10|      voyant dans cet état : – Qu’as-tu donc fait plus que les autres
10     8,      6|     avait aucunement imposé. « L’as-tu vendu bien cher ? continua
11     8,     10|      pleurer de compagnie : « Qu’as-tu donc, ma chère amie ? d’
12     9,      2| parles-tu, impudente ? dit-elle. As-tu bien l’audace de vouloir
13     9,      3|        donc ? dit Calandrin. – N’as-tu pas senti quelque chose
14     9,      3|           Calandrin, quel visage as-tu là ! on te prendrait pour
15     9,      5|           lui dit : « Que diable as-tu donc, Calandrin ? tu ne
16     9,      5|          lui dit doucement : « L’as-tu vue ? – Hélas ! oui, et
17     9,      8|       bien ! lui dit-il, comment as-tu trouvé les lamproies de
18     9,      8|      celui-ci, en riant, comment as-tu trouvé le vin de messire
19     9,      8|       messire Philippe ? – Que n’as-tu trouvé de même les lamproies
20     9,     10|       bonhomme de mari, pourquoi as-tu gâté tes affaires et les
21     9,     10|     affaires et les miennes ? où as-tu jamais vu de jument sans