Chap.

  1     I|       depuis ces deux semaines que Mme de Méris – l’aînée – avait
  2     I|             avait rejoint l’autre, Mme Liébaut qui faisait faire
  3     I|            joyaux de demi-deuil de Mme de Méris, sa chaîne en platine
  4     I|      antipathie de sa cadette pour Mme de Fugré ne lui échappait
  5     I|         deux sœurs une discussion, Mme Liébaut se taisait. Cette
  6     I|  réconciliation après le désastre. Mme de Méris, à ce sujet, avait
  7     I|     répondit, vivement cette fois, Mme Liébaut. « Il n’y a aucun
  8     I|            l’intention, » répliqua Mme de Méris avec la même ironie.
  9     I|            malveillance latente de Mme de Méris, qui se reprit
 10     I|             La femme de chambre de Mme de Méris était maintenant
 11     I|          regardait ?… » interrogea Mme de Méris… « c’était toi. »~ «
 12     I|              C’était toi… » reprit Mme Liébaut en riant ; « moi,
 13    II|       aurait dit un poète antique. Mme Liébaut avait sa place fixée
 14    II|          son côté, il avait aperçu Mme Liébaut avant même qu’elle
 15    II|   dissentiment durant le séjour de Mme de Méris. Que de fois, le
 16    II|           avait pas manifesté pour Mme Liébaut une admiration par
 17    II|           plus les yeux du côté de Mme Liébaut. Celle-ci était
 18    II|       homme si sévèrement jugé par Mme de Méris. Faut-il dire qu’
 19    II|          vitres la fin du dîner de Mme Liébaut. Il l’avait vue
 20    II|      questionnait sur le départ de Mme de Métis. Ensuite, sans
 21    II|           donc rien d’étonnant que Mme Liébaut sût le nom du brillant
 22    II|    excellent homme l’antipathie de Mme de Méris. Mme Liébaut, elle,
 23    II|        antipathie de Mme de Méris. Mme Liébaut, elle, lui avait
 24    II|          nuit à son repos d’asile. Mme Liébaut écoutait cette plainte,
 25   III|           COMPTE D’UNE AUTRE~ ~ ~ ~Mme Liébaut se doutait si peu
 26   III|           l’éclairait tout entier. Mme Liébaut n’eût pas plus tôt
 27   III|       délicatesse égale à celle de Mme Liébaut. Celle-ci lui sut
 28   III|      derrière ces quelques mots de Mme Liébaut, et qu’ils exprimaient
 29   III|          bleu pris au lit du Rhin. Mme Liébaut et Brissonnet se
 30   III|       voyant les jolis sourcils de Mme Liébaut se froncer à cette
 31   III|            il s’occupait, comme de Mme Liébaut, en Sigisbée désintéressé
 32   III|           entraîné vers l’alléeMme Liébaut s’installait le
 33   III|        Favelles, qui avait rejoint Mme Liébaut pendant les cinq
 34   III|       restait debout. La phrase de Mme Liébaut équivalait à une
 35   III|        sensations pareilles… » dit Mme Liébaut, après un silence.~ ~ «
 36    IV|           de l’aînée. C’était bien Mme de Méris qu’il avait remarquée
 37    IV|           cas n’était pas celui de Mme Liébaut. La sœur d’Agathe
 38    IV|       toute cette fin du séjour de Mme Liébaut, les énergies de
 39    IV|      vérandah. – Après le déjeuner Mme Liébaut lui était apparue,
 40    IV|   interrompit :~ ~ « N’ennuyez pas Mme Liébaut de ces misères,
 41    IV|           Il s’était retourné vers Mme Liébaut pour prononcer ces
 42    IV|          il fit arrêter le landau. Mme Liébaut consentit à descendre,
 43    IV|       avait marché jusqu’au seuil. Mme Liébaut et Favelles le virent,
 44     V|       garder le lit deux semaines. Mme Liébaut étant partie de
 45     V|            mises, elle et sa sœur, Mme de Méris, en présence du
 46     V|           femme paraissait touché. Mme de Méris, elle, avait changé
 47     V|            éprouver cette passion, Mme de Méris l’avait déclarée
 48     V|          le commandant Brissonnet. Mme Liébaut, au contraire, avait
 49     V|      Madeleine ou d’Agathe ? Quand Mme Liébaut pensait, à quelque
 50     V|  après-midi de novembre, c’est que Mme de Méris était arrivée pendant
 51     V|      soulignaientnaïvement, car Mme de Méris n’y avait pas entendu
 52     V|          le changement d’humeur de Mme Liébaut. Comme celle-ci
 53     V|           était arrivé souvent que Mme de Méris l’avait regardée
 54     V|         intérêt de l’officier pour Mme de Méris lui faisait-il
 55     V|          avais dans ma loge, hier, Mme Éthorel. Tu sais comme elle
 56     V|             ou l’on va jaser… »~ « Mme Éthorel est une méchante
 57     V|      derniers jours ? » interrogea Mme Liébaut. « Oui, » insista-t-elle, «
 58     V|         fixés sur elle, mais quand Mme de Méris n’était pas là,
 59     V|       sortir. »~ « Moi ? » s’écria Mme Liébaut, avec une émotion
 60     V|           malveillante remarque de Mme Éthorel. Ne serait-il pas
 61     V|           entendre dire : « J’aime Mme de Méris ? … » Si pourtant
 62     V|            après cette démarche de Mme Liébaut de cesser ses visites
 63     V|       après ?… » répondit vivement Mme de Méris. « Oui, après ?
 64     V|            pas… »~ « À toi ? » fit Mme Liébaut… « Quelle raison
 65     V|           plus d’alors, » répliqua Mme de Méris. « Mais, je t’en
 66     V|         venue précisément de cette Mme Éthorel, dont la malveillante
 67     V|           comme le bruit du pas de Mme Éthorel montant l’escalier
 68    VI|        Crucifiée par les propos de Mme Éthorel, si inconsidérés
 69    VI|           jusque dans ses moelles. Mme de Méris avait fait comme
 70    VI|          venu ! Depuis des années, Mme de Méris avait été, dans
 71    VI|           des rues qui la coupent. Mme de Méris occupait dans ce
 72    VI|         impersonnalité d’un décor. Mme de Métis avait essayé d’
 73    VI|            venu vous parler… »~ ~ ~Mme de Méris n’avait jamais
 74    VI|         forte de souffrance. Cela, Mme de Méris l’avait reconnu
 75    VI|         que je connais, » répondit Mme de Méris, « a toujours été
 76    VI|             Et, avec un accent que Mme de Méris ne lui connaissait
 77    VI|        totale de bas soupçons, que Mme de Méris ne put s’empêcher
 78    VI|    voulez-vous dire ? » interrogea Mme de Méris, soudain toute
 79   VII|          Lorsque le médecin quitta Mme de Méris, le malheureux
 80   VII|          quitté depuis dix minutes Mme de Méris que sa loyauté
 81   VII|        Cacherait-il qu’il avait vu Mme de Méris, ou, tout au contraire,
 82   VII|           où sa sœur d’abord, puis Mme Éthorel l’avaient quittée.
 83   VII|       exécutât la promesse faite à Mme de Méris n’était-elle pas
 84  VIII|        sortit, ne fut pas celle de Mme de Méris. La pendule fixée
 85  VIII|       billet à remettre aussitôt à Mme de Méris. « J’ai eu une
 86  VIII|           d’exaltation, celui dont Mme de Méris l’avait vu possédé.
 87  VIII| possibilité d’un tête-à-tête entre Mme Liébaut et le commandant
 88  VIII|        avaient ébranlé la santé de Mme Liébaut au point de donner
 89  VIII|           mes assiduités auprès de Mme de Méris auraient été remarquées ?… » «
 90  VIII|           ai jamais fait la cour à Mme de Méris, je vous en donne
 91  VIII|           cru moi-même d’un autre. Mme de Méris est veuve. Elle
 92  VIII|           Mes assiduités auprès de Mme de Méris semblaient traduire
 93  VIII|        votre estime… et à celle de Mme de Méris. Rien ne me coûtera
 94  VIII|     continue de parler, » répondit Mme Liébaut. Sa voix aussi s’
 95  VIII|        verra plus dans le monde de Mme de Méris, et le motif de
 96  VIII|            aimes aussi ? » demanda Mme de Méris.~ ~ « Ah ! passionnément, »
 97    IX|      vivement.~ ~ «  bien, » dit Mme de Méris avec un regard
 98    IX|           La première est celle de Mme Éthorel qui a débité, sous
 99    IX|          qui suis allée raconter à Mme Liébaut que Brissonnet compromettait
100    IX|           Brissonnet compromettait Mme de Méris. Les deux sœurs
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