Chap.

 1     I|     récente que Madeleine et son mari avaient eue avec un des
 2     I|         tête, « les torts de son mari se réduisent à aimer trop
 3     I|          par vanité, puisque ton mari et toi vous l’avez toujours
 4     I|        réellement lui trouver ce mari dont elle prétend qu’elle
 5    II|       Grâce aux relations de son mari avec un des médecins des
 6    II|         Souhaiter à une femme un mari et un enfant, » se disait-elle, «
 7    II|      bien prises, que j’aime mon mari de tout mon cœur… Il saura
 8   III|          écrire longuement à son mari. Elle lui envoyait ainsi
 9   III|          lettre si franche à son mari, elle ne gardait aucune
10   III|      envie du fruit défendu. Son mari est un brave homme et un
11    IV|       jeune femme l’image de son mari occupé à sa besogne de docteur
12    IV|         lettre quotidienne à son mari, elle n’eut pas une seconde
13     V|        dit : « Je t’ai trouvé ce mari que tu m’as permis de te
14     V|    sauveur de sa fille, comme au mari possible de sa sœur. Elle
15     V|      aînée. Elle, la femme de ce mari si loyal, si dévoué qu’était
16    VI|     possible. Madeleine aime son mari, et elle m’aime. Elle ne
17    VI|      admettre qu’elle trahit son mari… Et ce n’est pas ! Ce n’
18    VI|         homme réalise le type du mari trahi, c’est bien lui… La
19    VI|       très spécial des études du mari de Madeleine suffit à expliquer
20    VI|         domaine technique où son mari vivait en pensée lui était
21    VI|          du grand ouvrage de son mari portait ce titre dont le
22    VI|       égard de la Science de son mari étaient depuis lors très
23    VI|          Liébaut lui-même, et le mari malheureux allait initier
24    VI|        au lieu de les guérir. Le mari de Madeleine appartenait
25    VI|  rapports avec vous ? Je suis le mari de votre sœur. Nous sommes
26    VI|       dans ses relations avec le mari de sa sœur cadette. C’était
27    VI|          alors… » Ici la voix du mari jaloux se fit singulièrement
28    VI|     Pourtant l’un et l’autre, le mari et la sœur, furent traversés
29   VII| déshonorant de sa prérogative de mari ! Mais il subissait une
30   VII|        avait pris la main de son mari, en prononçant cette phrase
31   VII|        toutes avaient infligé au mari la trop lourde impression
32   VII|     autant plus prévenante à son mari qu’elle ne se pardonne pas
33   VII|        épouse peut avoir pour ce mari une amitié réelle. Tant
34   VII|    traversait sa femme rendit au mari jaloux la frénésie de cette
35   VII|         la chambre, les nerfs du mari soupçonneux se détendirent.
36   VII|         qui n’est pas humain. Le mari de Madeleine devait succomber
37   VII|      invoquait le secours de son mari à cette occasion, quelque
38   VII|       pas ta faute si ton pauvre mari n’est qu’un tâcheron d’amphithéâtre
39   VII|         de cet entretien que son mari avait eu avec sa sœur la
40   VII|          cette découverte de son mari, cette divination du sentiment
41   VII|     jusqu’au fond du cœur de son mari la croyance à cet héroïque
42   VII|      elle venait de lui dire, le mari, si magnanime pourtant par
43   VII|   tromper la perspicacité de son mari afin de l’épargner. Hélas !
44   VII|       inquisitions angoissées du mari de Madeleine n’avaient rien
45   VII|         Madeleine, » répondit le mari avec une fermeté singulière, «
46   VII|      comme celle qu’éprouvait ce mari si loyal d’une femme si
47   VII|           en se demandant si son mari ne lui tendait pas de nouveau
48   VII|       point. Elle sentit que son mari trouverait l’apaisement
49  VIII|       cette explication avec son mari. Elle était couchée dans
50  VIII|      humble, très simple, que ce mari, passionnément épris de
51  VIII|      tremblait que le pas de son mari ne lui annonçât qu’il avait
52  VIII|       une façon si tragique ! Le mari de Madeleine était, je l’
53  VIII|    accueillir la rétractation du mari jaloux de la veille, transformé
54  VIII|            finit par conclure le mari de Madeleine, en secouant
55  VIII|       ici et qu’il m’a parlé… Un mari, même le plus aveuglé, ne
56  VIII|          aînée avait donné à son mari ?… Cette idée suffisait
57  VIII|     trouvé le moyen d’abuser son mari. Le malheureux ne sera pas
58  VIII|       point de donner l’éveil au mari ?… Mais Agathe ne raisonnait
59  VIII|      avez respecté en moi ni mon mari ni mes enfants. Vous m’avez
60  VIII|          salon du cabinet de son mari, d’un pas si rapide qu’Agathe,
61    IX|         avec une tendresse où le mari jaloux vit une dernière
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