Chap.

 1     I|             plus bourgeoisement, à un médecin de grand avenir dont la
 2     I|              totale. L’indignation du médecin contre le spéculateur s’
 3    II|         dînait à l’heure fixée par le médecin, sous la surveillance de
 4    II|             auprès de la femme de son médecin avaient même fourni aux
 5   III|          encore elle vit en pensée le médecin recevant cette lettre, au
 6   III|              un brave homme et un bon médecin. Son diagnostic est de premier
 7    IV|            soldat pour me dévouer… Un médecin qui a eu à se plaindre d’
 8    IV|            fois elle avait entendu le médecin professer, lui aussi, cette
 9    IV|              auraient les rapports du médecin et de l’officier, s’ils
10    IV|             prière, sa joie, quand le médecin du village, appelé à la
11     V|       Marchand dans le petit monde du médecin et de sa belle-sœur, ces
12    VI|     indulgente pour son beau-frère le médecin. Elle la retrouvait, cette
13    VI|               Mais de quoi ?… » ~ ~Le médecin était chez sa belle-sœur
14    VI|               dans la bibliothèque du médecin, poussée par cette torturante
15    VI|             habileté avec laquelle le médecin soignerait leur fille si
16    VI| extraordinaire. Lequel ? Le visage du médecin, grave d’habitude, mais
17    VI|              en rends trop compte, un médecin timide, un médecin sentimental
18    VI|         compte, un médecin timide, un médecin sentimental et qui garde
19    VI|            trompa point. Le métier du médecin est comme celui du peintre
20    VI|           Quel rapport ?… » répéta le médecin. « Quand on aime, on sait
21   VII|               domestique ! Lorsque le médecin quitta Mme de Méris, le
22   VII|               aime donc !… » pensa le médecin. Que de preuves de dévouement
23   VII|           empressement de la femme du médecin une perspicacité qui la
24   VII|           Pourquoi ?… » interrogea le médecin. Il avait saisi dans l’accent
25   VII|             méritais point !… » ~ ~Le médecin la vit trembler de tout
26   VII|           Hélas ! il suffisait que le médecin entrevît cette seule chance
27   VII|           force de sourire, « toi, un médecin ?… C’est vrai. Je ne suis
28   VII|    reparaissait dans les prunelles du médecin. Les jalousies sentimentales,
29  VIII|            HÉROÏQUE MENSONGE~ ~ ~ ~Le médecin prouvait, par ces phrases
30  VIII|         chambre à coucher de celle du médecin, elle pouvait voir briller
31  VIII|          mouvoir, lui et sa femme. Le médecin avait sous les yeux plusieurs
32  VIII|              deux. Il faut » (le naïf médecin avait souligné ce mot en
33  VIII|             profonde des timidités du médecin lui suggérait. « Il est
34  VIII|            communiquait du cabinet du médecin au petit salon de Madeleine.
35    IX|               une heure plus tard, le médecin revint aux nouvelles rue