Chap.

 1     I|         faisait faire à sa petite fille la cure des eaux de Ragatz,
 2     I|        Cette allusion à sa petite fille pour la santé de laquelle
 3    II|     docteur. Mais la vanité d’une fille grandie dans un milieu de
 4    II|         appartement séparé, où sa fille et son institutrice, elle-même
 5    II|           yeux se posèrent sur sa fille qui dînait à l’heure fixée
 6    II|    Cependant elle interrogeait sa fille sur son emploi de fin de
 7    II| prodiguait sans cesse à sa petite fille. Encore cette fois, il avait
 8    II|          et causer avec sa petite fille encore éveillée, elle s’
 9    II|      villa), elle eut embrassé sa fille endormie, et qu’elle se
10   III|       eaux et de la santé de leur fille. Ce matin encore elle vit
11   III|           la main, avec sa petite fille, qu’il ne s’agissait d’amour,
12   III|      danger ? – les boucles de sa fille, qui leva son joli visage
13   III|      trois heures, avec sa petite fille. Assise sur une chaise à
14   III|          grande sœur de la petite fille qui jouait près d’elle comme
15   III|          où l’attendait la petite fille sur le bord de l’eau. Dans
16   III|           attirant contre elle sa fille rougissante de curiosité.
17   III|      monsieur, » répéta la petite fille, puis, avançant son fin
18   III|     flattait la joue de la petite fille qui s’était tapie contre
19   III|        seule se promenade avec sa fille, elle laissa Favelles et
20    IV|          priés, elle et sa petite fille, à une longue partie de
21    IV|          beaucoup, tantôt avec sa fille toute rose et gaie, tantôt
22    IV|      Brissonnet suivit. La petite fille qui avait marché, durant
23    IV|         landau où était la petite fille. Le cocher, littéralement
24    IV|        était arrêtée et la petite fille sauvée. Quelques minutes
25    IV|          les cheveux de la petite fille, debout, elle aussi, auprès
26    IV|        les vêtements de la petite fille étaient tachés, et l’officier,
27     V|          sœur, à son épouse, à sa fille, à tout ce qu’il aime, à
28     V|            comme au sauveur de sa fille, comme au mari possible
29     V|          de cette adorable petite fille qu’était Charlotte, elle
30     V|          Charlotte et Georges, sa fille et son fils, – et aussi
31    VI|         se rappelle que sa petite fille avait souffert, à la suite
32    VI|           médecin soignerait leur fille si jamais ce funeste présage
33   VII|         petit garçon et la petite fille avaient l’habitude de dîner
34   VII|       présence d’un fils ou d’une fille entre des parents exerce
35   VII|         embrassait son fils et sa fille. Leur incohérence traduisait
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