Chap.

 1     I|     devenir tout naturellement une grande dame !… Ce que je veux dire
 2     I|          fin de phrase. « C’est ma grande maxime, tu sais : on doit
 3     I|           pas mère, c’est une trop grande misère. Tu es ma sœur, ma
 4     I|         pas. Ce que tu appelles ta grande maxime, ce sont tes goûts.
 5     I|        petite sœur quand on est sa grande… Autorise-moi seulement
 6    II| réunissaient, les uns autour de la grande table centrale, les autres
 7    II|           pas perdu un pouce de sa grande taille, il est obligé de
 8    II|          manquer une première, une grande vente, une ouverture d’exposition.
 9    II|            les deux hommes dans la grande glace qui servait de panneau
10   III|            dans ses beaux jours de grande piaffe, mangé une vingtaine
11   III|       jeunesse à la croire la très grande sœur de la petite fille
12   III|       époque on avait installé une grande cage au milieu de l’arène.
13   III|       propres yeux l’intimité trop grande de cet entretien, – elle
14    IV|        dire ignoblement, c’est une grande épreuve. Quel est le soldat
15    IV|          venir les chevaux dans la grande rue du village, à cause
16     V|       toujours là pour t’aider, ma grande, répondit Madeleine, qui
17     V|            qu’elles ont inspiré la grande passion. Je ne suis pas
18    VI|         elle habitait. C’était une grande bâtisse palatiale, pour
19    VI|        haute valeur. Là encore, la grande loi de la mésintelligence
20    VI|           n’a fait que rendre plus grande cette intimité… Cet homme
21    VI|       devoir : une insistance plus grande encore dans ses dénégations
22   VII|            dis pas non… Tu as donc grande envie de quitter Paris ? »
23  VIII|           et lui aussi. Avec cette grande fortune à sa disposition,
24  VIII|             mon autorité sera plus grande… Est-ce bien sûr ? Oui,
25  VIII|     minutes, entre la pointe de la grande aiguille et le chiffre II,
26  VIII|        fait juste. Il y a une trop grande disproportion entre les