Chap.

 1     I|  vulgarité, – quoique rien ne fût moins vulgaire que cette
 2     I|     entretenir, si peu que ce fût, avant son départ, la fit
 3    II|     circonstances. Où qu’elle fût, choses et gens semblaient
 4   III|        si raisonnable qu’elle fût, elle gardait dans un arrière-pli
 5    IV|   jeune femme. Si avisé qu’il fût, il ne discerna pas la nuance
 6    IV|  trois jours, et, déjà, il se fût méprisé de seulement supposer
 7    IV|      Madeleine que Brissonnet fût un peu amoureux d’elle, –
 8    IV|   billards réunis, pour qu’il fût impossible de rompre. Il
 9     V|       occurrence, sa vertu se fût alarmée de tant penser à
10    VI|      et toute dévouée qu’elle fût, n’avait pu s’y intéresser
11    VI|      indifférence. Pour qu’il fût venu, ce soir, prendre sa
12    VI|  confidente, il fallait qu’il fût en proie à une crise bien
13    VI|    Pour que son beau-frère en fût arrivé, lui si discret,
14   VII|    chez lui sans que personne fût averti de sa présence tenait
15   VII|      eussent froissée. Il s’y fût lui-même exaspéré. Ce cœur
16   VII| exaspéré. Ce cœur de femme se fût peut-être refermé. Au lieu
17   VII|   mission, si pénible qu’elle fût. J’ai écrit à M. Brîssonnet
18   VII|   présent. Toute fine qu’elle fût, la charmante femme se trompa
19  VIII|  quelqu’un, que son sacrifice fût connu, du moins qu’il fût
20  VIII|     fût connu, du moins qu’il fût plaint. – Par qui ? Par
21  VIII|    naturel que cette ambition fût la mienne… » Puis, d’une