Partie,  Chap.

  1     1,      I|            rafale. Les vagues, roulant plus précipitées sous l’action
  2     1,      I|            courait, serrant le vent au plus près, bondissant sur l’Océan
  3     1,      I|              la brise se carabinait de plus en plus, ce personnage n’
  4     1,      I|               se carabinait de plus en plus, ce personnage n’avait pas
  5     1,      I|              est forte, ma misaine est plus forte encore. Envoie prendre
  6     1,      I|           nuées livides, n’éclairaient plus que faiblement l’horizon.
  7     1,      I|             sec de voiles, ne marchant plus que sous sa misaine, obéissant
  8     1,      I|               sans cesse son avant aux plus fortes lames, tout en évitant
  9     1,      I|                de dix-huit ans tout au plus, offrait dans sa personne
 10     1,      I|                 et, ce qui m’étonne le plus, c’est que tu sois là, debout
 11     1,      I|                caïman, tu ne gouvernes plus ! continua-t-il en breton
 12     1,      I|                      Quelques secondes plus tard, le Jean-Louis, chargé
 13     1,      I|            Océan.~ ~ ~– Yvonne, reprit plus doucement Marcof en s’adressant
 14     1,     II|            celle qui offre l’aspect le plus sauvage, le plus sinistre,
 15     1,     II|             aspect le plus sauvage, le plus sinistre, le plus désolé,
 16     1,     II|          sauvage, le plus sinistre, le plus désolé, est sans contredit
 17     1,     II|      imagination de rêver un spectacle plus grandiose, plus émouvant,
 18     1,     II|              spectacle plus grandiose, plus émouvant, plus terrible,
 19     1,     II|              grandiose, plus émouvant, plus terrible, que ne l’offre
 20     1,     II|               si haut qu’on l’entend à plus de cinq lieues dans l’intérieur
 21     1,     II|               barques de pêche, est le plus souvent déserte.~ ~ ~ ~Les
 22     1,     II|           masse des nuages, paraissant plus sombre sur la droite du
 23     1,     II|               sous le vent. Une rafale plus forte, une vague plus monstrueuse
 24     1,     II|           rafale plus forte, une vague plus monstrueuse prenant le navire
 25     1,     II|                la mer et ne gouvernant plus, se relève rarement. Il
 26     1,     II|                mais il s’approchait de plus en plus des roches de Penmarck.
 27     1,     II|                s’approchait de plus en plus des roches de Penmarck.
 28     1,     II|           Penmarck. Déjà la Torche, le plus avancé des brisants, se
 29     1,     II|                Dieu n’entend peut-être plus le français !…~ ~ ~Un silence
 30     1,     II|        menaçait pour contempler celui, plus terrible encore, qu’affrontait
 31     1,     II|           avait pas une seule fois non plus laissé tomber ses regards
 32     1,    III|               est vrai ! Tu ne me dois plus rien.~ ~ ~– Ne veux-tu donc
 33     1,    III|                maintenant qu’ils n’ont plus rien à craindre de la tempête,
 34     1,    III|              au moins je ne souffrirai plus.~ ~ ~ ~Marcof, ému par l’
 35     1,    III|             Ami, lui dit-il d’une voix plus douce, ne te rappelles-tu
 36     1,    III|               navire. Keinec n’y était plus. Quelques marins, étendus
 37     1,    III|              jolie Bretonne ; marchons plus vite, au contraire.~ ~ ~ ~
 38     1,    III|             Est-ce que vous ne m’aimez plus ?~ ~ ~– Si fait, je vous
 39     1,    III|          voudrez. Mais ne vous occupez plus de Keinec, par grâce ! Songez
 40     1,     IV|                les terres. Les ajoncs, plus épais, formaient un rideau
 41     1,     IV|               Saint-Jean devenaient de plus en plus distincts. Les montagnes
 42     1,     IV|       Saint-Jean devenaient de plus en plus distincts. Les montagnes
 43     1,      V|             est une des solennités les plus remarquables et les plus
 44     1,      V|               plus remarquables et les plus religieusement célébrées
 45     1,      V|               mendier chez les paysans plus riches de quoi acheter les
 46     1,      V|              ses bras vers Yvonne qui, plus légère qu’un oiseau, s’élança
 47     1,      V|              rochers de Penmarckh sans plus s’en soucier que s’ils n’
 48     1,      V|                me les cacher ? Tu n’as plus confiance en moi ?~ ~ ~–
 49     1,      V|                Son fils, de quatre ans plus âgé qu’Yvonne, était déjà
 50     1,      V|               as pris la mer ; tu n’as plus de barque et tu as une fille
 51     1,      V|             grandissait et devenait la plus belle fille du pays. Pendant
 52     1,      V|                 Là elle vit Jahoua, le plus riche fermier de la Cornouaille.
 53     1,      V|               n’avais pu rêver un gars plus fortuné pour lui donner
 54     1,     VI|         Bretagne le marquis ne portait plus la poudre), son front haut,
 55     1,     VI|              et fine, eût fait envie à plus d’une grande dame.~ ~ ~ ~
 56     1,     VI|              en instants, ne soufflait plus que par courtes rafales.~ ~ ~ ~
 57     1,     VI|              un homme peut-il faire de plus pour un autre homme ? et,
 58     1,     VI|            lentement le marquis. Donc, plus de gêne ! Frère, embrasse-moi.~ ~ ~ ~
 59     1,     VI|                coup d’œil rapide. Pour plus de précaution, il poussa
 60     1,    VII|                 notre secret ne serait plus à nous seuls.~ ~ ~– Jocelyn
 61     1,    VII|          Parfaitement vrai. Le roi n’a plus de sa puissance que le titre
 62     1,    VII|              avant peu, il n’aura même plus ce titre.~ ~ ~– Quoi ! le
 63     1,    VII|                  Provisoirement, oui ; plus tard, je servirai le roi
 64     1,    VII|         interroge pas ! Tu sauras tout plus tard. Passe par l’escalier
 65     1,    VII|        eussions  arriver à une heure plus convenable, et nous l’eussions
 66     1,    VII|             notre souper ayant été des plus mauvais, je vous serais
 67     1,    VII|                      Ce serait tout au plus un duel, répondit tranquillement
 68     1,    VII|            guère à l’apprendre. – Sans plus de cérémonies, vous fîtes
 69     1,    VII|              voyant en prison, ne rêva plus qu’évasion et liberté. Tous
 70     1,   VIII|               enlevée, rien n’existait plus… La marquise de Loc-Ronan
 71     1,   VIII|           souriant, nous avons joué au plus fin et vous avez perdu.
 72     1,   VIII|             peu marié que, deux années plus tard, à Rennes, vous vous
 73     1,   VIII|                Renvoyez donc ce valet, plus de violence, et agissez,
 74     1,     IX|              néanmoins sa monture avec plus de légèreté qu’on n’aurait
 75     1,     IX|           chère belle ?~ ~ ~– D’autant plus que cela nous rapportera
 76     1,     IX|         très-cher, nous ne serions pas plus en sûreté à Marseille, à
 77     1,     IX|                     Depuis que je n’ai plus besoin d’en verser pour
 78     1,     IX|             cri aigu, sur les pics les plus élevés des falaises. Le
 79     1,     IX|                contenter, mais rien de plus.~ ~ ~– Puisqu’elle se marie…~ ~ ~–
 80     1,     IX|                mutilées avaient attiré plus d’une fois le feu du ciel.~ ~ ~–
 81     1,     IX|                       Il ne nous reste plus qu’à descendre.~ ~ ~– Mais
 82     1,     IX|             Raphaël, et tu n’hésiteras plus.~ ~ ~– Oh ! je n’hésite
 83     1,      X|          souhaite pour qu’il nous soit plus facile de connaître les
 84     1,      X|           terminée et que nous n’avons plus rien à faire ici. Le soleil
 85     1,      X|             agent révolutionnaire avec plus de respect qu’il n’en avait
 86     1,     XI|           comme elle l’a fait déjà… le plus riche de nos gars…~ ~ ~–
 87     1,     XI|             deux des trésors cent fois plus considérables que ceux du
 88     1,     XI|          visage, ses gestes devenaient plus rapides, et ses pieds martelaient
 89     1,     XI|          lugubre.~ ~ ~ ~Carfor n’était plus le même. Le conspirateur
 90     1,    XII|               Les unes parées de leurs plus beaux corsages, de leurs
 91     1,    XII|           corsages, de leurs jupes aux plus éclatantes couleurs, marchant
 92     1,    XII|             banc seigneurial. Ce banc, plus élevé que les autres, et
 93     1,    XII|            chez Yvon. La jolie Yvonne, plus charmante encore sous sa
 94     1,    XII|                 mais il était beaucoup plus connu sous le nom de Tailleur,
 95     1,    XII|               cheveux roux, est le nec plus ultra du genre, le beau
 96     1,    XII|                son choix, déterminé le plus souvent par les conseils
 97     1,    XII|        imperturbable, qui a retenu les plus belles complaintes de la
 98     1,    XII|                amène accompagné de son plus proche parent. Cette démarche
 99     1,    XII|            tailleur. Il ne les reprend plus que pour le jour du mariage ;
100     1,    XII|              ainsi que nous le verrons plus tard.~ ~ ~ ~C’était le tailleur
101     1,    XII|             entrèrentRose ne pouvait plus bouger de sa place. Elle
102     1,    XII|              vous veniez au château au plus vite…~ ~ ~– On a besoin
103     1,   XIII|          prononcer un mot. Il semblait plus triste qu’à l’ordinaire,
104     1,   XIII|            fraîche. Le marquis n’était plus pâle, il était devenu livide,
105     1,   XIII|            Encore ! s’écria Jocelyn de plus en plus inquiet et affligé.~ ~ ~–
106     1,   XIII|               écria Jocelyn de plus en plus inquiet et affligé.~ ~ ~–
107     1,   XIII|                Oui, mais je ne respire plus ; il me semble qu’un nuage
108     1,   XIII|                mes côtés, ne me quitte plus.~ ~ ~– Non, monseigneur.
109     1,   XIII|          province, il ne se maintenait plus que par un miracle d’équilibre,
110     1,   XIII|                souffrez autant ?~ ~ ~– Plus encore !~ ~ ~– Que faire,
111     1,   XIII|         Donne-moi ta main ; je ne vois plus.~ ~ ~ ~La respiration du
112     1,   XIII|                   Le marquis ne voyait plus, n’entendait plus… Jocelyn,
113     1,   XIII|               voyait plus, n’entendait plusJocelyn, ivre de douleur,
114     1,   XIII|                venir.~ ~ ~– Je ne puis plus attendre. Ah ! les douleurs
115     1,   XIII|                lit. Une seconde crise, plus forte que la première, venait
116     1,   XIII|             gorge aride qui ne pouvait plus avaler. Le calme revint.
117     1,   XIII|               cœur. Le cœur ne battait plus. Il approcha un miroir des
118     1,   XIII|                relevait, il paraissait plus calme.~ ~ ~ ~Pendant ce
119     1,   XIII|                du marquis, vêtu de ses plus riches habits et décoré
120     1,   XIII|                 on distinguait Yvonne, plus triste encore que ses compagnes.
121     1,    XIV|         demeurés en prières pendant la plus grande partie de la nuit.
122     1,    XIV|            tailleur. Cependant Jahoua, plus hardi que les autres, reprit
123     1,    XIV|               vendéenne. Quelques mois plus tard, le 5 octobre de la
124     1,    XIV|          silence ! Ce sera une arme de plus entre nos mains, et une
125     1,    XIV|                     La science ne peut plus rien ici, messieurs, dit-il.
126     1,    XIV|              de Loc-Ronan, il faudrait plus que le pouvoir des hommes,
127     1,     XV|                 inutile ! Nous n’avons plus besoin de vous, docteur.~ ~ ~–
128     1,     XV|                  Ce serait le moyen le plus certain de voir déshonorer
129     1,     XV|               ciselé, des valeurs pour plus de cent cinquante mille
130     1,     XV|                mouvement de joie. Sans plus tarder ils s’emparèrent
131     1,     XV|              jurons que tu n’entendras plus jamais parler de nous !~ ~ ~ ~
132     1,    XVI|             leurs chevaux à une allure plus douce.~ ~ ~– Corbleu, Diégo !
133     1,    XVI|                ce matin, je n’espérais plus !~ ~ ~– Le morceau est joli,
134     1,    XVI|           Hermosa.~ ~ ~– Hermosa n’est plus jeune.~ ~ ~– Oui, voilà
135     1,    XVI|            point la question. Je pense plus à l’argent qu’à l’amour.
136     1,    XVI| révolutionnaires, nous les combattrons plus facilement.~ ~ ~– Tu as
137     1,    XVI|             élève, et bientôt tu seras plus fort que ton maître !…~ ~ ~
138     1,    XVI|             falaises pour une chaussée plus commode située à peu de
139     1,    XVI|               investigation, mais sans plus de résultat que la première
140     1,    XVI|                l’exigent, nous agirons plus tôt…~ ~ ~– Eh bien ! cela
141     1,    XVI|         fiancée de ce rustre, te tient plus au cœur que tu ne voulais
142     1,    XVI|             vue de s’étendre jusqu’aux plus extrêmes limites de l’horizon.
143     1,    XVI|                que dans douze jours au plus tôt.~ ~ ~– Je le sais ;
144     1,    XVI|               Marcof, Diégo, raison de plus pour chercher promptement
145     1,    XVI|                assisté, près de moi, à plus d’une rencontre périlleuse,
146     1,    XVI|               Raphaël, et mettons sans plus tarder ton sage projet à
147     1,  XVIII|      physionomie. Ta présence m’en dit plus que tes paroles ne pourraient
148     1,  XVIII|          raconta était l’expression la plus simplement exacte de la
149     1,  XVIII|            avoir revu ses traits !… ne plus le revoir jamais ! murmurait
150     1,  XVIII|               la nuit Marcof ne bougea plus. Deux fois le mousse chargé
151     1,  XVIII|           petite clé d’abord, puis une plus grande, et il les serra
152     1,  XVIII|                 Le marin prit alors la plus grande des deux clés qu’
153     1,  XVIII|                dernier, dont la teinte plus claire attestait une construction
154     1,  XVIII|            mettons-nous à l’œuvre sans plus tarder. Travaillons, Keinec !
155     1,  XVIII|          Jure-moi, sur ce qu’il y a de plus saint et de plus sacré au
156     1,  XVIII|                y a de plus saint et de plus sacré au monde, de ne jamais
157     1,    XIX|          contre toi ?~ ~ ~– Ne parlons plus de Marcof, répondit Keinec
158     1,    XIX|                mon gars ! N’en parlons plus, comme tu dis, mais tu aurais
159     1,    XIX|          vengeance, dont le moment est plus proche que tu ne le crois…~ ~ ~–
160     1,    XIX|                   Je n’ai pas pu venir plus tôt, répondit Carfor.~ ~ ~–
161     1,    XIX|      enlèvement.~ ~ ~– Cela ne se peut plus.~ ~ ~– Qu’est-ce à dire ?~ ~ ~–
162     1,    XIX|             seulement pas une heure de plus que le temps que je t’ai
163     1,    XIX|                mariage doit être notre plus puissant auxiliaire.~ ~ ~–
164     1,    XIX|                 Dès lors, rien n’était plus facile, par ruse ou par
165     1,    XIX|              tout cela !…~ ~– D’autant plus que j’aurais augmenté ce
166     1,    XIX|              mais tu n’ignores pas non plus que l’Assemblée législative
167     1,    XIX|               gars du village tiennent plus à leur curé qu’à la peau
168     1,     XX|            obtenir la confirmation. De plus, le casuel était supprimé
169     1,     XX|             employés dans la capitale, plus de six cents préfèrent renoncer
170     1,     XX|            lisaient.~ ~ ~ ~De même que plus tard les Espagnols devaient
171     1,     XX|                par ces résistances, la plus grande partie des administrateurs
172     1,     XX|    vociférations, et déjà les gars les plus solides et les plus hardis
173     1,     XX|                les plus solides et les plus hardis s’étaient jetés entre
174     1,     XX|            prêtre et les gendarmes. Au plus fort du tumulte, le vieil
175     1,     XX|                des gendarmes un cercle plus étroit.~ ~ ~– La Rose !
176     1,     XX|            nouvelle troupe de soldats, plus nombreuse que la première,
177     1,    XXI|              le visage décomposé était plus livide et plus effrayant
178     1,    XXI|         décomposé était plus livide et plus effrayant que celui du fermier ;
179     1,    XXI|              crête du talus. Il enlaça plus fortement Keinec, et tous
180     1,    XXI|           recommencèrent la lutte avec plus d’acharnement encore. Il
181     1,    XXI|            deux hommes il ne resterait plus qu’un vivant. En ce moment,
182     1,    XXI|              la moindre attention, non plus qu’à la fusillade qui retentissait
183     1,   XXII|              les genêts pour couper au plus court. La jeune fille marchait
184     1,   XXII|              de la fusillade, arrivant plus vif et plus pressé, lui
185     1,   XXII|        fusillade, arrivant plus vif et plus pressé, lui fit abandonner
186     1,   XXII|         regardèrent : ils ne pensaient plus à s’entre-tuer. Tous deux
187     1,   XXII|        contraire, les cris s’élevèrent plus violents encore.~ ~ ~– Notre
188     1,   XXII|               Au milieu de la mêlée la plus sanglante, et au moment
189     1,   XXII|              de ceux qui menaçaient le plus l’intrépide marin.~ ~ ~–
190     1,   XXII|                de l’œil. Ils n’étaient plus que sept ou huit privés
191     1,   XXII|              aspects de l’agitation la plus vive. Marcof, dans la crainte
192     1,  XXIII|                falaises pour couper au plus court. J’entendais de loin
193     1,  XXIII|              prise, mais je n’entendis plus rien. Alors l’idée me vint
194     1,  XXIII|          passion, qu’ils ne songeaient plus au combat qu’ils s’étaient
195     1,  XXIII|               Yvonne à son père, de ne plus avoir de haine pour toi,
196     1,  XXIII|            accepte ! répondit Keinec ; plus tard, nous verrons.~ ~ ~–
197     1,  XXIII|                parfaitement reconnu le plus jeune des deux hommes dont
198     1,  XXIII|           avait disparu… Alors je n’ai plus douté.~ ~ ~– Et sur quel
199     1,  XXIII|         recommença le même cri quoique plus faiblement. Aussitôt un
200     1,  XXIII|              avons devant nous une des plus belles routes de la Bretagne.~ ~ ~–
201     2,      I|              mieux dire, tu reviendras plus tard. D’ici là, nous consulterons
202     2,      I|           petite est ici, je ne crains plus qu’elle m’échappe, et j’
203     2,      I|       désormais nous ne leur donnerons plus que ces noms qui sont véritablement
204     2,      I|                Mais, en examinant avec plus d’attention, on apercevait
205     2,      I|             vous ferez vos confidences plus tard. Pour Dieu ! mettons-nous
206     2,      I|         convenu que depuis que je n’ai plus trente ans et que je possède
207     2,      I|               défauts qui vous sont le plus antipathiques. Je l’admets ;
208     2,      I|              nuit.~ ~ ~– Avec d’autant plus de plaisir, chère sœur,
209     2,      I|                la coucha. Yvonne était plus calme ; mais une fièvre
210     2,      I|          abbesse. Ce couvent, l’un des plus considérables de la Bretagne,
211     2,      I|             Bretagne, renfermait jadis plus de quatre cents religieuses.
212     2,      I|                la façade du centre ses plus riches dessins et ses plus
213     2,      I|             plus riches dessins et ses plus merveilleuses dentelles.~ ~ ~ ~
214     2,      I|           abbaye, le cloître, l’un des plus riches de la province, avait
215     2,      I|                à bon droit, été jaloux plus d’un parc seigneurial.~ ~ ~ ~
216     2,      I|           souterrain d’autres cellules plus étroites encore, et naturellement
217     2,      I|               encore, et naturellement plus sombres que les premières.
218     2,      I|                n’était pas toujours la plus importante. Ainsi, passages
219     2,      I|              Julie, cet habit fait mon plus cruel remords !~ ~ ~– Ne
220     2,      I|                inconnu. Madame ne veut plus être nommée autrement.~ ~ ~–
221     2,     II|                la famille… Vous n’êtes plus un serviteur, vous êtes
222     2,     II|            maître.~ ~ ~ ~Avant d’aller plus loin, je crois utile d’expliquer
223     2,     II|          griffes de ces deux vautours, plus altérés de son or que de
224     2,     II|        réservaient les religieuses les plus austères. Ils descendirent
225     2,     II|              conservé pour son mari le plus tendre attachement. Si elle
226     2,    III|             répondit le pêcheur.~ ~ ~– Plus que tu ne penses, peut-être…~ ~ ~–
227     2,    III|               est inutile que je reste plus longtemps près de toi ;
228     2,    III|                       Rien.~ ~ ~– Mais plus tard, il apprendra dans
229     2,    III|                ce jour, on ne le revit plus dans le pays…~ ~ ~ ~Le marquis
230     2,    III|               ainsi que vous le verrez plus tard. Je continue.~ ~ ~ ~
231     2,    III|                 À dix ans, il était le plus adroit, le plus intrépide
232     2,    III|               était le plus adroit, le plus intrépide et le plus batailleur
233     2,    III|                le plus intrépide et le plus batailleur de tous les gars
234     2,    III|           promettaient une seconde vie plus heureuse que la première.
235     2,    III|              tranquille et ne t’occupe plus de moi !…~ ~ ~Marcof pleurait
236     2,    III|              de l’agonisant. Il ne fut plus question, entre le pêcheur
237     2,     IV|               venger ces désastres. De plus, le digne négociant pensa
238     2,     IV|         pirates serait une action bien plus méritoire encore, puisqu’
239     2,     IV|               triomphe.~ ~ ~ ~Six mois plus tard, la Félicité rentrait
240     2,     IV|            ouvrit la campagne sous les plus heureux auspices. Le corsaire
241     2,     IV|              Les pompes ne suffisaient plus à alléger le navire de l’
242     2,     IV|          incapable de prononcer un mot plus long.~ ~ ~– Tu es laconique !
243     2,     IV|             lui donnait ensuite un lit plus mauvais encore. Mais, dans
244     2,     IV|               cette confidence avec le plus grand calme.~ ~ ~ ~Dans
245     2,     IV|                offres. Marcof n’hésita plus.~ ~ ~– J’accepte, dit-il,
246     2,     IV|                surtout, paraissait des plus joyeux. Marcof lui en demanda
247     2,      V|             voir livrer quelque combat plus ou moins meurtrier. Cette
248     2,      V|           honte et horreur de demeurer plus longtemps parmi des êtres
249     2,      V|                droit vers le groupe le plus menaçant. En présence de
250     2,      V|             Jusque-là, je ne t’obéirai plus.~ ~ ~ ~Puis il s’éloigna
251     2,      V|         attentivement. Le bruit devint plus distinct ; il résultait
252     2,      V|          voulais savoir.~ ~ ~– Tu n’as plus rien à me demander ?~ ~ ~–
253     2,     VI|               je suis Français, et qui plus est, Breton !~ ~ ~– Si tu
254     2,     VI|           fusillade avait cessé ; mais plus il avançait et plus les
255     2,     VI|               mais plus il avançait et plus les cris devenaient distincts.
256     2,     VI|              un tronçon d’épée. Un peu plus loin, une jeune femme demi-nue
257     2,     VI|              du Christ, je ne m’étonne plus de ton audace ! Tu fais
258     2,    VII|              une des deux balles tirée plus bas que l’autre lui effleura
259     2,    VII|             invulnérable, ne songèrent plus qu’à fuir. Tous trois s’
260     2,    VII|             charmante personne âgée au plus de dix-huit ans. Ses grands
261     2,    VII|              rien. Marcof ne possédait plus qu’un sequin. Il raconta
262     2,    VII|               ami, me fit l’accueil le plus cordial.~ ~ ~ ~Je n’entreprendrai
263     2,    VII|              que mes amis qualifièrent plus tard de glorieuse, quand
264     2,    VII|                dans une bataille, sont plus longues que cinq années
265     2,    VII|           voyant ce corps sillonné par plus de quatorze cicatrices.~ ~ ~ ~
266     2,   VIII|              mais en vain, à retrouver plus tard les traces de ce fils
267     2,   VIII|         Bretagne. À Saint-Malo, depuis plus de dix ans que le vieux
268     2,   VIII|         pêcheur était mort, on n’avait plus entendu parler de son fils
269     2,   VIII|            était terminée ; il n’avait plus rien à faire en Amérique ;
270     2,   VIII|                et qu’il se fût repenti plus tard ?~ ~ ~– Alors je le
271     2,   VIII|                voulu. Il a  souffrir plus tard, et j’espère que Dieu
272     2,   VIII|              ne puis avoir, s’il n’est plus, que des larmes et des regrets
273     2,   VIII|                jour que je le pressais plus vivement d’accéder à mes
274     2,   VIII|     inébranlable, Philippe ; n’insiste plus.~ ~ ~ ~En effet, jamais
275     2,   VIII|               Puis tout rentra dans le plus profond silence.~ ~ ~ ~
276     2,     IX|       Maintenant, dit-il, nous n’avons plus rien à faire ici. Laissons
277     2,     IX|             nous en serons débarrassés plus tôt.~ ~ ~– C’est qu’elle
278     2,     IX|                délire pourrait revenir plus violent encore. Donc, allons-nous-en
279     2,     IX|            deux heures !~ ~ ~ ~Et sans plus se préoccuper de celle que
280     2,     IX|              de Raphaël ?~ ~ ~– Il est plus jeune que toi.~ ~ ~– Bah !
281     2,     IX|         composition peut devenir de la plus grande utilité. On ne sait
282     2,     IX|         véritablement une créature des plus intelligentes, murmura-t-il
283     2,     IX|              Palsambleu ! nous verrons plus tard. Pour le présent, ce
284     2,     IX|             pour ce soir un souper des plus délicats. Je me sens en
285     2,      X|       étonnement. Elle ne se souvenait plus. Mais bientôt la mémoire
286     2,      X|                et une troisième crise, plus terrible que les deux premières
287     2,      X|                chevalier de sa voix la plus douce, je vous en conjure,
288     2,      X|            malade. Yvonne s’éloigna le plus possible en se rapprochant
289     2,      X|              mais ne me bravez pas non plus ! N’oubliez pas, avant tout,
290     2,      X|    étincelaient, si vous n’êtes pas le plus misérable et le plus dégradé
291     2,      X|                le plus misérable et le plus dégradé des hommes, vous
292     2,      X|             verrous extérieurs avec le plus grand soin.~ ~ ~ ~
293     2,     XI|           fermées à clef. Yvonne passa plus d’une heure à user ses ongles
294     2,     XI|                les dalles, en proie au plus sombre désespoir. Un bruit
295     2,     XI|            pouvait avancer qu’avec les plus grandes précautions. Trois
296     2,     XI|           évasion. Cette autre pensée, plus effrayante que la perspective
297     2,     XI|               visions devenaient alors plus effrayantes, et se transformaient
298     2,     XI|           longtemps. Puis, n’entendant plus aucun bruit, il revint vers
299     2,     XI|            corps, puis un soupir, puis plus rien.~ ~ ~– C’est peut-être
300     2,     XI|              de ses bourreaux, et, qui plus était, s’y retrouver en
301     2,     XI|              en proie aux terreurs les plus vives, conjurait son maître
302     2,     XI|               minutes auparavant. Pour plus de précaution, Jocelyn sortit
303     2,     XI|            pauvre Yvonne.~ ~ ~ ~Depuis plus de deux heures, la malheureuse
304     2,    XII|                étaient taillés dans le plus pur cristal de la Bohême.
305     2,    XII|              ciselé, et encombré de la plus merveilleuse collection
306     2,    XII|             régions du dévergondage le plus éhonté.~ ~ ~ ~Hermosa donnait
307     2,    XII|           Aucune contrainte ne régnait plus dans les paroles des trois
308     2,    XII|                        Tu l’apprendras plus tard ; mais, pour le présent,
309     2,    XII|               et puisse-t-il danser le plus tard possible au bout d’
310     2,    XII|                à Naples, et que depuis plus d’un siècle les lazzaroni
311     2,    XII|            Alors ?~ ~ ~– Alors ce sera plus tôt fini, voilà tout.~ ~ ~ ~
312     2,    XII|               Yvonne ! Je n’y songeais plus.~ ~ ~– Peste ! quelle indifférence
313     2,    XII|               Diégo paraissait absorbé plus que jamais dans la contemplation
314     2,    XII|                je souffre ! je ne vois plus ! je brûle ! s’écria Raphaël
315     2,    XII|            ennemi.~ ~ ~ ~Le silence le plus profond régnait dans la
316     2,    XII|              flambeaux que pour gagner plus facilement la porte de sortie
317     2,    XII|          Morbleu ! que ne le disais-tu plus tôt ?~ ~ ~ ~Et Diégo entraîna
318     2,    XII|                J’ai à te parler.~ ~ ~– Plus tard !~ ~ ~– De suite !~ ~ ~–
319     2,    XII|              trop d’esprit, et tu n’es plus assez jeune pour sacrifier
320     2,    XII|               cette femme-la, ferait à plus forte raison, le sacrifice
321     2,   XIII|             nous mener. Fuyons donc au plus vite, si nous en avons encore
322     2,   XIII|               d’abord, et demain, sans plus tarder, nous nous embarquerons
323     2,   XIII|               circonstances de revenir plus tard dans ce pays.~ ~ ~–
324     2,   XIII|            vivement à terre. Trois pas plus loin, il rencontra la monture
325     2,   XIII|                coup.~ ~ ~– Non, dit-il plus froidement, ils auraient
326     2,   XIII|            toujours, et se creusait de plus en plus la tête pour donner
327     2,   XIII|              et se creusait de plus en plus la tête pour donner un motif
328     2,   XIII|               ses pieds. Un second cri plus rapproché se fit entendre
329     2,   XIII|              fond de train en courbant plus que jamais la tête, car
330     2,    XIV|               mettre le recteur et les plus compromis d’entre eux en
331     2,    XIV|              de perdre l’existence, le plus courageux doit raisonner
332     2,    XIV|             murmura Keinec qui, devenu plus calme, se rendait compte
333     2,    XIV|             aurait peut-être désavouée plus tard. Dis, Keinec, comprends-tu ?~ ~ ~ ~
334     2,    XIV|                la main. Keinec n’était plus le même : sous l’influence
335     2,    XIV|             crime, il espérait trouver plus tard un moyen de s’opposer
336     2,     XV|                      La tienne n’était plus à Penmarckh.~ ~ ~– C’est
337     2,     XV|                pauvre enfant, et c’est plus que probable, pour détourner
338     2,     XV|            jeunes gens, ne s’adressant plus la parole tant leur attention
339     2,     XV|                entendre, mais beaucoup plus rapproché. Marcof imita
340     2,     XV|            autant ce soir ou demain au plus tard.~ ~ ~– Vous occupez
341     2,     XV|                rencontrions ?~ ~ ~– Le plus tôt possible.~ ~ ~ ~Marcof
342     2,     XV|                doute. Je m’expliquerai plus tard.~ ~ ~– Pourquoi pas
343     2,    XVI|          quarts brûlée fût éloignée de plus de cent pas du feu qu’il
344     2,    XVI|                tu le veux, du droit du plus fort.~ ~ ~– Je ne te comprends
345     2,    XVI|             avec incrédulité.~ ~ ~– De plus solides que toi ont demandé
346     2,    XVI|           Pendant quelques minutes, le plus profond silence régna dans
347     2,    XVI|              corde commençait à brûler plus lentement encore les pouces
348     2,    XVI|                  s’écria Jahoua.~ ~ ~– Plus tard, répondit Keinec. Après
349     2,   XVII|            debout qui se carabinait de plus en plus, suivant l’expression
350     2,   XVII|               se carabinait de plus en plus, suivant l’expression des
351     2,   XVII|              Nous arriverons une heure plus tard, répondit Marcof.~ ~ ~–
352     2,   XVII|               gens étaient en proie au plus violent désespoir. Marcof
353     2,   XVII|         Bourdonnaie aura peut-être été plus heureux que nous.~ ~ ~ ~
354     2,   XVII|                tête.~ ~ ~– Je n’espère plus, dit-il.~ ~ ~– Ils auront
355     2,   XVII|            donc ici. Si vous ne voulez plus continuer les recherches,
356     2,  XVIII|              rapide, accomplie dans le plus profond silence, Marcof
357     2,  XVIII|              abbaye de Plogastel, qui, plus sombres encore que le ciel
358     2,  XVIII|           ressortirent. À quelques pas plus loin, dans le corridor,
359     2,  XVIII|         seulement le râle était devenu plus sourd et bientôt même il
360     2,  XVIII|   rapprochèrent du moribond, Marcof de plus en plus singulièrement préoccupé,
361     2,  XVIII|            moribond, Marcof de plus en plus singulièrement préoccupé,
362     2,    XIX|              dans une conversation des plus attachantes et des plus
363     2,    XIX|                plus attachantes et des plus sérieuses. M. de Boishardy
364     2,    XIX|           rapportait des nouvelles des plus graves.~ ~ ~– Des nouvelles
365     2,    XIX|              nationale a ôté au roi le plus beau de ses droits, celui
366     2,    XIX|             seconde publication a fait plus de mal encore peut-être
367     2,    XIX|           route de Montmédy. Une heure plus tard MONSIEUR et MADAME
368     2,    XIX|              XVI s’expatriant n’existe plus pour nous. »~ ~– Mais, dit
369     2,    XIX|               dit Marcof, le roi n’est plus rien ?~ ~ ~– À peine existe-t-il
370     2,    XIX|                 on le voit, ne prenait plus qu’une part silencieuse
371     2,     XX|            retentit au loin. Un second plus rapproché lui succéda.~ ~ ~–
372     2,     XX|             droit de m’interroger, pas plus que celui de m’avoir arrêtée,
373     2,     XX|               Yvonne eût profité de la plus légère circonstance favorable
374     2,     XX|          soulagement. Henrique n’était plus menacé par le fusil du paysan
375     2,     XX|              est un bras et un cœur de plus dans nos rangs, ajouta Boishardy.~ ~ ~–
376     2,     XX|               même que vous gardiez le plus profond secret à cet égard.
377     2,     XX|                pourra l’en récompenser plus tard et rendre à l’Angleterre
378     2,     XX|             écria Boishardy ; il donne plus que nous !~ ~ ~– J’ai toujours
379     2,     XX|               je saurai bien découvrir plus tard. Oh ! que je trouve
380     2,     XX|              un cri de joie et attaqua plus vigoureusement encore l’
381     2,    XXI|              en lingots ; rien n’était plus facile… Je réponds qu’il
382     2,    XXI|         prodigue d’une imagination des plus vives. Son esprit, continuellement
383     2,    XXI|               mettent en possession de plus de deux millions. « Ils
384     2,    XXI|                cellule. Il ne songeait plus à l’argenterie de l’abbesse.~ ~ ~ ~
385     2,    XXI|            occupée Yvonne. Une fois de plus, Diégo voyait s’éloigner
386     2,    XXI|      rapidement. Déjà il avait franchi plus d’un tiers de la distance
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