Partie,  Chap.

  1     1,      I|           soit indifférence de la mort imminente, les matelots,
  2     1,     II|           se trouve en face de la mort sans moyen de l’éviter.~ ~ ~–
  3     1,    III|                  Si je voulais la mort de ceux dont tu parles,
  4     1,    III|           que ton pauvre père est mort ? Toi-même ne viens-tu pas
  5     1,     IV|       leur route, ignorant que la mort fût si près d’eux, menaçante,
  6     1,      V|           de pain à la maison. La mort de ma femme m’avait porté
  7     1,      V|        que le pauvre Keinec était mort en combattant, dans un débarquement
  8     1,      V|        persuadée que Keinec était mort, elle consentit, l’année
  9     1,    VII|          meurs dans mon lit de ma mort naturelle, souviens-toi
 10     1,    VII|           une armoire de fer. Moi mort, tu ouvrirais cette armoire
 11     1,   VIII|          la pendaison une vilaine mort pour un gentilhomme !~ ~ ~–
 12     1,   VIII|          si vous étiez réellement mort.~ ~ ~– Après ? demanda le
 13     1,   VIII|          le chevalier. Et vilaine mort que cette mort par la potence !…
 14     1,   VIII|         Et vilaine mort que cette mort par la potence !… Mort infamante
 15     1,   VIII|      cette mort par la potence !… Mort infamante qui entraîne avec
 16     1,   VIII|           préférerais toujours la mort au déshonneur, mais qu’avant
 17     1,   VIII|           de fer prête à vomir la mort, restèrent un moment immobiles.
 18     1,      X|          Que portes-tu ?~ ~ ~– La mort !~ ~ ~– Suivez-moi tous
 19     1,     XI|         tu sais qu’il y a souvent mort d’homme à la fête de la
 20     1,     XI|        dans l’heure qui suivra la mort de Jahoua que je pourrai
 21     1,     XI|           que, le jour même de la mort de Jahoua, Yvonne quittera
 22     1,    XII|           prêtre ; le marquis est mort !… Dieu ait son âme !~ ~ ~ ~
 23     1,   XIII|        cela !~ ~ ~– Pourquoi ? la mort n’a rien qui m’effraye !…~ ~–
 24     1,   XIII|         avaient la rigidité de la mort.~ ~ ~ ~Les extrémités étaient
 25     1,   XIII|      basse.~ ~ ~– Monseigneur est mort ! répondit Jocelyn. Déployez
 26     1,   XIII|          mots : « Monseigneur est mort ! » un concert de larmes
 27     1,   XIII|           château, eut annoncé la mort du dernier des Loc-Ronan,
 28     1,   XIII|          était instruite de cette mort, et, le soir même, le bruit
 29     1,   XIII|           qu’à Fouesnan. Après la mort de son maître, le vieux
 30     1,    XIV|       Pour sûr, il y a dans cette mort quelque chose de surnaturel ?~ ~ ~–
 31     1,    XIV|       veuille avoir son âme ! est mort comme notre digne marquis,
 32     1,    XIV| empoisonné ! et m’est avis que la mort de monseigneur le marquis
 33     1,    XIV|       adroitement, à propos de la mort du marquis, une effervescence
 34     1,    XIV|      animer les esprits.~ ~ ~ ~La mort du marquis de Loc-Ronan
 35     1,    XIV|      comte.~ ~ ~– Monseigneur est mort !~ ~ ~– Quand cela ?~ ~ ~–
 36     1,    XIV|           ce damné marquis serait mort et bien mort !~ ~ ~– Entrons
 37     1,    XIV|       marquis serait mort et bien mort !~ ~ ~– Entrons toujours !
 38     1,    XIV|         donnant l’apparence de la mort était anéanti pour eux.
 39     1,    XIV|         Dieu. Le marquis est bien mort !~ ~ ~ ~
 40     1,     XV|     marquis de Loc-Ronan est bien mort.~ ~ ~– Rien n’est simulé ?~ ~ ~–
 41     1,     XV|          veux dire que, vivant ou mort, le marquis de Loc-Ronan
 42     1,     XV|                Attendez donc ! La mort du marquis est un obstacle
 43     1,     XV|           nous frustrer !… Il est mort, cela est vrai, et nous
 44     1,     XV|          le marquis de Loc-Ronan, mort ou vivant, sera jugé !~ ~ ~–
 45     1,    XVI|         me désoler un peu ! Cette mort est venue faire avorter
 46     1,    XVI|     Maintenant que le marquis est mort, rien ne t’empêche d’épouser
 47     1,    XVI|         de dix-huit pouces, et la mort était au bas !~ ~ ~ ~Les
 48     1,    XVI|           lutte, le carnage et la mort soient ses éléments. Marcof,
 49     1,  XVIII|       donc !~ ~ ~– Le marquis est mort hier !~ ~ ~– Le marquis
 50     1,  XVIII|          marquis de Loc-Ronan est mort ! s’écria le marin d’une
 51     1,  XVIII|        tout ce qu’il savait de la mort du marquis, et ce qu’il
 52     1,  XVIII|          matin que le marquis est mort ?…~ ~– Oui, répondit Keinec,
 53     1,  XVIII|           vu si souvent donner la mort avec un sang-froid farouche !
 54     1,  XVIII|  écria-t-il, le marquis n’est pas mort.~ ~ ~ ~Keinec, domptant
 55     1,  XVIII|      Marcof, le marquis n’est pas mort.~ ~ ~– Que dis-tu ?~ ~ ~–
 56     1,  XVIII|           voulu faire croire à sa mort.~ ~ ~– Dans quel but ?~ ~ ~–
 57     1,  XVIII|          marquis de Loc-Ronan est mort, et bien mort !…~ ~– Partons,
 58     1,  XVIII|       Loc-Ronan est mort, et bien mort !…~ ~– Partons, maintenant.~ ~ ~–
 59     1,  XVIII|         faire ? M. le marquis est mort et les scellés sont posés
 60     1,    XIX|           te trompes, Carfor ; la mort du marquis de Loc-Ronan
 61     1,    XIX|     propos ?~ ~ ~– À propos de la mort du marquis.~ ~ ~– Damné
 62     1,    XIX|         chevalier, il faut que sa mort vienne contrarier tous mes
 63     1,    XIX|           veux-tu que me fasse la mort du marquis de Loc-Ronan
 64     1,    XIX|            Il ne s’agit pas de la mort du marquis, répondit Carfor,
 65     1,    XIX|           trouve reculé par cette mort.~ ~ ~– Eh ! mon cher, je
 66     1,    XIX|      tumulte aurait occasionné sa mort.~ ~ ~– Sans doute !~ ~ ~–
 67     1,    XIX|         marquis de Loc-Ronan soit mort si vite ! Dans quelques
 68     1,    XXI|  connaissais pas. Tu passais pour mort dans le pays. Je vis Yvonne
 69     1,   XXII|       partout ! Tue ! tue !~ ~ ~– Mort aux bandits ! hurla l’officier
 70     1,  XXIII|         Sans doute. Le jour de la mort de notre regretté seigneur,
 71     2,     II|           c’est que, passant pour mort vis-à-vis du reste du monde,
 72     2,     II|          action destructive de la mort. Ne voyant pas d’autre moyen
 73     2,    III|       marins, il craignait peu la mort, pour l’avoir souvent bravée,
 74     2,    III|          un caboteur, et quand la mort va venir me jeter le grappin
 75     2,    III|         divination qui précède la mort lui conseillait de tout
 76     2,     IV|       crois que le noyé n’est pas mort.~ ~ ~– Sainte madone ! il
 77     2,      V|      marin.~ ~ ~– Te sauver d’une mort inévitable. Nos compagnons
 78     2,      V|          hommes, convaincus de la mort du marin, crurent à une
 79     2,    VII|       venir la chercher !~ ~ ~– À mort ! crièrent les bandits furieux
 80     2,    VII|           ferait un pas tomberait mort. Diégo s’était mis à l’écart
 81     2,    VII|       semaines entre la vie et la mort. Enfin, la vigueur de sa
 82     2,   VIII|         par mon père à son lit de mort. Je vous ai déjà dit que
 83     2,   VIII|        que le vieux pêcheur était mort, on n’avait plus entendu
 84     2,   VIII|           Mais il vous croit donc mort ? s’écria la religieuse.~ ~ ~–
 85     2,   VIII|          que le marin, le croyant mort, avait pénétré dans le château
 86     2,     IX|          graves qui entraînent la mort dans les vingt-quatre heures !~ ~ ~–
 87     2,     IX|        amènent infailliblement la mort, n’est-ce pas, dit Hermosa
 88     2,     XI|       défendre ou de se donner la mort. Cependant le temps s’écoulait
 89     2,     XI|         ouverture praticable, une mort atroce l’attendait dans
 90     2,     XI|           dit que mieux valait la mort, quelque lente et cruelle
 91     2,     XI|          que la perspective de la mort, lui rendit complètement
 92     2,     XI|       horrible et de se donner la mort. La vue de Julie priant
 93     2,    XII|       nous lui parlerons de cette mort subite.~ ~ ~ ~À travers
 94     2,    XII|           de notre fortune que la mort de Philippe nous a enlevée
 95     2,    XII|             Je t’écoute.~ ~ ~– La mort du marquis est tellement
 96     2,   XIII|       elle doit ignorer encore la mort de son époux ?~ ~ ~– Je
 97     2,   XIII|   personne ici. Raphaël doit être mort ; qu’Yvonne meure aussi.~ ~ ~–
 98     2,   XIII|         tout que Raphaël est bien mort ?~ ~ ~– Inutile ! la dose
 99     2,   XIII|           le sol.~ ~ ~– Un cheval mort ! s’écria-t-il ; le cheval
100     2,   XIII|    Henrique et de Jasmin, et à la mort des chevaux qui gisaient
101     2,    XIV|           vous ne craignez pas la mort. Ce n’est pas là ce que
102     2,    XIV|        tuer tous les trois, notre mort ne rendrait pas Yvonne à
103     2,    XIV|          crime ?~ ~ ~– Que Jahoua mort, Yvonne serait à moi.~ ~ ~–
104     2,    XIV|           même de l’annonce de la mort du marquis avaient disparu
105     2,     XV|         On dit que le marquis est mort ! répondit Marcof.~ ~ ~–
106     2,     XV|           peut-être ?~ ~ ~– Non ; mort dans son lit.~ ~ ~– Un malheur
107     2,    XVI|        coup Jahoua, qu’il croyait mort, car il n’avait pas douté
108     2,  XVIII|         tout à fait.~ ~ ~– Il est mort ! fit Jahoua.~ ~ ~ ~Marcof
109     2,  XVIII|  dussions-nous pour cela hâter sa mort.~ ~ ~ ~Raphaël fit un mouvement.
110     2,    XIX|  convulsion suprême.~ ~ ~– Il est mort ! s’écria Keinec.~ ~ ~–
111     2,    XIX|             s’écria Keinec.~ ~ ~– Mort ! répéta Marcof avec stupeur.~ ~ ~–
112     2,    XIX|        Marcof avec stupeur.~ ~ ~– Mort ! Et nous ne savons rien !
113     2,    XIX|   Hâtons-nous. Cet homme est bien mort ! continua-t-il en s’approchant
114     2,     XX|    marquis de Loc-Ronan n’est pas mort.~ ~ ~– Philippe n’est pas
115     2,     XX|                Philippe n’est pas mort ! s’écria Boishardy.~ ~ ~–
116     2,     XX|    marquis de Loc-Ronan n’est pas mort.~ ~ ~– Impossible ! impossible !~ ~ ~–
117     2,     XX|    marquis à se faire passer pour mort. Il faut même que vous gardiez
118     2,     XX|           marquis, si tu m’as cru mort, je viens porter d’un seul
119     2,     XX|          à moi. Si le bruit de ma mort n’est pas encore arrivé
120     2,     XX|           accompli l’œuvre que la mort met plusieurs jours à faire.
121     2,    XXI|          qu’elle aurait appris la mort du marquis. Elle ne voudra
122     2,    XXI|        sur le divan. N’est-il pas mort encore ?~ ~ ~ ~Il s’approcha
123     2,    XXI|   vivement.~ ~ ~– Si fait, il est mort et bien mort ! continua-t-il.
124     2,    XXI|         fait, il est mort et bien mort ! continua-t-il. Mais alors
125     2,    XXI|         Le misérable craignait la mort, et il ne s’illusionnait