Partie,  Chap.

  1     1,      I|            obéit mieux qu’une jeune fille.~ ~ ~– C’est tenter Dieu !
  2     1,      I|          offrit la main à une jeune fille qui venait derrière lui.~ ~ ~ ~
  3     1,      I|           petit pied de cette belle fille était enfermé dans un simple
  4     1,      I|           Marcof, répondit la jeune fille, depuis que vous avez fait
  5     1,      I|                 C’est qu’Yvonne est fille de matelot ; c’est qu’elle
  6     1,      I|             force. N’est-ce pas, ma fille ? continua Marcof en se
  7     1,      I|           en s’adressant à la jeune fille, je suis fâché que ton père
  8     1,      I|           que le temps est rude, ma fille, et que, s’il arrivait malheur
  9     1,      I|    protégez-nous ! murmura la jeune fille.~ ~ ~– Ne craignez rien,
 10     1,      I|                    En attendant, ma fille, reprit Marcof, va me chercher
 11     1,      I|           guise. Yvon m’a confié sa fille, à moi, entends-tu, et je
 12     1,     II|       toujours à bâbord, et toi, ma fille, continua-t-il en se retournant
 13     1,     II|          entends, Yvonne ? Prie, ma fille, mais prie en breton ; le
 14     1,     II|                 La voix de la jeune fille s’éleva pure et touchante,
 15     1,     II|             et sur Jahoua. La jeune fille, appuyée contre le bastingage,
 16     1,    III|       Yvonne comme si elle était ma fille !…~ ~– C’est un malheur,
 17     1,    III|          que j’aime Yvonne comme ma fille. Si tu dois la tuer, ne
 18     1,    III|        entraîna rapidement la jeune fille vers l’intérieur du village.
 19     1,    III|          Jahoua ! répondit la jeune fille en levant sur son promis
 20     1,    III|             écria vivement la jeune fille.~ ~ ~– Calmez-vous, chère
 21     1,     IV|            autel, répondit la jeune fille.~ ~ ~– Nous la lui porterons
 22     1,      V|            embrassant de nouveau sa fille.~ ~ ~– Oh ! je vous en réponds !
 23     1,      V|            en mettant la main de sa fille dans celle du fermier. Allez
 24     1,      V|             sans témoins ? Voici ta fille de retour. Jahoua ne te
 25     1,      V|         plus de barque et tu as une fille à nourrir. Mon canot de
 26     1,      V|            de soin.~ ~ – Apporte ta fille sur tes bras. Keinec, mon
 27     1,      V|             après avoir embrassé ma fille qui pleurait à grosses larmes,
 28     1,      V|           et devenait la plus belle fille du pays. Pendant quatre
 29     1,      V|           son père, je fis venir ma fille et l’interrogeai. Yvonne
 30     1,      V|        Yvonne !…~ ~« Maintenant, ma fille se marie dans sept jours.
 31     1,      V|            je ne peux pas forcer ma fille. Dis, à présent que tu sais
 32     1,    VII|             dans vos bras une jeune fille, belle comme la déesse Vénus
 33     1,    VII|            temps.~ ~ ~– Cette jeune fille, dont la beauté avait fait
 34     1,   VIII|           vous avais trompés. Cette fille n’a jamais été ma femme
 35     1,   VIII|            pour une charmante jeune fille, et que, n’ayant aucunement
 36     1,     IX|         braves Bretons et une jolie fille qui seront peut-être en
 37     1,     IX|           étaient le vieil Yvon, sa fille et Jahoua. Les promis et
 38     1,     IX|        servir.~ ~ ~– Et cette belle fille que mon frère trouve si
 39     1,     IX|       trouve si charmante est votre fille, sans doute ?~ ~ ~– Oui,
 40     1,     IX|            trouves pas cette petite fille ravissante ?~ ~ ~– Si, elle
 41     1,      X|          appelle Yvon et qui a pour fille une jolie enfant, aux yeux
 42     1,      X|            Je connais le père et la fille !… ils habitent Fouesnan.~ ~ ~–
 43     1,     XI|            lui…~ ~ ~– Il épouse une fille du village ; il doit soutenir
 44     1,    XII|            ferme qu’habite la jeune fille désignée, et il s’arrange
 45     1,    XII|            Jahoua avait vu la jeune fille au pardon de la Saint-Michel,
 46     1,    XIV|         avoir lieu le mariage de ma fille et la fête de la Soule.
 47     1,    XIX|              Le mariage de la jeune fille a été reculé de huit jours.~ ~ ~–
 48     1,    XXI|            père ? répondit la jeune fille toute tremblante.~ ~ ~–
 49     1,    XXI|                 Écoute, dit-il à sa fille. Tu vas sortir par le verger.~ ~ ~–
 50     1,    XXI|             père, répondit la jeune fille en présentant son front
 51     1,   XXII|             au plus court. La jeune fille marchait rapidement.~ ~ ~ ~
 52     1,   XXII|            ces hommes prit la jeune fille dans ses bras et courut
 53     1,   XXII|           constater l’absence de sa fille. En rentrant chez lui il
 54     1,  XXIII|          milieu du cercle.~ ~ ~– Ma fille ? mon Yvonne ? demanda le
 55     1,  XXIII|            je retrouverais la jeune fille au village, je repris la
 56     1,  XXIII|           droit à Yvon.~ ~ ~– Votre fille !… balbutia-t-il comme quelqu’
 57     1,  XXIII|            reprendre haleine, votre fille, père Yvon ?~ ~ ~– Sais-tu
 58     1,  XXIII|           qu’il s’agissait de votre fille, père Yvon. Ce soir, en
 59     1,  XXIII|            le vieillard donner à sa fille l’ordre d’aller au-devant
 60     1,  XXIII|             à arriver avec la jeune fille. Il sauta à terre. Le valet
 61     1,  XXIII| circonstance, en empêchant la jeune fille de se débattre et de crier,
 62     1,  XXIII|           chevalier.~ ~ ~ ~La jeune fille, en effet, venait de rouvrir
 63     2,      I|          petit point. Mais la jeune fille, s’échappant de ses bras
 64     2,      I|             blond et rose comme une fille, et qui semblait fort gravement
 65     2,      I|     Vraiment ?~ ~ ~– Oui ; la jeune fille se révolte.~ ~ ~– Bah !
 66     2,      I|            conduit Yvonne, la jeune fille se redressa vivement. Ses
 67     2,      I|        demeurée seule avec la jeune fille, la déshabilla complètement
 68     2,      I|         ouvrit la veine de la jeune fille, qui ne parut pas avoir
 69     2,      V|           suis amoureux d’une jeune fille de Lorenzana que je dois
 70     2,    VII|        quelques questions. La jeune fille ne répondit pas. Marcof
 71     2,     IX|        releva la manche de la jeune fille, mit à nu son bras blanc
 72     2,     IX|        soutenait d’un bras la jeune fille, tandis que le chevalier
 73     2,     IX|           état alarmant de la jeune fille, promenait ses regards animés
 74     2,     IX|           banda le bras de la jeune fille.~ ~ ~– Maintenant, dit-il,
 75     2,      X|         pièce. Tout à coup la jeune fille fit un mouvement et entr’
 76     2,      X|              voulant témoigner à ma fille en Jésus-Christ, tout l’
 77     2,      X|             se pencha vers la jeune fille, qu’il croyait endormie,
 78     2,      X|         loin de répondre à la jeune fille indignée qui l’accablait
 79     2,      X|       maintenant, répondit la jeune fille dont la tête commençait
 80     2,      X|            aimez ! s’écria la jeune fille qui, bien que s’attendant
 81     2,      X|            vous dites là. Une jeune fille parle toujours ainsi la
 82     2,      X|            prit le bras de la jeune fille, rétablit la bande de toile
 83     2,      X|             Il revint vers la jeune fille.~ ~ ~– Écoutez, lui dit-il
 84     2,     XI|            extérieurement. La jeune fille essaya en vain de les ouvrir.
 85     2,     XI|           dans la cellule. La jeune fille essaya de se relever. Ne
 86     2,     XI|     tellement profonde que la jeune fille ne pouvait avancer qu’avec
 87     2,    XII|            m’as dit que cette jeune fille t’était indifférente ?~ ~ ~–
 88     2,    XII|       cellule, et comme cette jeune fille nous est inutile…~ ~ ~–
 89     2,   XIII|          Oui.~ ~ ~– Mais elle était fille unique, si j’ai bonne mémoire ?~ ~ ~–
 90     2,   XIII|       regard.~ ~ ~– Où est la jeune fille ? fit-il brusquement.~ ~ ~–
 91     2,   XIII|           le silence de cette jeune fille ; si quelquefois nous étions
 92     2,    XIV|             exercée envers la jeune fille. Keinec même, malgré l’ascendant
 93     2,    XIV|   Évidemment la volonté de la jeune fille avait été violentée ; évidemment
 94     2,    XIV|            faisait enlever la jeune fille pour le compte de quelque
 95     2,    XIV|          Vous avez reconnu la jeune fille ?~ ~ ~– Il nous a semblé
 96     2,     XV|     songeons qu’à arracher la jeune fille à ceux qui l’ont enlevée.~ ~ ~–
 97     2,    XVI|        martyrise peut-être la jeune fille, tandis que les gendarmes
 98     2,    XVI|           qu’était devenue la jeune fille.~ ~ ~– Partons ! s’écrièrent
 99     2,  XVIII|           qu’était devenue la jeune fille qu’ils aimaient tous deux.~ ~ ~ ~
100     2,     XX|        Tessy avait enlevé une jeune fille ? continua le marin.~ ~ ~–
101     2,     XX|                Où était cette jeune fille ?~ ~ ~– À l’abbaye.~ ~ ~–
102     2,     XX|          extraordinaire de la jeune fille. Il y avait un tel cachet
103     2,     XX|         sincèrement.~ ~ ~– La jeune fille est peut-être retournée
104     2,     XX|             attentivement. La jeune fille n’a pu fuir que par une
105     2,    XXI|           avaient manqué à la jeune fille, elle était tombée en avant
106     2,    XXI|           bras le corps de la jeune fille, retourna vivement sur ses
Best viewed with any browser at 800x600 or 768x1024 on touch / multitouch device
IntraText® (VA2) - Some rights reserved by EuloTech SRL - 1996-2011. Content in this page is licensed under a Creative Commons License