Partie,  Chap.

 1     1,      I|          offrait à l’œil exercé du marin un problème difficile à
 2     1,      I|           au premier coup d’œil le marin de la vieille Bretagne.~ ~ ~ ~
 3     1,      I|           Dieu ! grommela le vieux marin, qui néanmoins s’empressa
 4     1,      I|           breton en s’adressant au marin chargé de la direction du
 5     1,      I|              approche, continua le marin en passant à son tour son
 6     1,     II|           ainsi à l’exclamation du marin.~ ~ ~– Impossible ! fit
 7     1,     II|        vienne en aide ; murmura le marin.~ ~ ~– Ne blasphémez pas,
 8     1,     II|           œil profond et exercé du marin, cet œil habitué à percer
 9     1,     II|       subite et ce calme absolu du marin qui se trouve en face de
10     1,     II|          venir à bord, répondit le marin, car, à coup sûr, c’est
11     1,    III|            l’extrémité opposée. Le marin se recula et livra passage.~ ~ ~–
12     1,      V| Heureusement que Marcof est un bon marin ! reprit Yvon après un moment
13     1,      V|          fit le recteur dès que le marin eut franchi le seuil de
14     1,     VI|           monseigneur, répondit le marin, car c’était lui qui venait
15     1,    VII|             Chut ! fit vivement le marin en posant son doigt sur
16     1,    VII|  gentilhomme, serrant les mains du marin, s’élança vivement au dehors.
17     1,    VII|         traversant cette pièce, le marin s’arrêta devant un magnifique
18     1,     XI|        bord et poussa au large. En marin consommé, en homme intrépide,
19     1,     XI|          la présence de Keinec. Le marin, lui aussi, réfléchissait
20     1,     XI|          dit-il à Keinec.~ ~ ~ ~Le marin, dont l’imagination était
21     1,  XVIII|         jeta un câble que le jeune marin amarra à l’avant de son
22     1,  XVIII|    Loc-Ronan est mort ! s’écria le marin d’une voix étranglée.~ ~ ~–
23     1,  XVIII|          de Loc-Ronan, répondit le marin.~ ~ ~ ~Keinec se signa.
24     1,  XVIII|            rangée de sépulcres. Le marin prit alors la plus grande
25     1,  XVIII|        expliqueras-tu ? s’écria le marin. Parle vite, ou sinon je
26     1,  XVIII|             demanda brusquement le marin.~ ~ ~– Rien !~ ~ ~– Ne mens
27     1,  XVIII|            malgré toi ! s’écria le marin.~ ~ ~ ~Et, se précipitant
28     1,    XXI|        témoins.~ ~ ~– Toi ? fit le marin avec étonnement.~ ~ ~– Moi-même,
29     1,    XXI|    invulnérable ! s’écria le jeune marin ; Carfor l’avait bien dit !~ ~ ~–
30     1,    XXI|           meurtrissaient le cou du marin. Keinec poussa un cri rauque,
31     1,   XXII|          petits cailloux. Le jeune marin poussa un cri de joie.~ ~ ~–
32     1,   XXII|     menaçaient le plus l’intrépide marin.~ ~ ~– Keinec ! s’écria
33     1,  XXIII|        voici ! répondit la voix du marin.~ ~ ~ ~Et Keinec s’avança
34     1,  XXIII|        fois le fermier et le jeune marin.~ ~ ~– Cesser de vous haïr,
35     2,    III|                   Le lendemain, le marin rendait son âme à Dieu.
36     2,     IV|        cette existence curieuse du marin grand seigneur, qui n’admet
37     2,     IV|          jeune homme assis près du marin.~ ~ ~– Eh bien ! capitaine,
38     2,     IV|     Français ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Et marin ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Ton navire
39     2,     IV|         position où se trouvait le marin, on n’a pas le droit d’être
40     2,     IV|     propositions de Cavaccioli, le marin avait songé qu’il pourrait
41     2,      V|   aventureuse ne déplaisait pas au marin qui trouvait constamment
42     2,      V|         étendu sur son manteau, le marin rêvait à la France, à ses
43     2,      V|          se glissait ainsi vers le marin, car le bruit cessa tout
44     2,      V|            élança vivement près du marin.~ ~ ~– Que me veux-tu donc ?
45     2,      V|         Que me veux-tu ? répéta le marin.~ ~ ~– Te sauver d’une mort
46     2,      V|            commission ? demanda le marin avec ironie.~ ~ ~– C’est
47     2,      V|          un mot, cependant, fit le marin en l’arrêtant. Quand et
48     2,      V|           coucher Marcof.~ ~ ~ ~Le marin ouvrit une veine à l’un
49     2,      V|           convaincus de la mort du marin, crurent à une apparition
50     2,      V|         les ai pendus, continua le marin.~ ~ ~– Pendus tous les cinq ?~ ~ ~–
51     2,     VI|           que, se tournant vers le marin :~ ~ ~– Tu t’appelles Marcof ?
52     2,    VII|          Écoutez-moi tous ! fit le marin dont la voix habituée à
53     2,    VII|           sérieuse à la volonté du marin. Il était aisé de comprendre
54     2,    VII|          légère blessure. Alors le marin poussa un cri tellement
55     2,    VII|            que faisait la hache du marin, les bandits commencèrent
56     2,    VII|            le golfe de Tarente. Le marin avait d’abord pensé à laisser
57     2,   VIII|            Et j’ouvris mes bras au marin qui s’y précipita en fondant
58     2,   VIII|      Loc-Ronan ; l’autre le pauvre marin Marcof. Nous nous verrons
59     2,   VIII|            Il ne savait pas que le marin, le croyant mort, avait
60     2,    XIV|  vigoureusement, mes gars ! dit le marin ; souque ferme et avant
61     2,    XIV|            un infâme ! continua le marin avec véhémence. C’est un
62     2,    XIV|            ravisseurs d’Yvonne, le marin agissait sous l’influence
63     2,     XV|           arrivé hier, répondit le marin. Le pays de Vannes et celui
64     2,     XV|         jeune homme en arrêtant le marin par le bras. Voici une seconde
65     2,     XV|          fallait l’œil exercé d’un marin pour reconnaître une barque.~ ~ ~ ~
66     2,    XVI|            Marcof, et que le jeune marin avait jetée à terre sans
67     2,    XVI|           où viens-tu ? lui dit le marin.~ ~ ~– Que t’importe ?~ ~ ~–
68     2,    XVI|            la subite apparition du marin qu’il redoutait et savait
69     2,    XVI|          Garrottez-le ! ordonna le marin.~ ~ ~ ~Jahoua et Keinec
70     2,    XVI|           ce jeu-là !… continua le marin en reprenant sa place. Demande
71     2,    XVI|             mes gars ! continua le marin.~ ~ ~ ~Keinec et Jahoua
72     2,    XVI|            est Yvonne ? demanda le marin.~ ~ ~– Je l’ai laissée près
73     2,    XVI|                 Carfor leva sur le marin un œil où se peignait la
74     2,   XVII|    matelots. Marcof était trop bon marin pour ne pas reconnaître
75     2,   XVII|        carabine sur son épaule, le marin se dirigea vers la campagne.
76     2,   XVII|       chevaux. Attendez !~ ~ ~ ~Le marin répondit par un sifflement
77     2,   XVII|              Tonnerre ! s’écria le marin en laissant échapper un
78     2,   XVII|                   Non, répondit le marin. Peut-être se sont-ils réfugiés
79     2,  XVIII|         Raphaël. Puis, aidé par le marin, il transporta le mourant
80     2,  XVIII|             C’était une lettre. Le marin l’ouvrit rapidement.~ ~ ~–
81     2,    XIX|          se cramponnant au bras du marin, tu me vengeras !…~ ~– Mais,
82     2,    XIX|             Ton frère ! s’écria le marin en reculant d’épouvante.
83     2,    XIX|               Ton nom ! s’écria le marin.~ ~ ~– Raphaël ! Venge-moi !
84     2,    XIX|           prisonniers ? demanda le marin en se tournant vers le comte
85     2,     XX|            de La Bourdonnaie et au marin. Madame voudrait sans doute
86     2,     XX|            Non ! non ! répondit le marin. Elle doit dire vrai, et
87     2,     XX|             patience ! répondit le marin.~ ~ ~ ~Boishardy continua
88     2,     XX|                   Oui, répondit le marin ; c’est un agent révolutionnaire.~ ~ ~–
89     2,     XX|          jeune fille ? continua le marin.~ ~ ~– Je le sais.~ ~ ~–
90     2,     XX|            en tendant la lettre au marin, ceci est pour vous.~ ~ ~–
91     2,     XX|         tendant sa main ouverte au marin.~ ~ ~– Dans quatre nuits,
92     2,     XX|    découverte.~ ~ ~ ~Ce disant, le marin entra dans la cellule de
93     2,    XXI|       Italien avaient entendus. Le marin, arrivant en dernier, avait
94     2,    XXI|           C’était Marcof.~ ~ ~ ~Le marin, après avoir brisé le bahut
95     2,    XXI|           homme, il tint ferme. Le marin arriva sur lui. La torche
96     2,    XXI|     portant. La balle atteignit le marin en pleine poitrine. Marcof
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