Partie,  Chap.

 1     1,    III|           les soins affectueux d’un frère ; mais, depuis qu’il est
 2     1,     VI|       marquis. Donc, plus de gêne ! Frère, embrasse-moi.~ ~ ~ ~Marcof
 3     1,    VII|          Parce qu’il le faut.~ ~ ~– Frère !~ ~ ~– Chut ! fit vivement
 4     1,    VII|             prenant la main :~ ~ ~– Frère, lui dit-il à voix basse,
 5     1,    VII|             les terres mêmes de mon frère, et que les témoins d’usage
 6     1,   VIII| conversation. Nous avons pensé, mon frère et moi, qu’il serait fâcheux
 7     1,   VIII|         armes.~ ~ ~– Celui de votre frère naturel, lui répondit le
 8     1,     IX|            de Tessy et le comte son frère s’étaient éloignés assez
 9     1,     IX|          jamais un tel secret à son frère. Non, ce qui me fait dire
10     1,     IX|           cette belle fille que mon frère trouve si charmante est
11     1,     XV|          son tour le chevalier, mon frère a le désir de vous faire
12     1,     XV|           connaissez tous deux, mon frère et moi, et vous n’ignorez
13     1,  XVIII|             connu la tendresse d’un frère ! Je n’ai jamais éprouvé
14     1,  XVIII|          que lui avait désignée son frère. Il déplaça les volumes.
15     1,     XX|            J’aime, avec un amour de frère,~ ~Les rois d’Espagne et
16     2,     II|             homme ?~ ~ ~– C’est mon frère !~ ~ ~– Votre frère, Philippe !
17     2,     II|             mon frère !~ ~ ~– Votre frère, Philippe ! s’écria la religieuse.~ ~ ~–
18     2,     II|             religieuse.~ ~ ~– Votre frère, monseigneur ! répéta Jocelyn.~ ~ ~–
19     2,     II|             Jocelyn.~ ~ ~– Oui, mon frère, mes amis, et pardonnez-moi
20     2,     II|           de sa conférence avec son frère, le marquis avait mis sans
21     2,     II|            longtemps, mais comme un frère et comme un ami pour lequel
22     2,     II|       Marcof le Malouin comme votre frère ! Jure-moi, Jocelyn, qu’
23     2,    III|             reconnaître un jour mon frère naturel, ainsi que vous
24     2,    VII|          seule remarque que fit mon frère fut que le mouchoir brodé
25     2,   VIII|            âge que devait avoir mon frère, et le lieu dans lequel
26     2,   VIII|        jurer de ne pas repousser ce frère si le hasard me faisait
27     2,   VIII|             espoir de rencontrer ce frère inconnu que je cherchais,
28     2,   VIII|             d’y ramener avec moi ce frère si miraculeusement retrouvé.
29     2,   VIII|            Moi, Marcof, je suis ton frère !~ ~ ~ ~Et j’ouvris mes
30     2,   VIII|          auriez-vous confié à votre frère…~ ~ ~– Rien ! interrompit
31     2,   VIII|           mon cœur, je conjurai mon frère d’accepter une partie de
32     2,   VIII|    existence et du caractère de mon frère. »~ ~ ~Un long silence succéda
33     2,   VIII|   nécessaires, et il préviendra mon frère.~ ~ ~ ~Le marquis ignorait
34     2,   VIII|             convenu jadis entre mon frère et moi que toutes les fois
35     2,   VIII|             vivement, amenez ici le frère de votre maître.~ ~ ~ ~Le
36     2,    XII|       Raphaël, tantôt son très-cher frère, le chevalier de Tessy.
37     2,    XIX|   empoisonné ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Ton frère ! s’écria le marin en reculant
38     2,    XIX|                    Ce n’est pas mon frère ! dit-il d’une voix nette.~ ~ ~–
39     2,     XX|      venez-vous ?~ ~ ~– De chez mon frère.~ ~ ~– Où était votre frère ?~ ~ ~–
40     2,     XX|         frère.~ ~ ~– Où était votre frère ?~ ~ ~– À l’abbaye de Plogastel.~ ~ ~–
41     2,     XX|          qui a fui.~ ~ ~– C’est mon frère.~ ~ ~– Le comte de Fougueray ?~ ~ ~–
42     2,     XX|             abbaye ?~ ~ ~– Avec mon frère, je l’ai dit.~ ~ ~– Avec
43     2,     XX|           Tessy.~ ~ ~– Votre second frère ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Vous
44     2,     XX|           Cet homme n’est pas votre frère.~ ~ ~– Monsieur !~ ~ ~–
45     2,     XX|        chevalier de Tessy est votre frère ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Soit ;
46     2,     XX|             de Fougueray.~ ~ ~– Son frère ! s’écria Marcof. Vous entendez,
47     2,     XX|            danger. Mais je suis là, frère, et je veille. Déjà deux