Partie,  Chap.

 1     1,     VI|                            VI~ ~ PHILIPPE DE LOC-RONAN.~ ~ ~ ~Entre
 2     1,     VI|   murmurant :~ ~ ~– Oui, mon bon Philippe, j’avais besoin de te voir.~ ~ ~ ~
 3     1,    VII|        yeux :~ ~ ~– Assieds-toi, Philippe, dit-il à voix basse, et,
 4     1,  XVIII|        arrêta.~ ~ ~– Ah ! pauvre Philippe ! murmura-t-il, je devine
 5     2,      I|         savez bien.~ ~ ~– Chut ! Philippe. N’oubliez pas l’habit que
 6     2,      I|          commettre d’imprudence, Philippe !…~ ~– Oh ! ne craignez
 7     2,     II|                 Mais sans doute, Philippe, répondit-elle vivement ;
 8     2,     II|            Mon Dieu, Julie ! dit Philippe avec émotion, que vous êtes
 9     2,     II|          j’aimerai toujours, mon Philippe ! répondit la religieuse.~ ~ ~–
10     2,     II|              Marcof ?… En effet, Philippe, jadis déjà, lorsque nous
11     2,     II|       frère !~ ~ ~– Votre frère, Philippe ! s’écria la religieuse.~ ~ ~–
12     2,     II|       que vous me parliez ainsi, Philippe ? répondit vivement la religieuse
13     2,     II|     heureuse ; et vous le savez, Philippe, vous venez de l’avouer
14     2,     II|        Et que deviendrions-nous, Philippe ?~ ~ ~– Nous fuirions loin,
15     2,     II|     reptiles !…~ ~– Taisez-vous, Philippe ! s’écria la jeune femme.
16     2,     II|               Oubliez ces rêves, Philippe ; oubliez cet avenir impossible !
17     2,    VII|          noble nature ! répondit Philippe de Loc-Ronan ; c’est une
18     2,   VIII|      vais vous le dire, répondit Philippe en reprenant son récit.~ ~ ~ ~
19     2,   VIII| bâtardise. Mais il refusa.~ ~ ~– Philippe, me dit-il un jour que je
20     2,   VIII|         d’accéder à mes prières, Philippe, n’insiste pas. Je suis
21     2,   VIII|        on accuserait notre père, Philippe, sous prétexte de me plaindre,
22     2,   VIII|         mienne est inébranlable, Philippe ; n’insiste plus.~ ~ ~ ~
23     2,   VIII|      silence succéda au récit de Philippe. La religieuse et Jocelyn
24     2,   VIII|            Je l’ignore, répondit Philippe ; mais peu importe ! Écoute-moi
25     2,     XI|    Allons, viens, Jocelyn.~ ~ ~– Philippe ! dit vivement la religieuse
26     2,     XI|          en arrêtant le marquis, Philippe, ne me quittez pas !~ ~ ~–
27     2,     XI|        de nous.~ ~ ~– De grâce ! Philippe, songez à vous ! Je vous
28     2,     XI|        où l’attendaient Julie et Philippe.~ ~ ~ ~En le voyant entrer
29     2,     XI|         as-tu ? s’écria vivement Philippe.~ ~ ~– Que se passe-t-il ?
30     2,     XI|       tut.~ ~ ~– Elle ?… s’écria Philippe illuminé par une pensée
31     2,     XI|     déserte ?~ ~ ~ ~Ainsi ce que Philippe avait fait devenait nul.
32     2,     XI|     respecté de ses aïeux.~ ~ ~ ~Philippe avait la main posée sur
33     2,     XI|      lougre !~ ~ ~– Écoutez-moi, Philippe, dit la religieuse en se
34     2,     XI|       veux pas !~ ~ ~– Pourquoi, Philippe ?~ ~ ~– Mais ce serait vous
35     2,     XI|             Cela ne se peut pas, Philippe.~ ~ ~– Alors, je reste !~ ~ ~–
36     2,     XI|          Alors, je reste !~ ~ ~– Philippe ! je vous en conjure ! s’
37     2,    XII|     notre fortune que la mort de Philippe nous a enlevée tout à coup,
38     2,    XII|      Julie de Château-Giron pour Philippe de Loc-Ronan ?~ ~ ~– On
39     2,    XIV|        entièrement de la main de Philippe, contenaient le récit exact
40     2,    XIV|          de la première femme de Philippe. On comprend tout ce que
41     2,     XX|  Loc-Ronan n’est pas mort.~ ~ ~– Philippe n’est pas mort ! s’écria
42     2,     XX|     lettre.~ ~ ~– Je répondrai à Philippe, dit Boishardy, et je vous
43     2,     XX|         les genêts.~ ~ ~– Pauvre Philippe ! je sais maintenant tes
44     2,     XX|          révéler la vérité ! Va, Philippe, tu seras heureux peut-être,