Partie,  Chap.

 1     1,      I|                          I~ ~ LE JEAN-LOUIS.~ ~ ~ ~Dans les derniers
 2     1,      I|           baptisé sous le nom de Jean-Louis, parti la veille au soir
 3     1,      I|          celui qui commandait le Jean-Louis des connaissances maritimes
 4     1,      I|    moment où nous rencontrons le Jean-Louis, rien pourtant ne décelait
 5     1,      I|      Bien, continua le patron du Jean-Louis en voyant ses ordres exécutés.
 6     1,      I|         devant la tempête, et le Jean-Louis obéit mieux qu’une jeune
 7     1,      I|       les dangers que courait le Jean-Louis. Mais, soit confiance dans
 8     1,      I|          entrée sur l’arrière du Jean-Louis.~ ~ ~ ~Le premier qui se
 9     1,      I| déferlaient contre le bordage du Jean-Louis retombaient en pluie fine
10     1,      I|       protége portera bonheur au Jean-Louis. Ah ! Jahoua, mon gars,
11     1,      I|  Quelques secondes plus tard, le Jean-Louis, chargé de toiles, filait
12     1,      I|         s’il arrivait malheur au Jean-Louis, le vieil Yvon ne s’en relèverait
13     1,      I|     trouvons embarqués à bord du Jean-Louis, n’allions-nous pas faire
14     1,      I|        noires, par le tribord du Jean-Louis. La rafale poussait le navire
15     1,     II|          vent de tempête, que le Jean-Louis doit gagner ce douteux port
16     1,     II|    perdront ! murmura Marcof. Le Jean-Louis a doublé Penmarckh, et il
17     1,     II|     moindre résistance.~ ~ ~ ~Le Jean-Louis, néanmoins, grâce à l’habileté
18     1,     II|   misaine, ses basses voiles. Le Jean-Louis gouvernait sous ses focs.
19     1,     II|           si j’ai fait entrer le Jean-Louis dans la crique, jure-moi
20     1,     II|      vent, malgré les vagues, le Jean-Louis, gouverné par une main ferme
21     1,     II|       solidement au cabestan. Le Jean-Louis était sauvé !~ ~ ~ ~Keinec,
22     1,     II| demanderais après avoir sauvé le Jean-Louis ?~ ~ ~– Sans doute. Que
23     1,    III|        la communication entre le Jean-Louis et la terre ferme. Marcof
24     1,    III|          château dès l’entrée du Jean-Louis dans la crique. – Vous viendrez
25     1,      V|       est pas lui qui a sauvé le Jean-Louis…~ ~ ~– Et qui donc ? Le
26     1,      V|     était lui qui avait sauvé le Jean-Louis. S’il a sauvé le lougre,
27     1,    XVI|          Raphaël.~ ~ ~– C’est le Jean-Louis, sang du Christ ! Je le
28     1,    XVI|         mais néanmoins, c’est le Jean-Louis, j’en réponds !…~ ~– Marcof
29     1,    XVI|                 Allons donc ! Le Jean-Louis ne prend jamais la mer sans
30     1,  XVIII|        et la brise favorable, le Jean-Louis avait donné au vent tout
31     1,  XVIII|       les moindres mouvements du Jean-Louis. Cet homme était Keinec.~ ~ ~ ~
32     1,  XVIII|         en mettant le cap sur le Jean-Louis.~ ~ ~ ~En moins d’une heure,
33     1,  XVIII|      était ouverte. Le patron du Jean-Louis, courbé sur une table, était
34     1,  XVIII|       avec amertume le patron du Jean-Louis.~ ~ ~ ~Une pensée subite
35     1,   XXII|          C’étaient les marins du Jean-Louis, commandés par Marcof. Le
36     1,  XXIII|          Aucune des chaloupes du Jean-Louis n’était à la mer. À bord,
37     1,  XXIII|        crique où était amarré le Jean-Louis. Deux hommes seulement veillaient
38     2,   VIII|     ignorait le prompt retour du Jean-Louis et la subite arrivée de
39     2,   VIII|        Tu guetteras l’arrivée du Jean-Louis ?~ ~ ~– Sans doute. Je veillerai
40     2,    XIV|      avait ordonné de revenir au Jean-Louis. Puis il avait laissé Keinec
41     2,   XVII|         de bord et retournons au Jean-Louis. La brise nous y portera
42     2,     XX|          commandant le lougre le Jean-Louis en relâche à Penmarckh. »~ ~–
43     2,     XX|     votre disposition, à bord du Jean-Louis, et cinq cent mille autres