Partie,  Chap.

 1     1,     II|        mon gars, c’est moi qui viens te rappeler tes paroles ;
 2     1,      V|       tu as pensé juste.~ ~ ~– Viens donc alors, Dieu nous éclairera.~ ~ ~ ~
 3     1,      V|    flot ; apporte tes filets ; viens avec moi, nous partagerons
 4     1,      V|    savais aussi tout ce que tu viens de dire.~ ~ ~– N’importe ;
 5     1,     XV|        Tu en jugeras, Raphaël, viens avec moi.~ ~ ~ ~Le comte
 6     1,  XVIII| répondit le jeune homme.~ ~ ~– Viens !~ ~ ~ ~Après avoir franchi
 7     1,  XVIII|            Le sais-je ?… Mais, viens ! j’étouffe de joie. Le
 8     1,  XVIII|               Encore une fois, viens à bord.~ ~ ~– Non !~ ~ ~–
 9     1,  XVIII| remettant sur ses pieds.~ ~ ~– Viens vite ! répondit celui-ci.~ ~ ~ ~
10     1,    XIX|       les paroisses ? Comme tu viens de le dire, la Cornouaille,
11     1,    XXI|     malheur à toi, Jahoua ! Tu viens de prononcer ton arrêt !
12     1,  XXIII|        adressant au tailleur ; viens demain à bord de mon lougre,
13     1,  XXIII|       toujours évanouie.~ ~ ~– Viens ! Hermosa a tout préparé
14     2,      I|    priait avec ferveur :~ ~ ~– Viens ! dit-il.~ ~ ~ ~Les deux
15     2,     II|     encore, mon vieux Jocelyn. Viens donc prendre place à nos
16     2,      V|   Après ?~ ~ ~– On sait que tu viens tous les soirs à cet endroit,
17     2,     VI|    adressant à Marcof ; car je viens de gagner la belle et je
18     2,      X|       Si les sentiments que je viens de vous peindre vous déplaisent,
19     2,     XI|      écria le marquis. Allons, viens, Jocelyn.~ ~ ~– Philippe !
20     2,    XII|   Diégo à Hermosa.~ ~ ~– Tu ne viens pas ?~ ~ ~– Non !~ ~ ~–
21     2,     XV|       l’auteur du rapt dont je viens de vous parler. Or, je crois
22     2,     XV|        À des amis à moi que je viens de prévenir.~ ~ ~– Des amis ?~ ~ ~–
23     2,     XV|    respect.~ ~ ~– Lui-même. Je viens de le voir, et c’est lui
24     2,    XIX|   mourir ! dit Keinec. Marcof, viens à notre aide !~ ~ ~– Marcof ?…
25     2,     XX|        si tu m’as cru mort, je viens porter d’un seul coup et